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Qui, Suis-Je

  • : Le blog de Hadria RIVIERE
  • : "Une conscience aigue de Soi et de l'Autre permet d'ouvrir les portes de la liberté..." Hadria RIVIERE
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FEMMES REBELLES...

undefinedDAHYA…DAHIYA….DIHYA…KAHENA… (.. ?-700). 
 
http://www.berberescope.com/l'histoire_des_Berberes_yahoo.htm


FATMA TAZOUGHERT DITE LA ROUGE (1544-1641)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fatma_Tazoughert


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LALLA FATMA N’SOUMER (1830-1863) -DITE LA JEANNE D'ARC DU DJURDJURA
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FADHMA AIT MANSOUR AMROUCHE (1882-1967)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fadhma_A%C3%AFt_Mansour_Amrouche

 

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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 08:05



DECOMPRESSION, INDISPENSABLE  mais...PEDAGOGIQUE

et

HUMANISTE, au sens de :

L'humanisme là,  vise à lutter contre l’ignorance, et à diffuser plus clairement le patrimoine culturel,  religieux ou pas d'ailleurs.

Seul certitude :

Un individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes.

et de fait il se transforme en Citoyen... Citoyen Lambda !


Les notions de liberté –ou  « libre arbitre », de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de  l'expression de l'humanisme, dans son sens originel.


LIEN SOURCE-  EN SAVOIR PLUS :

Sur l’origine de L’HUMANISME :

http://www.publius-historicus.com/humanism.htm

http://www.fdn.fr/~rebours/rabelais.htm



AUX PAYS DES POETES ET DES ARTISTES D'AFRIQUE NOIRE :

Symbole des forces de la croyance animiste.
Conviction, selon laquelle toute chose posséde une âme.
 
PARTIE I

Roger GARAUDY, dans son livre : Appel aux vivants, dans le chapitre  Egyptien et L’Afrique vivant, s’exprime ainsi :

 


«Le sentiment africain de la vie, c’est d’abord c’est d’abord cette communion vivant, animé, signifiant, que l’on peut déchiffrer comme un visage où se lisent directement l’angoisse, la colère ou l’amour et qui n’ a pas donné naissance à l’absurde dualisme de l’âme et du corps.

L’homme, comme le monde dans lequel il vit, est tout entier une âme et tout entier un corps.

 


Cette participation intime d l’homme à la réalité des choses s’exprime en un poème que chantent les Vandas du ZIMBABWE…. » 

 


.. »Les lois de la case :

 

.."La terre est notre corps, à nous, les hommes,

L’eau est notre sang, à nous, les hommes,

Les poutres de la case sont nos côtes.

Les cordes, nos tendons.

L’herbe, c’est nos chevaux.

Le bâton au centre du tout, c’est l’homme.

Le foyer, au-dessous, c’est la femme… »

 

ZIMBABWE : longtemps baptisé RHODESIE, du nom du forban qui la conquit :
Cecil RHODES-:

 


EN SAVOIR PLUS :

 


La Rhodésie désigne généralement l'ancienne
Rhodésie du Sud entre 1964 et 1980, année où elle est devenue le Zimbabwe.

La Rhodésie peut désigner aussi la région du sud-est de l'Afrique qui regroupe les États de Zambie et du Zimbabwe, ainsi que le Nyassaland (l'actuel Malawi).

La Rhodésie du nord est l'ancien nom de la Zambie, nouveau nom acquis lors de son indépendance en 1964.

Le nom de Rhodésie provient de Cecil Rhodes, colonisateur britannique, fondateur et administrateur de ce territoire entre 1889 et 1896. La région fut explorée par le célèbre chasseur Frederick Selous qui prit la direction de la colonne de pionniers en 1890 qui colonisa la Rhodésie.


LIEN SOURCE :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rhod%C3%A9sie

 

http://www.quid.fr/2007/Zambie_A_Zimbabwe/Zimbabwe/1

 

 

La géopolitique, à la carte

L’émission télévisée le Dessous des cartes, a son pendant sur Internet. Un petit trésor pour les esprits curieux LA :



http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://www.terra-economica.info/IMG/jpg/dessouscartesW.jpg&imgrefurl=http://www.terra-economica.info/La-geopolitique-a-la-carte.html&h=263&w=350&sz=58&hl=fr&start=79&um=1&usg=__Qx5Rr5UA7Gw4ijExYkhiSJ6uVss=&tbnid=H30xfKT7NEW_vM:&tbnh=90&tbnw=120&prev=/images%3Fq%3Dla%2Brhodesie%26start%3D63%26ndsp%3D21%26um%3D1%26hl%3Dfr%26lr%3Dlang_fr%26client%3Dfirefox-a%26channel%3Ds%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26sa%3DN

 

 

 

…(…) Ce sont les lois de la case. Les rites du sacrifice, si proche de celui l’agneau pascal, des chrétiens, sont l’expression, par l’offrande, de cette participation d l’homme à la foi naturelle, volontaire et sacrée, à la vie universelle… »

…(…) Vivre c’est être créateur.

 


La mort même n’est pas le contraire de la vie, la rupture avec elle, mais sa continuation sous d’autres formes.

 


Elle implique la présence des ancêtres : ils font partie de la vie présente de la communauté, qui réactive constamment leurs actes fondateurs… »

  

Nous trouvons, ce sentiment de la présence vivante des morts dans le poème de l’écrivain sénégalais.


Birago DIOP 

 

.. »Ceux qui sont morts ne sont jamais partis.

Ils sont dans l’ombre qui s’épaissit.

Les morts ne sont pas sous la terre.

Ils sont dans l’arbre qui frémit.

Ils sont dans le bois qui gémit.

Ils sont dans l’eau qui coule.

Ils sont dans l’eau qui dort.

Ils sont dans la case, ils sont dans la foule.

Les morts ne sont pas morts… »

 

Birago DIOP

  

EN SAVOIR PLUS :



Birago Diop (1906-1989) est un écrivain sénégalais d'expression française, qui rendit hommage à la tradition orale de son pays en publiant des contes, notamment ses Contes d'Amadou Koumba.

 


LIEN SOURCE :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Birago_Diop

 

 Lire : Marc ROMBAUD, La poésie Négro-africaine d’expression française, Editions Seghers

 

 

Un hymne à l’Afrique, qu’est Femme noire.

Léopold SEDAR SENGHOR :

 


… »Femme nue, femme noire


Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté !

J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux.

 

Et, voilà qu’au cœur de l’Eté et de Midi, je te découvre, Terre promise,

du haut d’un haut col calciné

Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l’éclair d’un aigle.

Femme nue femme obscure

Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases d’un vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche

Savane aux horizons purs, savane qui frémit aux caresses ferventes

 du vent d’Est

Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur

Ta  voix grave de contralto est le chant spirituel de l’aimée.

Femme nue, femme obscure

Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l’athlète, aux flancs des princes du Mali

Gazelle aux attaches célestes, les perles sont étoiles sur ta peau qui se moire

A l’ombre de ta chevelure, s’éclaire mon angoisse aux soleils prochains de tes yeux.

Femmes nue, femme noire

Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l’Eternel

Avant que le destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir tes racines de la vie »…

  


EN SAVOIR PLUS :


Léopold Sédar Senghor
(Joal, Sénégal, 9 octobre 1906 - Verson, France, 20 décembre 2001) était un poète, écrivain et homme politique sénégalais. Il a été le premier président du Sénégal (1960-1980) et il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française.

Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs.


LIEN SOURCE :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9opold_S%C3%A9dar_Senghor

 


Lire : Léopold SEDAR SENGHOR, « Chants d’ombre » - 1945, publié dans Poèmes, Ed. du Seuil, 1964, p.16 et coll. « point », N° 53, p.14

 

 

AIME CESAIRE 

Auteur, Poéte, Militant, homme politique et d'engagement 
 "KARCHISER" - DES MANUELS SCOLAIRES, 

 Par  François BAYROU- à l'époque Ministre de l'Education Nationale,
François BAYROU, Auto-affirmé humaniste, catholique pratiquant, democrate
 et que sais-je encore...!!!!

François BAYROU, qui  rencontre beaucoup de difficultés à expliquer,
argumenter, étayer, justifier ....CE NETTOYAGE....

EN SAVOIR PLUS :


 

Aimé Césaire, de son nom complet Aimé Fernand David Césaire, né le 26 juin 1913 à Basse-Pointe (Martinique) et mort le 17 avril 2008 à Fort-de-France[1], est un poète et homme politique français. Il est l'un des fondateurs du mouvement littéraire de la négritude et un anticolonialiste résolu.

 


LIEN SOURCE :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Aim%C3%A9_C%C3%A9saire

 

 

HOMMAGE A AIME CESAIRE – VIDEO :

 

http://www.hommage-cesaire.net/

 


UN HOMMAGE RENDU A AIMEE CESAIRE PAR ANDRE BRETON :

 

"Aimé Césaire est un Noir qui est non seulement un Noir; mais tout l'homme, qui en exprime toutes les interrogations, toutes les angoisses, tous les espoirs et toutes les extases, et qui s'imposera de plus en plus à moi comme le prototype de la dignité"

André Breton

 « Je serais un homme-juif, un homme-cafre, un homme-hindou-de-Calcutta, un homme-de-Harlem-qui-ne-vote-pas, l’homme-famine, l’homme-insulte, l’homme-torture, on pouvait à n’importe quel moment le saisir le rouer de coups, le tuer - parfaitement le tuer - sans avoir de compte à rendre à personne sans avoir d’excuses à présenter à personne… ». Aimé CESAIRE

 

EN SAVOIR PLUS- LIEN SOURCE :

 

http://www.afrik.com/article14125.html

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21 août 2008 4 21 /08 /août /2008 13:16


 UNE REPONSE AU COMMENTAIRE ANONYME DE Xai  du 20/08/2008 édité dans l'EXPRESS :   
 
 DENI DE DISCRIMINATION
OU
QUANT UNE PERSONNE,DENONCE DES COMPORTEMENTS, DES CHOIX ET DECISIONS POLITIQUES DISCRIMINANTES...
UNE  SEULE EXPLICATION PLAUSIBLE A CES DENONCIATIONS :

C'EST UNE PERSONNE AIGRIE
 UNE "MECHANTE ET VILAINE PERSONNE", INCAPABLE DE SE PRENDRE EN CHARGE,
DIXIT, UN PROTOTYPE DE LA BOURGEOISIE BIEN PENSANTE TOULOUSAINE
S'IL Y A DISCRIMINATION/AGRESSION LA RESPONSABILITE INCOMBE A LA SEULE PERSONNE DISCRIMINEE"...
 LA DISCRIMINATION... N'EXISTE PAS EN FRANCE...
ET,
CERTAINEMENT PAS A TOULOUSE  :


http://www.lexpress.fr/actualite/politique/francoise-de-veyrinas-est-decedee_551429.html


LES GENERATIONS DE l'IMPASSE


..."Depuis un demi-siècle la société française a entassé la communauté immigrée sans aucun projet d'avenir.

Les politiques comme les médias décrivent ces espaces comme des « quartiers sensibles » ou des « quartiers difficiles », sans oser reconnaître l'existence du ghetto, et mieux pour certains espaces se sont même des colonies.

En période électorale les élus prêts à tout offrent des méchouis !

Les premières générations silencieuses, écartées de toutes sources d'informations, n'ont jamais été traitées comme des hommes.

Les générations suivantes ont refusé d'hériter du statut de leurs parents. Tout est fait pour les oublier. La première fracture sociale vient de l'injustice sociale.
La réponse politique est l'intégration ou la valise.
Or l'intégration est à double sens.
ous rêvent de s'intégrer à cette terre promise si idéalisée par leurs parents.

Mais s'intégrer à quoi ? Au chômage, au racisme, à l'exclusion ?
Le ghetto est devenu un lieu de résonance folklorique ou ethnographique, et ces habitants sont placés sous haute surveillance et gérés par une haute négligence.

On exige d'eux qu'ils soient de bons citoyens, alors que d'autres les tutoient, les bousculent. Et quand ils s'agitent un peu, ils se heurtent à une violence policière, comme au bon vieux temps de la colonisation.

Les exigences fixées par les décideurs ne sont jamais les mêmes. Les origines socio-culturelles sont les garants de la sélection. La politique de l'humiliation et de la préférence nationale a creusé des fossés. Les discriminations se ramassent à la pelle.

En 1983, la marche des jeunes beurs n'a pas donné l'effet escompté, fatigués de marcher, d'expliquer et de devoir subir, aujourd'hui, ils réclament le pouvoir-agir.

Toutes les majorités ont accordé à certaines minorités le droit à la différence, mais le droit à la différence n'aboutit jamais à l'égalité. Différent c'est le mot noble pendant l'époque coloniale pour dire inférieur. La discrimination sur le plan social signifie exclusion sur le plan du droit social.

La nomination du préfet Aïssa Dermouche, accueillie par une série d'attentats est bien la preuve de cette France sclérosée .Ainsi la société veut continuer à s'organiser mais sans aucun acteur issue de cette communauté.

Pire encore, aucun chercheur ne peut évaluer, mesurer la souffrance subie.

Et pourtant quand Zinedine Zidane se distingue et classe la France championne du monde, on
s'embrasse, on s'enlace, c'est la liesse, Paris est libérée.

Il est urgent de comprendre qu'un niveau dynamisme social et politique est à prendre en compte, et ne peut se réaliser qu'avec le respect des droits de l'Homme...."

Laura MOUZAIA - sociologue - Toulouse -


EMBAUCHES :
AIRBUS NIE TOUTE DISCRIMINATION

..."Un ancien intérimaire accuse l'avionneur de ne pas l'avoir embauché à cause de ses origines maghrébines...."

http://www.ladepeche.fr/article/2008/07/11/463687-Embauches-Airbus-nie-toute-discrimination.html

Discriminations à l'embauche des jeunes des banlieues d'origine immigrée

POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :

http://www.inegalites.fr/spip.php?article670&id_mot=112

http://www.inegalites.fr/spip.php?article548&id_mot=112

..."Les emplois interdits
le 1er juin 2003
Entre 6 et 7 millions d'emplois sont interdits aux étrangers

Fonction et entreprises publiques, sociétés privées... au total, environ sept millions d'emplois -soit 30 % de l'ensemble des postes de travail- sont fermés aux étrangers, en particulier pour les non-ressortissants de l'Union européenne.

Le coeur de l'interdiction reste les cinq millions d'emplois de la fonction publique : enseignement, hôpitaux, collectivités locales sont -sauf statuts dérogatoires accordés quand le public ne trouve plus à recruter- fermés à ceux qui n'ont pas la nationalité française.

Il faut y ajouter environ un million d'emplois dans les entreprises publiques, de la SNCF à la RATP, qui ne s'ouvrent que très lentement.
Le secteur privé demeure moins fermé, mais des notaires aux médecins en passant par les avocats, environ 1,2 million d'emplois restent interdits aux étrangers : la moitié à cause de la nationalité, l'autre parce qu'il faut disposer d'un diplôme français pour y accéder.

Cette interdiction constitue une véritable barrière à l'intégration. Elle a été décrite, pour le privé, dans le rapport Brunhes* sur "les emplois du secteur privé fermés aux étrangers", rendu en 1999..."


Rapport disponible sur le site du Gisti ....

http://www.gisti.org/spip.php?rubrique246


POUR ENS AVOIR PLUS - LIEN SOURCE :


http://www.inegalites.fr/spip.php?article49&id_mot=112

Si la discrimination n'existe pas... Le racisme lui non plus n'existerait pas, dans notre beau pays la FRANCE - REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE.

Alors comment expliquer cela :


..."Pour le footballeur Lilian Thuram, il faut «tout faire pour que les gens vivent ensemble» :
«M. Sarkozy réveille le racisme latent des gens»


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/elections2007/250799.FR.php


ONU: Sarkozy accusé de légitimer intellectuellement le racisme


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :

http://www.rue89.com/2007/11/09/onu-sarkozy-accuse-de-legitimer-intellectuellement-le-racisme


Racisme : Siné, Dieudonné, Guaino... chasse aux sorcières ?

.."Les Français seraient-ils devenus globalement plus racistes ou au contraire plus enclins au « politiquement correct » ?"

.."30 % des Français se disent « racistes »


POUR EN SAVOIR PLUS- LIEN SOURCE :

http://www.rue89.com/2008/08/17/racisme-sine-dieudonne-guaino-chasse-aux-sorcieres


VISIONNER LES VIDEOS DES DISCOURS, INTERVENTIONS TELEVISUELLES DE NICOLAS SARKOZY
DONT LES PROPOS RACISTES, CARICATURAUX LUI ONT PERMIS D'ENGRANGER L'APPROBATION DE 53% DE FRANCAIS  
- Un exemple parmi tant d'autres...:



http://www.dailymotion.com/relevance/search/sarkozy%2Bracisme/video/x1uxjh_sarkozy-france-aimela-ou-quittela


..."La mort d'Aimé Césaire, poète français inventeur du concept de "négritude", est l'occasion de faire le point sur le stéréotype du noir en danseur emplumé ou violent machetteur. Pour y voir clair sur la "négrophobie" française, Bakchich.info a fait parler une femme écrivain qui est allé regarder dans les poubelles de nos grands hommes..."


POUR EN SAVOIR PLUS-LIEN SOURCE :

http://www.dailymotion.com/relevance/search/sarkozy%2Bracisme/video/x59452_ya-bon-banania-de-bossuet-a-nicolas_news



Si, le racisme n'existait pas, que l'on m'explique, la présence des soldats occidentaux en Afghanistant, Irak,  bientôt l'Iran..." bien blancs- bien catholiques"- français, Américains, Allemand, Belges, anglais etc. et, comme par hasard  ce sont les soldats de pays colonisateurs - "sommés de partir" une premiére fois par ces peuples, qui refusaient leur mépris, leur domination !!!

Et, ne parlons pas de la Palestine - terre occupée, terre humiliée -et de son  peuple  affamé soumis, que les Israéliens massacrent en toute impunité et avec la complicité des responsables politiques occidentaux et de leurs peuples.


Si, le racisme n'existait pas, pourquoi COLONISER - de nouveau ces pays et soumettre leurs peuples au modéle de sociétè occidentale
- ils ont leur propre modéle de sociétè et ce, malgré la premiére tentative de colonisation qui, s'est soldée - ne l'oublions pas - par le départ forcé des OCCIDENTAUX...MORTS ou VIVANTS !!!


Français !... votre racisme vous aveugle vous empêche de  regarder une réalité toute simple tellement simple qu'elle en devient bête :

 Ce sont vos enfants que les gouvernants de ce pays, envoient a la boucherie, avec pour soi-disant mission
"apporter la democratie aux sauvages"..."Lutter contre le terroristes"

"Ces sauvages",vous ont-ils demandé une quelconque aide ou intervention...?
Quant à la lutte contre les terroristes, posez-vous la question :
Qui a armé ces fractions ?
Qui a intérêt à entretenir le mythe des "méchant teroristes",

Les veritables terroristes, ne sont pas ceux que vos médias - infodés au pouvoir politique et financier - vous désignent à longueur de flashes d'informations.

"Les sauvages à civilisé et a qui vos gouvernants veulent imposer votre soi-disant demcoratie, ne vous ont rien demandé...
NON...Rien demandé !!
Alors restez chez vous et, ils-les sauvages resteront chez eux et se débrouilleront sans vous-les occidendaux ainsi qu'ils le font depuis des siécle et des siécles !!!


Le chômage omnipotent dans notre pays, peut bien souvent, justifier un engagement dans l'Armée, pour VIVRE et, non pour aller ce faire TUER afin de préserver l'idéologie dominante et au service d'une poignée d'individus sans scrupules !!!



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19 juillet 2008 6 19 /07 /juillet /2008 14:07

NOUS DEVONS :

ETRE CONSCIENTS...LUCIDES...SOLIDAIRES...
POUR ORGANISER...MENER LA LUTTE
SANS PERDRE DU REGARD, UN SEUL INSTANT
 LES VERITABLES OBJECTITS...
ET
ENJEUX DES COMBATS...
QUE DEVONS ET VOULONS MENER...


"Tout individu notoirement ennemi de l'organisation sociale ou politique de son pays, et, davantage encore, tout groupe d'individus contraint de se déclarer dans cette position adverse  -et comment pourrait-il garder absolument secret ce qui est la condition même du recrutement de ses membres? - est connu de plusieurs services de renseignements concurrents.

De tels groupes sont constamment sous surveillance. Leurs communications internes et avec l'extérieur sont connues. Ils sont rapidement infiltrés par un ou plusieurs agents, parfois au plus haut niveau de décision, et dans ce cas aisément manipulable.


[...] Tout groupe d'opposition doit donc en être averti et veiller à ce
que cette inévitable conjoncture ne porte pas tort à la cause qu'il sert

ce qui est tout à fait compatible avec une activité révolutionnaire, mais ne l'est pas avec une activité terroriste telle qu'on nous la représente sur les tréteaux médiatiques.


Cette sorte de surveillance implique que n'importe quel attentat
terroriste, qu'il soit islamiste, indépendantiste, gauchiste ou
foldingue, ait été permis par les services chargés de la surveillance du groupe qui le revendique, parfois encore facilité et aidé techniquement lorsque son exécution exige des moyens hors d'atteinte des terroristes, ou même franchement décidé et organisé par ces services eux-mêmes.

Une telle complaisance est ici tout à fait logique, eu égard aux effets
politiques et aux réactions prévisibles de ces attentats criminels."

Michel Bounan, "Logique du terrorisme"


L'histoire des Brigades Rouges, telle qu'elle a été récemment relatée par un de ses membres fondateurs, à savoir Alberto Franceschini1, ne viendra pas démentir ce qui précède, mais constitue bien un nouvel exemple de ce qu'il faut bien appeler le terrorisme d'état,

c'est-à-dire la manipulation d'un groupe terroriste  -ou en passe de l'être - afin de servir les intérets d'une ou de plusieurs factions, d'un ou de plusieurs états.

Issues du groupe Sinistra Proletaria - Gauche Prolétarienne -, l'existence des Brigate Rosse débute en octobre 1970 autour de Renato Curcio et de Franchescini, en réaction à un attentat retentissant :

celui de la Piazza Fontana - décembre 1969 -, qui marquera le début des " années de plomb ",

c'est-à-dire une guerre civile de basse intensité.
Ce massacre, perpétré par des militants fascistes, sera désigné par les
autorités comme étant le fait de militants anarchistes (2).

C'est aussi le début de ce qu'on appellera la "stratégie de la tension",
ce terme désignant des opérations de déstabilisation d'un pays menées par une faction par le biais d'attentats "false flag", c'est-à-dire mis sur le dos d'une faction adverse.

Il faut se remémorer le climat italien de l'époque :

les milieux conservateurs craignent une contagion de Mai 68.

Les pays de l'Ouest (3) craignent le spectre d'un gouvernement de gauche dans un pays abritant d'importantes bases militaires américaines.

L'OTAN, aidé en cela par des ultraconservateurs de la "loge P2" - une société secrète dont Silvio Berlusconi fît un temps parti -, auraient mis en place une pareille stratégie pour

1) influencer l'opinion et l'amener à accepter
un gouvernement autoritaire anticommuniste,

2) empêcher le compromis
historique entre la démocratie chrétienne et le Parti communiste italien.

Comme le reconnaîtra Franchescini :

"nous sommes partis à la conquête d'un
monde nouveau, sans nous rendre compte qu'en réalité nous contribuions à consolider le vieux.

" En effet, dès l'origine, les BR dévoilent une
faille dans leur stratégie, que leurs adversaires ne manqueront pas
d'exploiter :

si dans un premier temps elles tendaient à conserver un

ancrage solide dans le milieu ouvrier, la révolution reste pour elles un "processus politique dirigé par une avant-garde qui allait changer d'abord les conditions sociales puis les individus".

Fascinés par la résistance - et l'antifascisme -, les futurs Brigadistes
rouges sont des enfants déçus du Parti Communiste Italien - PCI -, et de son excès d'idéologisme.

La gauche marxiste mettait l'accent sur la politique et la propagande, il fallait déplacer l'accent vers les luttes sociales.

Face à l'urgence de la situation, un axe de lutte est retenu :
la lutte armée clandestine.

Celle-ci n'a de sens selon eux que si elle
sert à atteindre des objectifs immédiats et concrets, "lisibles" par les
gens comme des actes de justice.

L'enfer est pavé de bonnes intentions.

Mais, afin de bien définir la faille tactique, il faut décrire les
origines de l'organisation :

au départ, une centaine de jeunes gravitent autour d'un "appartement" loué au centre de la ville de Reggio, où sont installés les militants les plus actifs.

Ce milieu, extrêmement ouvert, et donc aisément infiltrable  -et vraissemblablement déjà sous surveillance policière-, nécessite la mise sur pied d'une sorte de d e ux i è m e niveau,

un niveau clandestin, où agirait un groupe restreint de personnes, vingt à trente camarades qui allaient former le noyau le plus aguerri des premières BR.


Très vite, le CPM, Collectivo Politico Métropolitano, un groupe proche idéologiquement, formé par Renato Curcio et Corrado Simioni, prend contact avec "l'appartement".

Si Curcio est le personnage public, Simioni est l'homme de l'ombre.

Il prépare le passage à la lutte armée, organise le réseau logistique et les structures clandestines ; si bien que le CPM est en mesure de déployer une véritable organisation militaire lors des défilés.

La fonction de celle-ci :

pousser à des affrontements plus violents.

Ce groupe à l'intérieur du CPM entretient par le biais de Simioni des
rapports internationaux. La façon d'agencer cette structure recourt aux procédés typique du sectarisme :

manipulation psychologique sous la forme

de rites initiatiques, mise à l'épeuve par Simioni des militants
-cherchant à créer un rapport de dépendance à son égard -, contrôle de la vie sexuelle des individus.


Sur un axe idéologique commun, les deux groupes fusionnent.

Mais la divergence dans l'intensité à donner à la lutte armée va scinder le groupe :

 alors que Curcio et Franchescini étaient pour des petites actions de
"justice prolétarienne", ancrées dans la réalité des usines et des luttes ouvrières,

pour Simioni l'objectif se situe dans la lutte anti-impérialiste, qu'il faut mener par des actions d'éclat, et donc sur une échelle internationale.

Comme le dit Franschescini :

"on cherchait à nous faire brûler des étapes" :

infilter les groupes de gauche pour les pousser à "élever le niveau de l'affrontement"par des actions militaires d'envergure.

Ainsi "les groupes de gauche se démantèleront, les révolutionnaires
sincères rejoindront notre réseau et nous, à ce monent-là, nous
déclencherons la guerre civile.

" Dix des militants de Reggio rejoignent Simioni et ce qu'on appelera son Superclan.

On ne reverra plus Simioni.

Ceux qui restent formeront la première mouture des BR.

Ce groupe-là préfère se situer sur un plan de parité avec les autres groupes de gauche, et privilégie des actions peu coûteuses en terme de logistique, et reproductibles.

En mars-avril 1971, Mario Moretti, un militant qui avait rejoint le CPM et la structure clandestine de Simioni, revient.
S'ensuit alors toute une série de bizarreries, d'incohérences :

une tentative d'enlèvement manqué, la cible -un représentant de la démocratie chrétienne- disparaissant une semaine avant l'opération, et tout de suite après, l'arrestation par la police d'une vingtaine de brigadistes, ainsi que la découverte de trois caches.

Seul le noyau dur -cinq personnes au total dont Franchescini-
est
en liberté.

La plupart des militants emprisonnés constituaient un second
cercle, semi-clandestin.

En prison, Pisetta, un homme de Moretti,

collabore tout de suite avec la police.

Ensuite Moretti laisse négligemment la voiture de sa femme devant une des caches le jour-même où celle-ci fût découverte par les policiers.

De plus, c'est lui et le même Pisetta qui ont équipé cette cache, et si l'on ajoute à cela le fait que Moretti et sa femme habitent juste en face de l'immeuble du chef de la Brigade politique du commissariat de police, on peut en conclure que plusieurs règles de la vie en clandestinité ont étéenfreintes délibérément.

Mais c'est une conclusion à laquelle
n'aboutissent pas les autres brigadistes.


Moretti, arguant du fait que la police est remontée jusqu'à sa femme, se déclare en danger et les met devant le fait accompli :

entrer dans la clandestinité avec eux.

Bilan de l'opération :


plusieurs camarades arrêtés ou identifiés, et Moretti qui fait maintenant partie de l'exécutif des BR.


Ensuite, tandis que les groupes de la gauche extra-parlementaire se
délitent, les BR, se renforcent, grossissent leur rang, se livrent à des
hold-up, des braquages dans toute l'Italie, dérobent des carnets
d'adresses de riches industriels, tout cela sans être jamais inquiétés.

"Nous avions le sentiment que quelqu'un nous protégeait", dira
Franchescini.

En effet, l'histoire des BR n'est pas seulement l'histoire de
l'organisation et de ses militants pris séparément, c'est aussi l'action
de l'Etat à leur égard :

on les a combattus quand c'était utile de les
combattre, on les a laissé faire quand c'était utile
de les laisser se
développer.

Le 8 septembre de cette année là, où les carabiniers arrêtent Curcio et
Franchescini, marque un tournant dans l'histoire des BR.

Les militants du noyau historique étant évincés, on assiste à l'émergence des secondes BR dirigées par Moretti, un miraculé qui imprimera un nouveau tournant à l'organisation :

une escalade de violence qui culminera dans l'enlèvement
d'Aldo Moro - président de la Démocratie Chrétienne, le parti au pouvoir -
le 16 mars 1978, le jour même où Giulio Andreotti - Président du conseil des ministres et membre de la Démocratie chrétienne - présentait aux chambres un gouvernement de "compromis historique" avec le PCI

Franchescini, qui connaissait tous les brigadistes ayant participé à
l'enlèvement, ainsi que leur niveau militaire, ne comprend toujours pas comment ils ont pu réussir un coup pareil.

De plus, il précise qu'aucun  des anciens du noyau historique n'avait jamais pensé à Moro comme à une cible possible :

pour eux, l'ennemi était le projet "néo-gaulliste"
incarné par la droite démocrate-chrétienne.

Mais surtout, la gestion politique de la séquestration lui semble
inacceptable :

Moro était en train de révéler des secrets militaires
sensibles, ainsi que la corruption de l'ensemble de la classe politique
italienne - révélée plus tard par l'affaire "mains propres" - à ses
geoliers de façon à obliger l'Etat à négocier sa libération.

Le 9 mai 1978, de manière inexplicable, Moro est assassiné par Moretti et ses secrets sauvegardés, alors que leur révélation aurait provoqué un séisme politique, et peut-être une situation pré-révolutionnaire.

Son assassinat a protégé l'Etat.
Moretti tout comme Simioni, sont considérés aujourd'hui
par Curcio et Franchescini comme des espions.

Les analyses que l'on peut tirer de cette série d'évènements sont
duplicables à l'infini, dès lors qu'il s'agit d'une avant-garde armée,
ou qui se rêve comme telle : l

a RAF, Action Directe, etc. Toute logique
avant-gardiste séparé des luttes politiques réelles, est tôt ou tard
victime de son isolement :

elle est ainsi facilement manipulé par toutes
sortes de factions, détournée de ses objectifs initiaux.

Elle finit par
servir et renforcer l'Etat qu'elle se promettait d'abattre...."


Florent


_1.- Alberto Franchescini. "Brigades Rouges : l'histoire secrète des BR
racontée par leur fondateur". Entretien avec Giovanni Fasanella. Editions
du Panama 2005.

_2. - Des deux militants anarchistes désignés par l'Etat comme les
poseurs de la bombe de la place Fontana, le premier, Pinelli fut
"suicidé" par la police du haut du commissariat de Milan - on prétexta
qu'il était coupable puisqu'il avait voulu fuir en se jetant par la
fenêtre… -,
le deuxième Valpréda fit des années de prison qui lui
détruisirent la santé avant d'être reconnu parfaitement innocent.

Dès l'origine de l'attentat, les services de l'Etat savaient quel groupe
fasciste le préparait avec leur aide.

_3.- Les états se divisent alors essentiellement entre ceux qui se
reconnaissent dans l'idéologie marxiste léniniste - "l'Est", dominé par les
maîtres de l'URSS - et ceux qui prônent l'idéologie du marché  -"l'Ouest",
dominé par la bourgeoisie des USA -.

Entre les deux, c'est alors ce qu'on appelle "la guerre froide".


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :






CNT AIT -- 7  rue ST Rémésy
31000 TOULOUSE



 http://cnt.ait.caen.free.fr/forum
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15 juillet 2008 2 15 /07 /juillet /2008 07:57


GREVE GENERALE....GREVE GENERALE... GREVE GENERALE...

ET
DEVINEZ QUOI....

CE NE SONT NI LES SYNDICATS...
NI LE PARTI SOCIALISTE...
NI LE MODEM PARTI DE BAYROU...
NI...NI...NI...

QUI SONT A L'ORIGINE DE CETTE INITIATIVE
MAIS
LE CONSEIL NATIONAL DE LA RESISTANCE
LES PAPYS RETOURNENT AUX COMBATS
BRAVO...
ET
VIVE LA RESISTANCE
VIVE LE 14 JUILLET S'IL REPREND SENS !!!!!


14 juillet 2008
..."Le CNR propose une grève générale reconductible
le 10 novembre 2008.


..."Ironie de l'histoire, c'est le Conseil National de la Résistance ;
dont l'idéologue du Medef, Kessler, veut liquider le programme social, qui vient enfin de fixer une date et une méthode pour arriver à la Grande Grève Générale reconductible dont le mouvement social français a tant de mal à accoucher.


La date proposée est le 10 novembre 2008.

Sacré préavis !!!


Il semblerait qu'il soit fait appel à la base des syndicats pour qu'elle se ré-approprie ses états-majors et les oblige, en demandant des mots d'ordres de grève locaux, à suivre le mouvement.

Informations, arguments, et méthodes à diffuser depuis... Tenez-vous bien : www.conseilnationaldelaresistance.fr

Celle-là, de grève, elle risque de se voir de loin Monsieur le Président..."


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :


www.conseilnationaldelaresistance.fr

http://www.legrandsoir.info/spip.php?article6919

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4 juillet 2008 5 04 /07 /juillet /2008 18:13


..."Le danger est que le choc économique

Opère de la même façon qu'une dictature :

L'hypothèse de base, c'est que les gens sont en mesure de réagir à un changement progressif - un programme de santé supprimé par ici, une entente commerciale signée par là -, mais que, quand des dizaines de changements arrivent en même temps, de tous les côtés, ils ont le sentiment que leurs efforts seront futiles et ils baissent les bras.

Nous le voyons dans la cacophonie générale et, sans étendre notre vue au plan mondial, nous en avons un parfait exemple avec les coups de boutoirs dont Sarkozy martèle les institutions, la démocratie et dans tous les domaines sociaux.

Dans les deux mois qui ont suivi son interview télévisée du 24 avril sur les chaînes nationales, le président français Nicolas Sarkozy a annoncé ou fait voter une série de mesures socialement régressives en dépit de l'hostilité populaire massive et de la colère devant l'inaction de l'Etat face à l'inflation rapide des prix des carburants et des produits d'alimentation.

Néanmoins le 17 juin, la dernière grève à l'appel des syndicats contre cette politique n'a pas été très suivie et il n'y a actuellement plus aucune manifestation nationale de prévue.

La chute du nombre de manifestants ne peut être attribuée à un soutien grandissant pour Sarkozy.

Dans un sondage BVA daté du 24 juin pour le quotidien économique Les Echos, 63 pour cent des sondés ont dit désapprouver la politique économique de Sarkozy et 71 pour cent ont exprimé leur manque de confiance en sa capacité à réduire l'inflation.

La cote de popularité de Sarkozy se situe à 36 pour cent.

Le directeur de la Banque de France, Christian Noyer et celui de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet ont tous deux appelé à ce que les hausses de salaire soient maintenues en dessous des augmentions du prix des carburants et des produits alimentaires, ce qui contribuera encore à appauvrir les travailleurs.

Le climat populaire en France est de plus en plus à l'amertume et à la colère...".

Comme le reconnaissent maintenant largement de nombreux commentateurs, la traîtrise de la bureaucratie syndicale a été le principal élément qui a brisé et isolé l'opposition des travailleurs à la politique gouvernementale.

Par une lutte coordonnée, les millions de travailleurs des transports ferroviaires, de la poste, de l'éducation, de l'industrie, des ports, de la restauration, de la distribution, de la pêche, des transports routiers et les ambulanciers qui ont fait grève ces derniers mois auraient pu facilement paralyser l'économie, remettre en question directement l'existence même du gouvernement et de son programme d'attaques sociales.
Mais une telle lutte n'est possible que s'il existe une direction politique révolutionnaire dans la classe ouvrière.

Sarkozy n'a pas trouvé un tel adversaire dans la bureaucratie syndicale qui a au contraire cherché à démanteler et à démoraliser l'opposition des travailleurs, tout en proclamant en même temps son accord et sa collaboration avec le gouvernement.

Dans une interview accordée au Financial Times le 18 avril, le dirigeant CGT (Confédération générale du travail) Jean-Christophe Le Duigou a fait l'éloge de Sarkozy en disant,

« Il comprend que nous devons donner une place au dialogue.

[...] Tout le monde pense que les choses doivent changer. » Sarkozy qui avait reconnu dans un éditorial du Monde le 18 avril que toutes ses réformes avaient été préparées à l'avance avec les syndicats, avait fait leur éloge lors de l'interview télévisée du 24 avril :

« Je veux rendre hommage aux syndicats. [...] On ne peut pas gouverner un pays sans de forces syndicales responsables. »
Cela se passait au moment où la bourgeoisie française était confrontée à des manifestations répétées de lycéens s'opposant aux suppressions de postes et aux réformes des programmes dans l'Education nationale; à des travailleurs sans-papiers dans les secteurs de la restauration et du bâtiment réclamant leur régularisation ; à des grèves de travailleurs portuaires dans les principaux ports commerciaux.

Dans une série inhabituelle de grèves du secteur privé, les travailleurs de Coca-Cola, des magasins Carrefour, de Virgin Megastore, de la Redoute ont fait grève contre l'inflation et pour des augmentations de salaire, et les travailleurs d'Airbus ont fait grève contre la vente de leurs usines en France et en Allemagne.
Après l'interview télévisée de Sarkozy, dans laquelle il avait annoncé sa détermination à poursuivre ses réformes, les syndicats se sont sentis obligés d'organiser un semblant d'opposition concertée.

Mais ils ont compté sur des tactiques bien éprouvées pour diviser le mouvement :

appeler régulièrement à des actions d'une journée sur des questions séparées, diviser les manifestations entre les différentes fédérations syndicales, sans cesser en même temps de négocier avec les représentants de l'État.

L'objectif était d'empêcher que les grèves ne se rejoignent et ne puissent perturber l'économie et ne présentent devant la classe ouvrière la possibilité d'une lutte unie contre l'ensemble du programme économique de Sarkozy.

Le 1er mai, 200 000 travailleurs ont défilé dans tout le pays, bien que les syndicats Force ouvrière et la CFTC (Confédération française des travailleurs chrétiens) aient organisé des défilés séparés.

Les syndicats avaient prévu pour le 15 mai une manifestation conjointe des travailleurs de la fonction publique contre les suppressions de postes dans l'enseignement et la fonction publique.

Quand le 7 mai, le ministre du Travail Xavier Bertrand a confirmé son projet de faire passer de 40 à 41 années la durée de cotisation ouvrant droit à une retraite complète, les syndicats n'ont pas appelé les autres travailleurs touchés par cette mesure, dont les cheminots, les travailleurs du transport aérien, de l'énergie, de Telecom et de la poste, à rejoindre l'action du 15 mai, mais ont plutôt appelé à une journée d'action séparée le 22 mai.

Durant la manifestation du 15 mai, plus de 300 000 personnes ont défilé et un million de travailleurs ont fait grève ; cela a été suivi par la manifestation pour les droits à la retraite le 22 mai où 700 000 personnes ont défilé dans tout le pays.

Le jour suivant, les syndicats signaient un accord sur le « dialogue social » et les conditions d'emploi dans le service public. En signant un accord que les grèves des travailleurs du secteur public avaient pour but d'empêcher, les syndicats ont, dans les faits, torpillé la mobilisation des travailleurs du secteur public. Le 24 mai, une manifestation contre les suppressions d'emplois dans l'éducation n'a réuni que 7000 personnes à Paris.

Au moment des grèves croissantes des marins-pêcheurs les 26 et 27 mai sur la question du prix des carburants, les syndicats ont décidé de ne pas appeler à d'autres grèves contre les suppressions de postes dans l'éducation, au motif qu'il était nécessaire de laisser lycéens et enseignants travailler pour les examens de fin d'année. Une déclaration commune des syndicats de l'éducation des différentes confédérations syndicales déclarait qu'elles « renvoy[aient] la question d'une suite à leur mouvement après les vacances d'été ».

Le 10 juin, la mobilisation des fonctionnaires et des cheminots contre les suppressions de postes, la réforme des retraites et la réforme du fret à la SNCF a eu lieu alors que se déroulaient des grèves de travailleurs dans les ports commerciaux stratégiques contre la privatisation, ainsi que des grèves de pêcheurs, de transporteurs routiers et d'ambulanciers et fermiers contre la hausse des prix du gazole.

Mais les syndicats n'ont aucunement cherché à organiser une grève plus large du secteur des transports contre la privatisation et la hausse du prix des carburants.

Le 11 juin, les syndicats ont signé un accord sur « seize points de convergence » avec le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos, torpillant la relance du mouvement des lycéens après les grandes vacances ce qu'ils avaient faussement suggéré être en train d'envisager le 27 mai.

Les 12 et 13 juin, le parlement votait des lois de réforme et de déréglementation du marché du travail, la précédente ayant été signée par les syndicats en janvier.


Ces actes montrent de plus en plus clairement aux travailleurs que les syndicats ne s'opposent pas sérieusement au gouvernement, lequel n'a aucune intention de céder devant des grèves isolées.

La manifestation du 17 juin pour les droits de retraite et contre le démantèlement de la semaine de 35 heures, démantèlement auquel les syndicats eux-mêmes avaient participé dans une « position commune » avec les organisations patronales en avril, a rassemblé 500 000 travailleurs dans tout le pays.

Des manifestants interviewés par le WSWS remettaient en question les motifs des syndicats et l'utilité des luttes qu'ils menaient. Après la manifestation, le dirigeant de la CFDT (Confédération française démocratique du travail) François Chérèque a expliqué « Nous voulons reprendre le dialogue » avec les employeurs, tandis que le dirigeant de la CGT Bernard Thibault suggérait une autre mobilisation, mais étrangement proposait de la remettre à après les grandes vacances, soit en octobre.

Le discrédit des syndicats est source de grande inquiétude pour le gouvernement de Sarkozy qui craint de perdre sa méthode la plus efficace pour briser l'opposition de la classe ouvrière. Le quotidien Le Monde écrivait le 24 juin :


« A l'Elysée] on veille aussi, comme le précise le conseiller social du président, Raymound Soubie, à ce qu'il n'y ait pas "un affaiblissement des syndicats et l'apparition de mouvements incontrôlés" ».


Le commentaire de Soubie explique très bien le rôle de la bureaucratie syndicale :


une camisole de force contrôlant les mouvements de la classe ouvrière...."


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :


http://diablogtime.free.fr/?p=485



Avons-nous réellement besoin de ces syndicats " JAUNES" pour défendre  nos acquis, nos droits fondamentaux
Et
lutter contre les décisions INIQUES, contre les orientations politiques de politiciens, retords, vendus a l'idéologie Néoconservatrice/ultralibérale/des intégristes religieux/ américains ? 

Pensons-nous réellement que ces syndicats "JAUNES" depuis de nombreuses années allaient se muer en fervents défenseurs de nos droits, de ceux des travailleurs, des plus démunis, du citoyen lambda...

ou


sommes-nous seulement et simplement les dupes de notre mise a mort - ce retour vers les conditions de travail, d'existence et de soumission de notre ancêtre  GERMINAL - ; programmée et mise en scéne par le gouvernement avec la complicité active des syndicats ?



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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 08:21


A RELAYER....A RELAYER.....A RELAYER......


TEXTE DIFFUSE HIER A LA MANIFESTATION DE VANNES -  56 -.


..."Nos fins de mois sont de plus en plus rudes, voire même impossibles ;
de plus en plus, nos vies sont réduites à une tentative de survie,
soumises à la galère de l’intérim, à la trouille du chômage,
à l’augmentation des coûts de l’alimentaire,
du transport, de la santé, à la disparition progressive de la retraite, etc.

Qui sème la misère récolte la colère.

Cela, nos oppresseurs le savent bien ; ainsi, le fichage et le contrôle social de nos existences atteignent des dimensions toujours plus alarmantes, par le biais d’une utilisation fallacieuse de l’idée de progrès ; bienvenue dans le monde de big-brother.

Tout cela répond aux aléas multiples du capitalisme, qui s’accommode volontiers des successifs changements de gouvernements.

D’ailleurs, qu’ils aient été de droite ou de gauche, leurs actions n’ont consisté qu’à nous enfoncer un peu plus.

Le « je-m’en-foutisme », la « résignation »,
et
le « coup de gueule individuel » ne changeront pas la donne.

Ils ne feront même que l’empirer.
Seule la lutte est efficace, comme lors du mouvement contre le CPE/CNE.
Pour qu’elle soit victorieuse, nous, exploités, opprimés et/ou indignés, ne pouvons compter que sur nous-mêmes.

C’est-à-dire que nous devons développer nos propres capacités pour agir de façon autonome, en nous passant des « services » des bureaucrates syndicaux.

Ceci implique de créer des comités de lutte regroupant toutes les personnes qui refusent de s’écraser et qui désirent faire face activement et collectivement à l’oppression généralisée.

D’autre part, il est impérieux que ces comités de lutte refusent
l’enfermement dans le corporatisme -la simple défense de son intérêt catégoriel-.


Lycéens, étudiants, précaires, travailleurs et chômeurs : soyons tous unis dans des comités de lutte et les assemblées générales, les deux terminaisons nerveuses de la lutte.

Les anarcho-syndicalistes de la CNT-AIT appellent cela la résistance
populaire autonome.

Mais, depuis trop longtemps, la démagogie et l’illusionnisme sont utilisés pour
fourvoyer la lutte dans l’impasse.

Il est nécessaire par exemple de rompre avec le
rituel des manifestations et des actions sporadiques sans perspectives réelles.

Attaquons-nous aux véritables cibles représentatives des pouvoirs -politique,
économique, …- en les bloquant à notre avantage.

Résistance populaire autonome ! Grève générale !

L’Etat et le patronat continuent, la lutte aussi


POUR EN SAVOIR PLUS - LIEN SOURCE :

CNT/AIT
Association Internationale des Travailleurs

Pour tout contact avec la CNT AIT en Bretagne :

CNT AIT
BP 2010
14089 Caen cedex

Courriel :
 
cnt.ait.caen(a)free.fr

SITE  :

http://cnt.ait.caen.free.fr/forum

 

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 18:18


...CE N’EST PAS MOI QUI L’AFFIRME…....
MAIS
David ROTHKOPF...   

 



181861883

UNE ETUDE A ECHELLE MONDIALE REVELE LA COLERE GRANDISSANTE FACE AUX INEGALITES SOCIALES

 

 

L’accumulation sans précédent des richesses par une petite minorité financière dans un contexte de baisse des revenus réels pour la grande majorité de la population mondiale engendre une augmentation du mécontentement et de la colère.

C’est l’enseignement à tirer d’un sondage conduit en Europe, en Asie et aux Etats-Unis par l’institut Harris et commandité par le Financial Times de Londres.


Dans un commentaire, publié lundi dernier, des résultats du sondage, le Financial Times écrivait :


« Les inégalités de revenus se sont révélées comme des questions politiques hautement polémiques dans de nombreux pays au moment où la dernière vague de mondialisation a engendré une « superclasse » de riches. »


Le sondage FT/ Harris a montré que, de par l’Europe, une écrasante majorité de personnes pensent que le gouffre social existant entre l’élite financière et le reste de la population est devenu beaucoup trop important.


Par exemple, en ESPAGNE 76 % des sondés déclarent que les inégalités sociales sont devenues trop importantes,
tandis qu’en ALLEMAGNE , ce chiffre s’élève à 87 %.


En ce qui concerne la CHINE , qui est devenue le centre industriel à bas salaire du monde, assujettissant des millions de travailleurs à l’exploitation tout en produisant une nouvelle classe de milliardaires et de multi millionnaires,
80 % des sondés déclarent que les inégalités sont trop grandes.


Aux ETAT-UNIS , le pays le plus socialement inégalitaire des pays capitalistes avancés, 78%  des sondés pensent que le fossé s’est trop creusé.


Une importante majorité des habitants dans les huit pays où le sondage a été conduit, déclarent croire que le gouffre social ne fera que s’amplifier dans les cinq années à venir, tandis qu’une majorité également importante soutient l’idée d’augmenter les impôts pour les riches tout en les diminuant pour les pauvres.


Dans une situation où l’aggravation de la crise secoue les ETAT-UNIS et le système financier mondial, de larges  bouleversements économiques ont rendu l’amassement de fortunes indécentes par une minuscule élite financière encore plus insupportable pour un nombre très important de personnes confrontées à une baisse de leur niveau de vie, à la perte de leur emploi et dans de larges régions du globe à une montée de la famine.


Selon la FAO (Food and Agricultural Organization, organisation pour l’alimentation et l’agriculture), les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 45 % dans le monde au cours des neuf derniers mois et le prix des produits de base a augmenté encore plus – le blé a augmenté de 130 % et le riz a augmenté de 74 % au cours des douze derniers mois.


Deux milliards et demi de personnes – soit 40 % de la population mondiale – vivent avec moins de 2 dollars par jour et sont confrontés, de par l’augmentation faramineuse du prix des denrées alimentaires, au spectre imminent de la famine.


Dans un communiqué publié la semaine dernière, le directeur général de la FAO, Jacques DIOUF, a présenté « le problème de la spéculation financière » comme étant la cause majeure de cette catastrophe imminente.


Et il affirmait que
« les fonds d’investissement spéculent sur les marchés à venir et contribuent à l’augmentation du prix des marchandises, y compris des denrées alimentaires. »


La décision du Financial Times, journal qui fait autorité à la Cité de Londres, de commanditer ce sondage traduit bien la montée du malaise au sein des cercles dirigeants de la planète qui craignent que la menace d’une intensification sans précédent de la polarisation sociale, associée à une crise économique, puissent déclencher une résurgence aiguë de la lutte des classes.


Ainsi, à Bruxelles, au cours de la semaine dernière, lors de la rencontre des 27 ministres des Finances de l’Union européenne, la montée en flèche des salaires des cadres supérieurs des sociétés a été présentée comme « un scandale » et comme un « fléau social. »


Jean Claude JUNCKER, actuel Président  de l’Eurogroupe  a fait le commentaire suivant :


« Les abus des capitaines d’industrie auxquels nous avons assisté dans plusieurs pays de la zone euro sont proprement scandaleux et nous ne cessons de nous demander comment on peut agir dans le domaine de l’éthique professionnelle et dans le domaine des taxations afin de combattre ces excès. »


Récemment, un scandale public a éclaté quand un PDG néerlandais a encaissé
124 millions de dollars de primes et de stock options.


Si l’on se base sur les critères américains, cette enveloppe n’a rien d’extraordinaire, mais les primes moyennes, aux Pays-Bas, représentent à peine le quart de ce qu’elles sont aux ETAT-UNIS .


JUNCKER, qui est à la fois premier ministre et le ministre des Finances du Luxembourg, a affirmé que la Commission européenne allait exiger des pays membres qu’ils fassent un rapport sur ce

« qu’ils comptent mettre en place pour lutter contre ce fléau social. »


Plusieurs gouvernements européens ont ébauché une législation qui taxerait lourdement les primes exorbitantes pour les cadres.


JUNCKER a mis en évidence la crainte réelle de la bourgeoisie européenne quand il a prévenu que les travailleurs de base

« ne comprendront pas si nous leur demandons de modérer leurs revendications salariales sans dire en même temps que nous n’acceptons plus une situation où certains directeurs perçoivent des salaires de PDG – tout en bénéficiant de parachutes dorés – qui n’ont rien à voir avec leur réelle performance. »


Autrement dit, une situation où les richesses s’accumulent ostensiblement en haut de l’échelle sociale, alors que l’on demande aux plus défavorisés de se serrer la ceinture, peut mettre le feu aux poudres et déclencher une révolte sociale.


Dans le même ordre d’idée, la semaine dernière, le Financial Times a publié un article de mise en garde de David ROTHKOPF, auteur de Superclass :


The Global Power Elite and the World They
are Marking -La superclasse:


la puissante élite mondiale et le monde qu’elle façonne- et ancien sous-secrétaire adjoint au Commerce international au sein de l’administration Clinton.


David ROTHKOPF écrit :


« La crise du crédit amplifie la réaction brutale naissante contre les abus des grandes entreprises.


Les élites se font des milliards sur les marchés, que ceux-ci soient à la hausse ou à la baisse, avec le soutien du gouvernement alors que monsieur Tout-le-monde perd sa maison et se retrouve à la rue.


Il y a 30 ans, les dirigeants des multinationales gagnaient
35 fois
plus qu’un employé moyen, maintenant
ils gagnent plus
de 350 fois plus.


La crise a mis en évidence les iniquités indécentes dans ce domaine.


– les 1100 personnes les plus riches du monde ont presque deux fois plus de biens que l’ensemble des 2,5 milliards de personnes les plus pauvres. »


David ROTHKOPF conclut son article par une mise en garde :

l’oligarchie financière doit sauver sa peau en réfrénant ses excès.

« En reconnaissant qu’il y a un intérêt général auquel elle doit répondre, la superclasse financière peut échapper au sort des élites du passé, » écrit-il.


« Pour réussir à le faire, elle doit éviter de donner ses explications arrogantes, du type "c’est le
marché qui décide" pour expliquer les inégalités qu’elle a contribué à favoriser. »


Cet avertissement sur le danger de connaître le « sort des élites du passé » est indubitablement très sérieux surtout dans les pages du principal journal financier britannique.


A qui donc pense l’auteur de cet article :

A l’aristocratie française ?
A la dynastie russe des Romanov ?

Visiblement, on prend très au sérieux, au sein des classes dirigeantes, la menace que le ressentiment massif suscité par les inégalités est en train de créer les conditions pour des soulèvements sociaux, voire même la révolution.


Le conseil de David ROTHKOPF adressé aux élites dirigeantes de répondre à « l’intérêt général » et d’être moins arrogantes ne parviendra pas à résoudre le problème qui est fondamentalement enraciné, non pas dans l’avidité et l’arrogance évidentes de ceux qui tirent profit de différentes formes de spéculation financière qui menacent de provoquer une famine dans de nombreuses régions du monde, mais bien plutôt dans le fonctionnement même du capitalisme.


C’est Karl Marx qui, il y a plus de 140 ans, a développé la théorie de « l’accroissement de la pauvreté » afin d’expliquer cette caractéristique inhérente à la production capitaliste.

KARL MARX a écrit :

« Accumulation de richesses à un pôle, c’est égale accumulation de pauvreté, de souffrance, d’ignorance, d’abrutissement, de dégradation morale, d’esclavage au pôle opposé, du côté de la classe qui produit le capital même. »

-KARL MARX, Capital 1, chapitre 25, section 4.-


Aucun élément de l’analyse marxiste du capitalisme n’a été sujet à des critiques  plus fournies et plus soutenues de la part des défenseurs de l’économie de marché que cette théorie.


Ils argumentent que l’expansion du capitalisme et l’accumulation des richesses conduisent inexorablement à l’augmentation du niveau de vie de la masse des travailleurs.


La fausseté de cet argument et l’exactitude de l’analyse de KARL MARX sont une nouvelle fois confirmées, non seulement dans le discours froid des statistiques, mais également dans les luttes toujours plus explosives des masses confrontées à l’impossibilité d’obtenir les moyens de survie basiques qui leur sont refusés du fait d’un système de production basé sur le profit individuel… »


Article original en anglais de  Bill VAN  AUKEN  WSWS, paru le 20 mai 2008



POUR EN SAVOIR PLUS – LIEN SOURCE

 

 

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=VAN20080530&articleId=9129

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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 08:05



LES PAYSANS  BOLIVIENS  SONT HUMILIES, RABAISSES

LEUR DIGNITE D’INDIVIDU LIBRES BAFOUEE 

 

AU NOM DE VIEUX PRINCIPES COLONIAUX…IMBECILES

ET

 RETROGRADES

 

 

RACISME ET VIOLATION DES DROITS DE L’HOMME

A SURCRE

EN BOLIVIE

 

… » Selon l’usage en Bolivie, samedi 24 mai, la ville de Sucre s’apprêtait à commémorer le premier soulèvement contre l’Espagne COLONIALE– festivité civique à laquelle participe l’ensemble de la population.

 

Ce qui aurait dû être une fête réunissant les citoyens afin de célébrer les luttes pour l’Indépendance s’est transformée en une journée de furie raciste.

 

La violence qui s’est déchaînée à Sucre contre les paysans indiens n’a nullement ravivé la mémoire des batailles héroïques :

ce sont plutôt les heures les plus sombres de l’époque coloniale qui ont paru d’actualité.

 

LES FAITS

Pour la célébration du « Cri libérateur », le Président de la République de Bolivie,

EVO MORALES, devait venir à Sucre remettre aux délégations paysannes, réunies dans le stade Patria, des fonds destinés à financer des projets de développement ainsi que l’achat d’ambulances.

 

La nuit précédente, des groupes organisés, notamment étudiants, armés de pétards et de dynamite, occupèrent le quartier du stade, décidés à empêcher l’événement.

 

A l’origine de cette initiative se trouve le soi-disant « Comité Interinstitutionnel » qui prétend tracer l’avenir politique de la cité – sans jouir de la moindre représentativité populaire ni de la moindre autorité départementale.

 

Ce Comité est animé par le Recteur de l’Université San Francisco Javier de Chuquisaca, par diverses personnalités universitaires ou de la mairie, par un groupement dénommé

« Comité CIVICO»,

et par la fédération patronale du département.

Tout cela en étroite collaboration avec les leaders de l’opposition du Département de SANTA CRUZ.

En raison du climat de violence instauré depuis la veille, le rendez-vous prévu avec

EVO MORALES  est annulé…. »

 

Quand se présentent les paysans venus des campagnes alentour, accompagnés de leurs représentants traditionnels – tel le maire de MOJOCOYA –, ces membres des communautés indiennes, hommes, femmes et enfants, sont attendus aux entrées de la ville et s’y trouvent bloqués.

On leur jette des pierres, on les frappe, et même les femmes et les enfants qui gisent à terre sont roués de coups de pied.

Autour de Sucre, et dans divers quartiers, des événements d’une extrême violence se produisent :

des indigènes sont insultés, poursuivis, volés et contraints de se réfugier dans des maisons qui sont ensuite saccagées.

Cinquante cinq paysans sont pris en otage et obligés à se mettre torse nu et à marcher mains attachées.

Parvenus sur la place principale de Sucre, on les humilie sans que le public proteste, on leur ordonne de faire le tour de la place.

 

Devant le siège des autorités - la Casa de la Libertad-, on les force à se mettre à genoux, à embrasser le sol tandis que sont brûlés leurs drapeaux, leurs insignes et leurs vêtements traditionnels.

Des groupes de jeunes isolés prennent en otages d’autres paysans, les enferment, les maltraitent, les frappent en leur imposant d’absorber des excréments de poulets.

On dénombre plus de cinquante blessés ; la presque totalité sont des paysans indigènes dont plusieurs sont dans un état grave.

 

Des médecins de l’hôpital Santa Barbara et de l’hôpital universitaire ont refusé de prodiguer des soins à certains d’entre eux.

Ces événements inacceptables, reconstitués à partir de nombreux témoignages de paysans, de témoins oculaires et d’articles de la presse locale - El Correo del Sur

du 25 mai 2008 -, pourraient être interprétés comme la conséquence du climat d’affrontement politique que connaît actuellement la Bolivie.

 

 En fait, ils trouvent leurs origines dans le resurgissement d’un profond racisme anti-indigène comme le montrent des appels « à tuer les Indiens », « à empêcher qu’ils entrent dans la ville », « à les traiter comme des animaux ».

 

Ces incitations visent à persécuter, dévaloriser et exclure des citoyens boliviens, non seulement à cause de leur extrême pauvreté, mais aussi de leurs origines ethniques.

REFUSER L’INACCEPTABLE

Nous appelons donc l’opinion internationale à la plus grande vigilance. Et à empêcher que le climat politique ne débouche sur un racisme institutionnalisé, largement accepté par l’opinion publique bolivienne, dans les rues de Sucre et ailleurs.

Nous demandons instamment aux autorités de Sucre de ne pas considérer les paysans indiens comme des citoyens de seconde catégorie :

 ils ont le droit d’exprimer leurs opinions politiques dans tout espace public, et d’appuyer, s’ils le souhaitent, un Président de la République démocratiquement élu.

Le rôle des autorités est précisément de faire respecter ce droit inaliénable… »



Rosalia MARTINEZ, ethnomusicologue, Université Paris 8, CNRS, France
Tristan PLATT, anthropologue et historien, Professeur à l’Université St Andrews, Écosse
Gilles RIVIERE, anthropologue, CERMA-EHESS, Paris
spécialistes des cultures andines et de la Bolivie

 

 

 

 POUR EN SAVOIR PLUS LIEN SOURCE

 

http://www.michelcollon.info/articles.php?dateaccess=2008-05-29%2016:07:08&log=invites

 

 

LES REPRESENTANTS POLITIQUES de L'ESPAGNE, COLONIALE/RACISTE/DOMINATRICE SONT-ILS
LES FINANCEURS... LES ORGANISATEURS...
DE CES CONFLITS
AURAIENT-ILS POUR OBJECTIFS DE :

MINER…

AFFAIBLIR…

SAPER…

LA POLITIQUE MISE EN ŒUVRE

PAR EVO MORALES

AURAIENT-ILS POUR OBJECTIF
LA DEMISSION
EVO MORALES ?

ET SI L’OBJECTIF N’EST PAS ATTEINT

IRONT-ILS JUSQU'A ATTENTER

 A LA VIE

D’EVO MORALES

POUR DECOURAGER

ET

SOUMETTRE ENCORE ET TOUJOURS…

LE SEUL VERITABLE PEUPLE BOLIVIEN

LES INDIENS ?

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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 14:40



...
PARLONS SERIEUSEMENT DES RETRAITES....

 


POUR EN SAVOIR PLUS – LIEN SOURCE :

 

ATTAC 14 :

http://www.local.attac.org/attac14

 

 

Le système de retraites, un choix de société, par Gérard ASCHIERI

Jean-Marie HARRIBEY et Pierre KHALFA
Article paru dans le
 MONDE le 30 mai 2008

… »Cette crise financière sans précédent qui affecte toutes les institutions financières (banques, fonds de placement et fonds de pension) confirme, une fois de plus, que seul un système par répartition permet de garantir les retraites pour toutes les générations. Un tel système est fondé sur un contrat intergénérationnel.

 

Les salariés actifs payent avec une partie de leur salaire, versée sous forme de cotisation sociale, les pensions des retraités, car ils savent qu'une fois venu leur tour d'être à la retraite, la génération suivante fera de même.

Comme tout contrat, il ne peut reposer que sur la confiance.

Or, depuis des années, les pouvoirs publics s'acharnent à vouloir détruire cette confiance en présentant une vision catastrophiste de l'avenir pour justifier des mesures de régression sociale.

Ainsi, le gouvernement actuel veut augmenter encore la durée de cotisation à 41 ans et même engager un processus d'allongement permanent de celle-ci en y affectant les deux tiers de la croissance de l'espérance de vie à 60 ans.

Il s'agit donc d'une rupture historique.

Alors que, depuis plus d'un siècle, l'augmentation de la richesse produite, du revenu national, était en partie utilisée pour baisser le temps de travail, que ce soit de façon hebdomadaire ou sur toute la durée de la vie, l'objectif aujourd'hui est de "travailler plus pour gagner plus".

 

Dans le cas des retraites, ce slogan se traduit par le dilemme, mille fois ressassé :

 

"Soit l'augmentation de la durée de cotisation, soit la baisse du niveau des pensions."

 

En fait, les salariés ont l'une et l'autre depuis les mesures Balladur de 1993.

Depuis cette date, pour les salariés du secteur privé, ces mesures entraînent, selon le Conseil de l'emploi, des revenus et de la cohésion sociale (CERC), une baisse du pouvoir d'achat de la retraite du régime général de 0,3 % par an et de 0,6 % pour la retraite complémentaire, celui de la retraite des fonctionnaires baissant de 0,5 % par an.

 

Ces baisses devraient se poursuivre dans le futur et le décrochage par rapport aux salaires s'accentuer.

 

Selon le Conseil d'orientation des retraites (COR), le taux de remplacement moyen - le niveau de la retraite par rapport au salaire - est aujourd'hui de 72 %, il devrait passer à 65 % en 2020 et à 59 % en 2050.

Ces mesures ont aggravé les inégalités pour toutes les personnes aux carrières heurtées.

 

Les femmes, qui ont déjà des pensions en moyenne inférieures de 40 % par rapport à celles des hommes, sont particulièrement touchées par l'allongement de la durée de cotisation et par les effets très pénalisants de la décote.

 

En effet, à ce jour, seulement 39 % des femmes retraitées ont pu valider 37,5 ans, contre 85 % des hommes.

HYPOCRISIE SUR LES SENIORS

On mesure l'hypocrisie du discours actuel sur l'emploi des seniors quand on sait qu'aujourd'hui plus de six salariés sur dix sont hors emploi au moment de faire valoir leur droit à la retraite.

 

En outre, les jeunes rentrent de plus en plus tard sur le marché du travail.

 

Toute nouvelle augmentation de la durée de cotisation se traduira donc par une nouvelle baisse du niveau des pensions.

Hypocrite, cette solution est aussi dangereuse, car elle revient à rompre le contrat entre générations.

 

Si les actifs paient les pensions des retraités, en contrepartie, les salariés âgés laissent leur place sur le marché du travail aux nouvelles générations.

 

Cette exigence est d'autant plus forte que le chômage de masse perdure.

 

Décaler l'âge de départ à la retraite revient à préférer entretenir le chômage des jeunes plutôt que de payer des retraites.

En vérité, la solution au financement des retraites existe et elle figure d'ailleurs en filigrane de tous les rapports du COR.

 

Elle consiste à mettre un terme à la baisse de la part salariale (10 points en vingt ans) dans la valeur ajoutée, la richesse créée par les salariés dans les entreprises, et à accompagner l'évolution démographique par un relèvement progressif des cotisations sociales.

 

Est-ce possible ?

Le besoin de financement supplémentaire des retraites, par rapport à la loi Fillon de 2003, a été estimé par le rapport du COR de novembre 2007 à 1 point de PIB en 2020 et à 1,7 point en 2050.

Personne ne peut croire que l'évolution de l'économie ne permettra pas de le couvrir.

 

Un point de PIB correspond aujourd'hui à 10 % des dividendes versés aux actionnaires des sociétés non financières.

L'hésitation n'est plus permise :

 

il faut rééquilibrer le partage de la valeur ajoutée en augmentant le taux des cotisations dites patronales et en réfléchissant à l'élargissement de l'assiette des cotisations aux profits pour y appliquer le même taux qu'aux salaires.

 

Un tel rééquilibrage de la part des salaires serait compensé par une baisse des dividendes versés aux actionnaires et ne toucherait pas à l'investissement productif.

 

Il ne pénaliserait donc pas la compétitivité des entreprises.

La litanie sur le renchérissement du "coût du travail" n'a donc pas lieu d'être.

 

La frénésie de profits au cours des trente dernières années, facilitée par la financiarisation de l'économie mondiale avec sa spéculation récurrente, sa prolifération de produits financiers et ses paradis fiscaux pour abriter fraude et évasion fiscales, frappe d'ailleurs d'illégitimité toutes les lamentations patronales sur ce point.

 

Car ce qui est en train de délabrer les sociétés, du nord au sud de la planète,

C’est le "coût du capital",

Dans un double sens :

Ce qu'il prélève comme richesses devient exorbitant et ce qu'il provoque comme dégâts sociaux et écologiques devient inestimable.

 

C'est en ce sens que la question des retraites pose la question de savoir dans quelle société nous voulons vivre…. »

Gérard ASCHIERI, secrétaire général de la FSU
Jean-Marie HARRIBEY, coprésident d'Attac
Pierre KHALFA, secrétaire national de l'Union syndicale Solidaires.

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26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 15:01

ACQUERIR…UNE CONSCIENCE POLITIQUE…

D’ENGAGEMENTS

DE

DEFENSE

DE

RESPECT

DE

L’INTERET GENERAL…

 

Anarsonore est un projet de bibliothèque sonore en ligne (podcast en novlangue).


Il propose à l'écoute, et au téléchargement, des textes lus de

la littérature ou de la presse anarchiste, des interviews, des prises de

Son lors d'évènements, etc. ...

 

Pour le mois de mai par exemple, il diffuse en feuilleton la brochure sur

la CNT et Mai 68,


Des extraits d'interview de Federica MONTSENY sur la

Révolution espagnole,


La prise d’antenne sur France Culture à l’Odéon le10 mai,

Un interlude DUTEUIL,


Des textes de Annah ARENDT  

Ou

Daniel COLSON.

 

On peut aussi faire un don de voix,

En proposant des textes qu'on aura

Soit même enregistré.

 

Pour se connecter :

 

http://anarsonore.free.fr

 

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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

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AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

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PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

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YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

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ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

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TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

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Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

________________________________________________________________________________

 

 

 

Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


Catégories

LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

dr-aafia-siddiqui-bush-terrorism