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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



27 octobre 2008 1 27 /10 /octobre /2008 06:10


LA CHINE!

ENNEMIE  DES USA DIXIT LES NEOCONSERVATEURS

AMERICANO-EUROPEENS… !!!

 

ET, POURTANT :

 

PARTIE I

 

ARTICLE DE -Peter FRANSSEN

 
… »LES Etats-Unis DESIRENT L’AIDE DE LA CHINE

MAIS POUR FAIRE QUOI ?

 

La crise financière doit nous sortir de notre torpeur ; nous nous trouvons face à des défis que nous ne pourrons relever tout seuls.

 

C’est ce que dit Robert Zoellick, le grand patron de la Banque mondiale. L’homme estime également que le G7, le groupe des sept pays les plus riches qui règlent entre eux les affaires mondiales, a été rattrapé.

 

La Chine doit entrer au sein du G7 et pouvoir se faire entendre davantage sur la scène internationale, a ajouté Zoellick. A la fin des années 90, ce même Robert Zoellick avait été l’un des pères du PNAC, le Project for a New American Century, le groupe agressif qui disait que le monde appartenait à l’Amérique et à la seule Amérique.

 

D’où vient donc ce revirement ?

Robert Zoellick a été cofondateur du PNAC en compagnie du futur vice-président Dick Cheney, du ministre de la Défense Donald Rumsfeld et du vice-ministre de la Défense Paul Wolfowitz.

 

Selon ses propres dires, cette confrérie très peu rassurante voulait « promouvoir l’hégémonie mondiale de l’Amérique ».

Parmi ses principaux fans, le PNAC comptait le président Bush et sa conseillère en matière de sécurité Condoleezza Rice, l’actuelle ministre des Affaires étrangères.

 

Dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, cette dame déclarait :

 

« Nous devons profiter de cette occasion pour repositionner les intérêts et les institutions des États-Unis. » En d’autres termes : renforcer l’emprise des États-Unis sur la planète.

Deux ans plus tard, Condoleezza Rice disait :

 

« Certains parlent de multipolarité comme si c’était une bonne chose vers laquelle il faut tendre et dans son propre intérêt, en plus.

 

Mais, en réalité, la multipolarité n’a rien d’une bonne chose, ce n’est pas une vision ni une idée qui unit. » L’unilatéralisme, c’est nous et personne d’autre qui dirigeons le monde…

Telle était l’aspiration du PNAC, du président Bush, de Condoleezza Rice et de Robert Zoellick. Après l’effondrement de l’Union soviétique, en 1991, il n’y eut plus de grands pays à oser contredire ces gens.

 

Sauf la Chine, peut-être. Et encore, sans donner de la voix.

N’empêche que Rice a quand même estimé que la Chine constituait un danger et qu’il fallait donc la traiter en tant que telle.

 

Durant la campagne électorale de 2000, qui allait amener Bush Jr pour le première fois à la Maison-Blanche, Rice avait dit :

 

« La Chine est pour nous une rival stratégique et non une partenaire stratégique. »

De rivale stratégique à coparticipante responsable

Mais, à partir de septembre 2005, la politique de confrontation est mise au point. Robert Zoellick tient un discours à l’adresse de la commission parlementaire américaine qui suit les relations entre les États-Unis et la Chine.

 

Il dit : « Nous devons encourager la Chine à se muer en coparticipante qui se comportera de façon responsable.

 

En tant que coparticipante responsable de la communauté internationale, la Chine serait plus qu’un membre, elle soutiendrait avec nous le système international qui a permis son succès. » De rivale stratégique à coparticipante responsable, c’est là toute une transition.

En décembre 2007, alors que le ciel au-dessus du système financier et industriel de l’Occident est chargé de sombres nuées d’orage, Zoellick déclare :

 

 « La Chine est un moteur de croissance dans le monde. Elle peut nous aider à éviter une récession mondiale.

 

L’économie chinoise et l’économie mondiale sont liées l’une à l’autre. Nous devons dès maintenant agir conformément à notre concept de coparticipante responsable. »

Le 6 octobre de cette année 2008, Zoellick dit encore :

 

« La crise financière mondiale est un appel à une collaboration plus étendue entre un plus grand nombre de pays.

 

 Le G7 ne fonctionne pas. » Le G7, c’est le club des sept pays les plus riches, sous la direction des États-Unis. Les autres États membres sont la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Japon, la France, l’Italie et le Canada.

 

D’après Zoellick, la Chine devrait en être, mais aussi l’Inde, l’Afrique du Sud, la Russie, l’Arabie saoudite et le Brésil. Zoellick d’ajouter :

 

« Le nouveau multilatéralisme doit s’adapter à la présente époque. Il doit assembler la force des divers acteurs et institutions. »

Robert Zoellick n’est pas seul à nourrir cette conception.

 

L’un de ses partisans s’appelle John Ikenberry, un homme qui jouit d’une grande autorité à Washington.

 

Ce professeur en relations internationales critique depuis des années la politique du président Bush. Ikenberry est hostile au PNAC.

 

Il dit que cette organisation tend à une « stratégie néo-impérialiste » condamnable, pas tant d’un point de vue moral que du fait qu’elle sape en réalité le pouvoir et l’influence des États-Unis dans le monde. Cet Ikenberry vole au secours du membre du PNAC qu’est Zoellick et dit :

 

« Les États-Unis ne peuvent contrer la montée de la Chine.

 

Mais nous pouvons toutefois faire en sorte que la Chine exerce son pouvoir dans les limites des règles et des institutions que les États-Unis et leurs partenaires ont mises sur pied le siècle dernier. »

 

Ikenberry lui aussi estime que les États-Unis doivent tout mettre en œuvre pour pouvoir faire de la Chine « une coparticipante responsable dans les limites des structures et des règles que nous avons instaurées. ».

Un autre partisan encore de cette conception n’est autre que Hank Paulson, le ministre américain des Finances. Il déclare de son côté :

 

« Les États-Unis ont tout intérêt à ce que la Chine demeure prospère et stable. Nous voulons que la Chine devienne coresponsable du système international. »

Le monde se tourne contre l’Amérique

Robert Zoellick, Hank Paulson et John Ikenberry ne croient pas qu’en ce moment la Chine soit « une coparticipante qui se comporte de façon responsable ».

 

Mais ils sont toutefois convaincus qu’il n’y a pas d’autre alternative que d’essayer de pousser la Chine sur cette voie.

 

Aujourd’hui, la situation, disent-ils, est différente de ce qu’elle était dans les années 90, lorsque l’Union soviétique avait éclaté et que le PNAC avait été créé.

Les Américains sont dans une impasse en Afghanistan.

 

Voilà sept ans qu’ils y font la guerre, sans la moindre perspective de victoire. En Irak, la situation n’offre pas la moindre perspective non plus.

 

Les États-Unis injectent sans succès des centaines de milliards de dollars dans une guerre qu’on a justifiée par une série de mensonges à propos d’armes de destruction massive. La guerre a balayé Saddam Hussein, mais bien plus encore l’autorité morale des États-Unis dans le monde.

Le Financial Times écrit :

 

« L’érosion de l’autorité morale des Américains a commencé avec la guerre en Irak. Depuis lors, cette érosion n’a cessé de gagner du terrain. » De même, dans son livre, The Post-American World, Fareed Zakaria, qui est également le rédacteur en chef de Newsweek, décrit comment l’antipathie éprouvée dans le monde envers les États-Unis n’a jamais été aussi forte :

  durant les 45 années de la guerre froide, l’antiaméricanisme était une affaire de gauche et de militantisme traditionnel, mais il restait toujours néanmoins un centre et une droite qui étaient anticommunistes et, de ce fait, proaméricains.

 

Aujourd’hui, toutefois, l’aversion à l ‘égard des États-Unis est générale. Même pendant la guerre du Vietnam ou durant les années 80, lorsqu’il avait été décidé d’installer des missiles nucléaires Pershing en territoire européen, les sentiments antiaméricains en Europe n’avaient jamais été aussi forts qu’aujourd’hui.

 

D’ailleurs, cela ne vaut pas que pour l’Europe, mais pour l’ensemble de la planète aussi.

Lorsque le président vénézuélien Hugo Chávez monte à la tribune des Nations unies, un jour après que Bush y est monté, il peut dire :

 

« Cela pue encore le soufre, ici ! »

 

Dans la salle, les représentants du tiers monde accueillent la phrase avec rires et ricanements. Chávez bénéficie de la sympathie du tiers monde quand il déculotte en plein public le président américain, le propre envoyé de Dieu !

Au diable la recette de Washington

L’Amérique latine, l’Afrique et l’Asie en ont soupé, du concept de Washington.

 

C’est la recette du Fonds monétaire international :

 

Dérégulation, démantèlement du secteur social, diminution des salaires et des allocations sociales, liberté maximale et impôts minimaux pour les entreprises occidentales.

 

Cette recette n’a amené aucune amélioration à la situation économique de ces pays.

 

C’est l’inverse, qui s’est produit :

 

l’Argentine a presque connu la faillite et, dans plusieurs pays asiatiques, une crise dévastatrice a éclaté en 1997.

Face au concept de Washington, s’est développé dans le tiers monde un consensus de Beijing, une approbation générale de ce qui se passe en Chine et de ce que la Chine réalise sur le plan international.

 

Car la Chine a tiré un demi-milliard d’humains de la pauvreté, elle a construit annuellement de l’espace urbain pour 20 millions de personnes et sans bidonvilles, elle a réalisé des chiffres de croissance industrielle de 20 à 25 pour cent par an.



PAGE SUIVANTE -  PARTIE II  

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 12:25



GEORGIE : 

L'OTAN, S'ENGAGE A EMPECHER LA REPETITION DU CONFLIT
-ETAT-MAJO AMERICAIN

RIA Novosti :

L'OTAN ne tolèrera pas la répétition d'un conflit analogue à celui subi par la Géorgie début août, a déclaré mercredi à Riga le chef d'état-major interarmées américain, l'amiral Michael Mullen, lors d'une rencontre avec le président letton Valdis Zatlers.


"L'OTAN ne tolèrera pas la répétition d'un conflit analogue à celui qu'a récemment subi la Géorgie", a indiqué M.Mullen actuellement en visite de travail en Lettonie.

Selon la Commission européenne, les dégâts infligés à la Géorgie à la suite du conflit en Ossétie du Sud se sont élevés à environ 3,25 milliards de dollars.

Au terme d'une offensive géorgienne lancée début août contre Tskhinvali, la capitale sud-ossète, et qui a débouché sur un conflit armé de cinq jours avec la Russie, Moscou a reconnu l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud le 26 août


http://fr.rian.ru/world/20081022/117881632.html

LE PRESIDENT GEGORGIEN-PROPAGANTISTE, HORS PAIR,  PUISQUE FORME AUX USA,  AFFIRME- Source le monde :

 

Après le président russe mercredi, c'est au tour de Micheïl Saakachvili de publier une tribune dans le "Financial Times" où il accuse la Russie de vouloir "redessiner la carte de l'Europe par la force".

 

Après Dmitri Medvedev mercredi, c'est au tour du président géorgien d'utiliser les colonnes du Financial Times, jeudi 28 août, pour s'exprimer dans une tribune où il accuse la Russie de vouloir "redessiner la carte de l'Europe par la force".

 

Selon Mikheïl Saakachvili, la prochaine étape, dans la stratégie de Moscou, sera de provoquer un "changement de régime" en Géorgie, en le faisant tomber.

 

"L'enjeu de cette guerre n'a jamais été l'Ossétie du Sud ni la Géorgie", écrit le président géorgien.. »

 

Et, de s’acharner, s’enfoncer dans sa logique calomnieuse parce que paraoïaque  :

 

Dans un entretien au « Monde », le président géorgien insiste sur le non-respect par Moscou du plan de paix, signé le 12 août.

 

 Il dénonce le nettoyage ethnique « conduit » par la Russie.

 

Le président géorgien, Mikheïl Saakachvili, tire les leçons de la guerre éclair du mois d'août avec la Russie.

 

Les troupes russes se trouvent toujours en Géorgie.

 

Existe-t-il un problème d'interprétation du plan en six points, initié par M. Sarkozy

le 12 août ? –

Il y a un grand désaccord. Sa première étape prévoyait de revenir au statu quo d'avant le 7 août.

La Russie ne contrôlait qu'un tiers du territoire ossète.

 

Un autre tiers était un no man's land, et le troisième sous l'autorité du gouvernement géorgien.

 

Pour la Russie, le président géorgien est « un cadavre politique » :

 

"Pour nous, le régime actuel géorgien a fait faillite.

 

Le président Saakachvili n'existe plus pour nous.

 

Il est un 'cadavre politique'", a déclaré le président russe Dmitri Medvedev, mardi soir, dans une interview à la chaîne de télévision italienne RAI.

 

Le chef d'État géorgien est dans le collimateur de Moscou depuis le début du conflit. À la mi-août, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait suggéré au président géorgien d'abandonner son mandat.

 

"Monsieur Saakachvili ne peut plus être notre partenaire et ce serait mieux s'il partait", avait-il expliqué.

Tbilissi a aussitôt dénoncé les propos de Dmitri Medvedev, parlant de "méthodes inacceptables pour un monde civilisé".

 

"Le président russe a perdu le contrôle parce que ses efforts en vue de renverser le gouvernement géorgien ont échoué", a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien.

"Nous avons besoin les uns des autres"

Par ailleurs, le président russe a appelé les États-Unis à "revoir" leurs relations avec Tbilissi et a estimé que l'Otan "perdrait plus" que Moscou à rompre ses relations avec la Russie.

 

Il a souligné que la Russie était prête à parler avec la communauté internationale "de toutes sortes de questions, dont le règlement post-conflictuel dans la région" du Caucase.

 

"Mais nous voudrions que la communauté internationale se rappelle qui a commencé l'agression et qui est responsable de la mort des gens", a ajouté Dmitri Medvedev, en référence à l'offensive militaire lancée le 8 août par la Géorgie dans sa république rebelle d'Ossétie du Sud.

 

L'opération a été contrée par une intervention massive de l'armée russe en territoire géorgien.

En outre, Dmitri Medvedev a assuré que Moscou ne craignait pas d'être exclu du G8. "Les appels qui se font entendre, je les explique exclusivement par la technologie électorale américaine pour faire monter une cote de popularité sur fond de conflit", a déclaré le président russe.

 

Le candidat républicain à la Maison-Blanche John McCain a affirmé dimanche que la Russie était devenue une "autocratie" et qu'il fallait l'exclure du G8, forum qui groupe les huit pays les plus industrialisés du monde, à savoir l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, le Japon et la Russie.

 

Et de préciser : "Nous n'avons peur d'aucune exclusion du G8.

 

Nous estimons que le G8 actuel n'est pas capable de résoudre les problèmes sans faire appel à d'autres États", a-t-il observé.

 

"Mais il ne faut pas se faire d'illusions.

 

Nous avons besoin les uns des autres", a estimé le président russe… ».

 

SOURCE :

 

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/pour-la-russie-le-president-georgien-est-un-cadavre-politique/924/0/270945

 

Pourtant, il  a été prouvé :

 

Que, c’était  bien le Président géorgien  Mikhaïl SAAKACHVILLI, laquais des néoconservateurs paranoïaques Américains qui, est l’origine du conflit – déclaration de guerre -  à l’encontre de l’Ours Russe :

 

 

27 septembre 2008

 

.."Deux parlementaires belges accusent la Géorgie du président Mikhaïl Saakashvili de "crimes de guerre" en Ossétie du sud

 

Deux parlementaires belges accusent la Géorgie du président Mikhaïl Saakashvili de "crimes de guerre" en Ossétie du sud, qualifiant Tbilissi d'"agresseur" dans le conflit intervenu au mois d'août dans le Caucase.

"Il y a bien eu crime de guerre"

"Il me semble effectivement établi qu'il y a bien eu crime de guerre", a indiqué jeudi le sénateur Josy Dubié (Ecolo) rejoint à cet égard par sa collègue Christine Defraigne, chef de groupe MR à la Haute assemblée.

 

Les deux parlementaires demandent une enquête internationale, estimant que la Cour pénale internationale doit être saisie.


Mme Defraigne et M. Dubié se sont rendus cinq jours en Ossétie du sud dans le cadre d'une mission qu'ils qualifient d'indépendante.

Dénonçant un contexte de désinformation, notamment dans le chef de la presse occidentale, ils ont organisé jeudi au parlement une conférence de presse intitulée "La vérité a ses droits". Les deux parlementaires pointent Tbilissi comme premier responsable du conflit avec la Russie.

Saakashvili "instigateur" de l'invasion

"Nous concluons sans hésitation, sans ambages que ce sont les Géorgiens qui sont l'agresseur", a notamment indiqué Christine Defraigne, présentant le président Saakashvili comme "l'instigateur de cette invasion brutale qui s'est accompagnée de violations du droit international".

Les deux sénateurs disent avoir recueilli suffisamment de témoignages et constaté sur place les conséquences de bombardements intensifs et répétés, dans le chef de l'armée géorgienne, visant des logements habités par des civils, un hôpital, un jardin d'enfants, des réfugiés en fuite, un bâtiment de la Croix rouge, une caserne abritant

des "peace-keepers russes", et le parlement ossète dont il ne reste plus que les murs.

Civils délibérément visés


"Le quartier juif à Tskhinvali, la capitale ossète, a été complètement détruit à l'exception de la synagogue", ont-ils relevé.

 

 "Nous avons constaté la destruction quasi-complète d'un village dénommé Tsunar et d'un autre, Kmitogurovo", ont-ils précisé. Selon Josy Dubié, les traces de char repérées dans ce dernier village et les témoignages attestent de ce que les forces géorgiennes ont délibérément visé des habitations qui n'étaient pas vides, et qui n'abritaient pas de militaires.

Compte tenu de ce qu'ils ont vu et entendu, les parlementaires belges ont estimé "vraisemblables" le nombre de 1.500 victimes russes et ossètes avancé par les autorités locales.

 

Mme Defraigne et M. Dubié ont été en mesure d'examiner une partie de l'armement géorgien pris par les Russes.

 

Selon eux, il s'agit de matériel sophistiqué. Ils ont notamment du matériel léger américain, cinq chars T72 de dernière génération fabriqués en Ukraine, équipés de matériel de visée nocturne israélien, ont-ils dit.

Une enquête auto-financée et indépendante

Les sénateurs ont dit avoir pu agir en toute liberté durant leur enquête, et ont assuré avoir financé eux-mêmes leurs déplacements.

 

Ils ont tenu à remettre les pendules à l'heure quant aux origines du conflit en Ossétie du sud, l'exactitude des faits perpétrés et la responsabilité des exactions.

 

Les sénateurs ont dénoncé la "désinformation" à l'oeuvre dans les médias occidentaux mais aussi dans le chef de responsables politiques.

Une délégation de parlementaires belges composée d'Anne-Marie Lizin (PS), Jean-Luc Crucke (MR) et Sabine de Béthune (CD&V), avait dénoncé l'installation de l'armée russe en territoire géorgien.

 

"Chacun sa sensibilité, on ne peut pas la leur reprocher vu l'importance de la propagande organisée par M. Saakashvili", a indiqué Mme Defraigne, épinglant par ailleurs "une propension européenne à exprimer généralement une sensibilité plutôt pro-américaine".

"Nous ne sommes pas des agents du FSB"
Les deux élus se sont défendus d'exprimer un point de vue unilatéral pro-russe.

 

"Nous ne sommes pas des agents du FSB", ont-ils souligné, rappelant qu'ils avaient dénoncé la situation des droits de l'Homme en Russie et la politique poursuivie par Moscou en Tchétchénie.

 

"Et nous continuerons à le faire. Mais il faut aussi savoir reconnaître quand les choses évoluent dans le bon sens", ont-ils dit, soulignant par ailleurs qu'ils se sont rendus à Beslan durant leur séjour, où, selon eux, la population s'exprime aujourd'hui librement, n'hésitant pas, notamment, à critiquer ouvertement le Premier ministre Vladimir Poutine.

Mme Defraigne et M. Dubié sont d'avis que la Belgique devrait participer à la mission d'observation européenne en Géorgie, le ministre des Affaires étrangères, Karel De Gucht étant réticent à cet égard.

 

Les deux sénateurs divergent en revanche dans leur rapport quant à l'idée de reconnaître l'indépendance de l'Ossétie du sud comme l'a fait la Russie.

 

 "C'est clairement non", a indiqué jeudi Josy Dubié justifiant son point de vue par la nécessité de respecter le droit international-M. Dubié rappelle qu'il était contre la reconnaissance du Kosovo-.

 

Mme Defraigne est plus nuancée.

 

"Peut-on retirer aux peuples le droit de vouloir disposer d'eux-mêmes pour autant que le processus soit pacifique?", s'interroge-t-elle. (belga/7sur7)

 

25/09/08 12h52 - De Persgroep Publishing. .."

 

 

Source :

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/428480/2008/09/25/Deux-parlementaires-belges-accusent-la-G-orgie-de-crimes-de-guerre.dhtml

 

 

Et, l’Europe soumise aux diktats des néoconservateurs Américains propose de financer la reconstruction, de la Géorgie alors que c’est bien son président, qui est à l’origine des des destructions et cela au détriment d’autres peuples et en plaine crise financière …

GEORGIE :

 

.."Conférence des donateurs pour la reconstruction du pays :

 

Les fonds collectés doivent être destinés à la Géorgie

 « Dans son intégrité territoriale », donc aussi aux territoires abkhazes

et ossètes.

Les experts de l’ONU et de l’Union européenne ont évalué à environ deux milliards et demi d’euros les besoins de la Géorgie en aide humanitaire et en investissements sur les trois ans à venir.

 

Une conférence des donateurs se réunit ce mercredi à Bruxelles pour trouver des moyens adéquats. La Russie n’a pas été conviée à cette réunion.

 

Les représentants des soixante-sept Etats et de grandes institutions financières se penchent sur les dégâts causés à l’économie et aux habitations de Géorgie lors de la guerre contre la Russie, afin d'évaluer le montant nécessaire pour la reconstruction.

 

Nuance politique importante :

 

les fonds collectés doivent être destinés à la Géorgie « dans son intégrité territoriale », donc aussi aux territoires abkhazes et ossètes considérés par Moscou comme Etats indépendants.

Tout un symbole

 

Les sommes réunies seront dépensées en trois étapes :

 

d’abord, celles qui couvrent les besoins « immédiats », ensuite celles qui permettent de financer les « investissements clés », enfin celles qui doivent répondre aux « besoins supplémentaires ».

 

Un des objectifs prioritaires est de permettre à quelque soixante-cinq mille personnes déplacées par le conflit de retrouver des lieux d’habitation et des conditions de vie décentes. 

 

Mais presque la moitié de ces personnes, chassée des régions séparatistes, n’a aucune perspective de retour.

 

Les Géorgiens commencent déjà à se reconstruire des habitations provisoires, le long de l’autoroute reliant Tbilissi à l’Ossétie du Sud. Tout un symbole, qui nécessite quand même un appui financier..."

 

SOURCE RFI

 

SUREALISTE !!!!

Par cette action, les technocrates et politiciens européens innocente, le véritable responsable de cette guerre, seul responsable des massacres, du  génocide ethnique perpétrés sur les civils  et réhabilite,  favorise les régimes , les gouvernants despotiques, criminels.

 

Et, ensuite, ils viendront nous « vendre » l’EXPORTATION par les armes de la Démocratie dans les pays tels l’Afghanistan, l’Irak, etc.

 


Les « DEUX POIDS DEUX MESURES sont encore une fois, ici à l’œuvre !!!!

 

 




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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 16:52


QUESTION !

LE DRAGON CHINOIS VEUT-IL REELLEMENT  ENTERRER DAVANTAGE L’AIGLE MADE IN  USA ?


..."QUAND LA CHINE VACILLE...
LES ETATS-UNIS TRINQUENT


Pour mieux comprendre la crise financière, Marianne2 interroge des économistes sur ses épisodes marquants.

Aujourd'hui, Jacques Sapir, directeur d'étude à l'EHESS, se penche sur la transition probable de l'économie chinoise vers son marché intérieur.
Tant pis pour la dette américaine!

Ça y est :

la Chine s'effondre !

Les manchettes du Monde et du Figaro du mardi 21 octobre sont formelles :

l'Empire du Milieu a vu sa croissance passer sous la barre des 10% lors des trois premiers trimestres de 2008 !

En cause, l'affaiblissement des marchés occidentaux qui priverait la machine industrielle chinoise de débouchés.

Une mauvaise nouvelle pour les Etats-Unis dont une partie substantielle de la dette est détenue par des organismes publics ou privés chinois, dont les garanties sont désormais fragilisées.

Comment la Chine peut-elle se comporter face à la chute de sa croissance et la faillite de ses marchés ?

Jacques Sapir est directeur d'étude à l'Ecole des hautes études en sciences sociales.

« Pour commencer, il est important de ne pas exagérer :

en passant de 11% à 9%, la Chine passe d'une croissance excessive à une croissance très élevée.

Jusqu'à maintenant, la marché américain était le principal tracteur de la croissance chinoise.

Les bénéfices que la Chine tirait de ce marché, elle les utilisait pour acheter des produits issus de la dette américaine, publique ou privée.

Etant donné la situation, il serait assez logique que les opérateurs chinois fassent un arbitrage différent entre les titres américains et les autres.

Le centre ville de Schenzen. Crédit : FlickR CC / Carbon49
Le centre ville de Schenzen. Crédit : FlickR CC / Carbon49

Depuis cet été, les autorités chinoises ont pris des décisions qui laissaient entendre que le pays se tourne vers son marché intérieur pour anticiper la fermeture des marchés européens et américains.

Ils ont augmenté les salaires, revu les conditions de réinvestissement dans le pays... autant de mesures qui ont pour but de donner du revenu aux Chinois pour acheter chinois.

S'ils continuent dans cette voie, leur croissance se maintiendra, mais à un niveau plus faible qu'aujourd'hui et dégagera moins d'excédent.

Or, cela pose un énorme problème aux Etats-Unis car ils sont très dépendants des excédents chinois pour financer leur dette, d'autant plus qu'ils ont un très faible taux d'épargne.

Les Américains épargnent pour 15% de leur PIB là où les Chinois épargnent pour 38% du leur.

Autrement dit, les premiers vivent très au dessus de leurs moyens et les seconds très en dessous.

Si la Chine se referme sur son marché intérieur et arrête d'injecter ses excédents dans l'économie américaine, les ménages américains vont devoir épargner plus, rogner sur la consommation et donc pénaliser l'économie américaine !

Le marché américain sera moins stratégique comparé aux marchés émergents des BRIC -Brésil, Inde et Chine- et les Etats-Unis ne pourront pas éviter 4 à 5 ans de récession.

Les autorités américaines le savent déjà car la seule chose qui permettra de redynamiser l'économie américaine, ce sera un grand plan comme celui pour lequel s'est prononcé lundi Ben Bernanke, le patron de la Fed.

Mais un tel plan coûtera de l'argent à l'Etat qui sera obligé de s'endetter, de vendre des actions du Trésor et donc de laisser plonger le dollar, faisant remonter l'euro par la même occasion.

Ce sera la « nasty recession » qu'a prédit Paul Krugman.

Quand la Chine vacille… les Etats-Unis trinquent

Je ne crois pas à l'hypothèse d'un effondrement chinois :

les déséquilibres régionaux sont tellement évidents qu'ils ont probablement été anticipés.

Qui plus est, la Chine dispose de nombreuses marges de manoeuvre :

la grande souplesse de sa monnaie qui n'est que partiellement convertible, une banque centrale quasi publique...

Si la Chine se tourne bel et bien vers son marché intérieur, sa croissance sera beaucoup moins déstabilisante pour l'économie mondiale».

Jacques SAPIR  est l'auteur du Nouveau XXIe siècle,

du siècle américain au retour des nations, paru en 2008 aux éditions du Seul.."

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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 16:32



CRISE MONDIALE....

LA GUERRE EN SUSPEND ?



 Alors que les grandes puissances mondiales sont préoccupées par la recherche de moyens optimaux de sortir de la crise économique globale, il y a bien des raisons de supposer que des pays "rétifs" tels que le Venezuela, la

Corée du Nord ou l'Iran, qui ont senti que les principaux centres de force leur accordaient moins d'attention, tâcheront d'en profiter pour tirer quelque avantage de cette situation.

Ainsi, le consentement de Pyongyang à abandonner son programme nucléaire a poussé les Etats-Unis à rayer la Corée du Nord de la liste des pays qui soutiennent le terrorisme international et à lever partiellement les sanctions économiques prises contre ce pays.

Cependant, les observateurs estiment que l'Etat nord-coréen ressent à présent une plus grande indépendance économique vis-à-vis de la Corée du Sud, le geste de Washington ouvrant la porte à des investissements en provenance d'autres pays.

Combiné avec la politique rigide du nouveau président sud-coréen Lee Myung-Bak à l'égard de son voisin du Nord, cet état de choses constitue la base d'une nouvelle escalade de la tension entre les deux Corées.

Pyongyang a menacé le 16 octobre de rompre tous les rapports avec la Corée du Sud, en réaction à la politique inflexible du président sud-coréen qui a promis au Nord des investissements si celui-ci renonçait à ses projets de créer des armes nucléaires.

Ces propositions ont donc été repoussées. De l'avis des analystes, Pyongyang craignait d'affaiblir l'influence de l'Etat sur une économie qui reste l'une des plus isolées par rapport au reste du monde.

Cependant, il y a aussi des raisons d'estimer qu'en réalité la Corée du Nord s'est permis ces derniers temps un comportement qui ne lui correspond pas.

En effet, dans un contexte où tout le monde est absorbé par la crise économique, il est peu probable que quelqu'un puisse réagir sérieusement à une démarche aussi brutale.

Par la même occasion, on peut détourner pour un certain temps l'attention de l'opinion publique d'un probable changement de pouvoir dans le pays.

Mais c'est sans doute le président iranien, connu pour ses déclarations très directes, qui a le mieux réussi à mettre en relief la situation actuelle dans le monde.

"Je ne pense pas que l'Amérique soit capable de lancer une nouvelle guerre dans les dix prochaines années.

C'est une bonne nouvelle pour le monde entier", a-t-il déclaré la semaine dernière lors d'une rencontre avec quelques dizaines de pacifistes américains.

C'est également une bonne nouvelle pour les dirigeants iraniens qui, dans les conditions de l'instabilité extrême des prix mondiaux des produits énergétiques, ont moins à craindre l'introduction de sanctions économiques de grande envergure contre leur pays.

Tout ajournement de la question des sanctions en échange de l'arrêt par l'Iran de la mise en oeuvre de son programme nucléaire ne fait que rapprocher Téhéran de son objectif le plus cher.

Hugo Chavez a également su profiter brillamment de la crise financière dans l'intérêt du Venezuela et dans son propre intérêt.

Comprenant que le prix des ressources est aujourd'hui au premier plan, il a proposé du pétrole bon marché aux pays pauvres d'Amérique latine.

Ces volumes sont insignifiants pour son pays, alors que les dividendes politiques seront pour le moins importants.

Il est prévu que Caracas livre 300.000 barils de pétrole par jour à des prix réduits subventionnés.

Dans le même temps, le président Chavez a déclaré qu'il continuerait à faire pression sur l'OPEP afin d'obtenir des livraisons de pétrole à des prix avantageux pour les 50 pays les plus pauvres du monde, africains pour la plupart.

Cependant, aucun consensus sur cette question n'a pour l'instant été trouvé au sein du cartel. Effectivement, la crise mondiale oblige de nombreux Etats à s'occuper, qu'ils le veuillent ou non, de leurs propres problèmes, ce qui relègue au second plan le règlement des grandes questions internationales.

Dans ce contexte, il est inutile d'attendre un règlement rapide tant des problèmes apparus récemment -conflit dans le Caucase du Sud- que de ceux ayant déjà une longue histoire derrière eux -problème palestinien-.

Il n'est pas difficile de deviner qu'en perspective, cette situation peut avoir des conséquences très lourdes pour un système de la stabilité internationale déjà fragile.

Des problèmes globaux tels que la lutte contre la misère dans les pays les plus pauvres, la crise alimentaire globale et la lutte contre toutes sortes d'épidémies pourraient se retrouver privés de l'attention nécessaire.

Mais, paradoxalement, la menace de déclenchement de guerres importantes se réduit considérablement dans ce contexte.

Mener une guerre n'est plus avantageux.

Mais dans ce cas, on ne sait plus trop que choisir entre un mauvais arrangement et un bon procès..."

 Par Ilgar VELIZADE-Journaliste-  -Azerbaïdjan-:

LIEN SOURCE :

http://fr.rian.ru/analysis/20081022/117889700.html


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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 11:22




LAVROV - Ministre Russe -

CRITIQUE LE BLOCUS DE LA BANDE DE GAZA PAR ISRAEL

MOSCOU - RIA Novosti.

Le blocus de la bande de Gaza par Israël entrave le règlement du conflit au Proche-Orient, a déclaré mercredi à Moscou le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

"Nous estimons qu'il serait contreproductif de maintenir le blocus de la bande de Gaza qui fait souffrir des innocents", a-t-il indiqué à la presse à l'issue d'un entretien avec son homologue tunisien Abdelwahab Abdallah.

Selon M. Lavrov, le conflit israélo-palestinien devrait être réglé par le dialogue, et la Russie appuie activement les efforts déployés en vue d'empêcher la reprise de la violence, de lutter contre le terrorisme et de réunifier la Palestine.

Appelant à la nécessité de mettre un terme à l'extension des colonies juives, le ministre russe a prôné la fin des échanges de tirs et l'arrêt des violences.

Israël a bloqué mercredi la frontière avec la bande de Gaza en riposte à un tir de roquette palestinien, après plus de quatre mois de trêve.



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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 16:42



L'OPINON : L'ARME SECRETE DE VIKTOR  LOUCHTCHENKO  




La dissolution de la Rada suprême -parlement ukrainien- et les tentatives plus comiques que démocratiques du président Viktor Iouchtchenko pour se procurer de l'argent afin de financer cette nouvelle campagne ont relégué au second plan "l'arrière-goût géorgien" dans les rapports russo-ukrainiens.

Cependant, le premier ministre russe Vladimir Poutine a déjà prévenu que Moscou tirerait les conséquences de ce qui s'est produit dans l'évolution de ses rapports avec l'Ukraine.

Une enquête a été engagée à Kiev pour déterminer les circonstances des livraisons d'armes ukrainiennes au profit du régime de Mikhaïl Saakachvili.

"L'Ukraine doit se respecter en tant qu'Etat. [...]

Nous disposons de renseignements, selon lesquels quatre spécialistes militaires américains -nous connaissons leurs noms- se sont rendus en septembre à Kirovograd.

Ils ont sélectionné dans un entrepôt des missiles antichars afin de les envoyer en Géorgie", a affirmé Valeri Konovaliouk, député de la Rada suprême dissoute et président de la commission parlementaire chargée d'enquêter sur les livraisons d'armements effectuées par l'Ukraine à la Géorgie.

Lors d'un duplex Moscou-Kiev organisé par RIA Novosti, Valeri Konovaliouk a exposé les détails de l'enquête. Selon lui, elle n'est pas encore achevée, mais "il est déjà clair que la majeure partie de l'argent provenant des exportations d'armements a été détournée des caisses de l'Etat".

"Des armes ont été vendues pour 2,5 milliards de dollars, mais, sur cette somme, l'Etat n'a reçu qu'un milliard de hryvnias (moins de 200 millions de dollars), soit près de douze fois moins", a expliqué le député.

M. Konovaliouk a confirmé que les armements vendus à la Géorgie avaient été spécialement retirés du service, bien qu'ils soient nécessaires pour assurer la capacité défensive de l'Ukraine.

Il a cité, entre autres, le système de missiles Buk M-1. Par conséquent, fait remarquer le président de la commission, l'Ukraine n'exporte pas d'armes, mais les privatise plutôt.

"En fait, notre pays vend aujourd'hui les réserves d'armements héritées de l'Union soviétique", a-t-il expliqué. Valeri Konovaliouk s'étonne en outre de l'impossibilité pour sa commission d'établir des "rapports normaux" avec les ministères ukrainiens de la Défense et de la Sécurité nationale.

Il a ajouté que les livraisons d'armes étaient aujourd'hui contrôlées par un groupe restreint de personnes qui détiennent le pouvoir, et que la société ne contrôlait que très peu ce commerce.

De nombreuses données sur les flux d'armements et d'argent réclamées par la commission sont par exemple étudiées aujourd'hui pour la toute première fois seulement.

En outre, si le président Iouchtchenko n'avait pas dissout la Rada, un organe chargé de contrôler le marché des armements de l'Ukraine aurait été créé au parlement.

Valeri Konovaliouk ne renonce pas à cette idée pour autant.

Il envisage de proposer de créer ce type d'organe dans tous les pays de la communauté lors de la prochaine session de l'Assemblée interparlementaire de la CEI -Communauté des Etats indépendants-.

Le député n'exclut pas que la Rada suprême ait été dissoute, entre autres, en vue de saper le travail de la commission qu'il préside.

Revenant au lien entre la "guerre des cinq jours" et le scandale des livraisons d'armes, Valeri Konovaliouk a souligné que les dirigeants ukrainiens étaient au courant de l'éventualité d'une agression de la Géorgie en Ossétie du Sud, alors qu'ils livraient des armements à Mikhaïl Saakachvili.

Faisant le point sur l'enquête, Valeri Konovaliouk a souligné que l'Ukraine n'avait pas le droit de vendre des armes à la Géorgie ni de lui en apprendre le maniement pour la bonne et simple raison qu'elles ont été employées contre les soldats de la paix.

En agissant de la sorte, l'Ukraine s'est opposée à l'ONU, car les soldats de la paix russes avaient reçu un mandat de l'Organisation des Nations unies.

Il faut relever que les actions du gouvernement ukrainien ne se distinguent pas par leur esprit de suite.

Peu après avoir apporté leur soutien direct aux actions de Mikhaïl Saakachvili en Ossétie du Sud, les autorités ukrainiennes prorogent le traité d'amitié avec la Russie.

Comment évoluera la stratégie de Moscou à l'égard de l'Ukraine compte tenu de cette "multivectorialité"? RIA Novosti a posé cette question à Vladimir Jirinovski, vice-président de la Douma -chambre basse du parlement russe-.

"Bien entendu, des conclusions seront tirées de tout cela.

Si ces armes ont tué des soldats russes, nous avons toutes les raisons d'avancer des griefs au commandant suprême de l'Ukraine, Viktor Iouchtchenko.

Pour l'instant, nous devons faire la lumière sur tout cela, et nous nous en servirons en cas d'aggravation de la situation", a indiqué M. Jirinovski..."

Valentin RAKHMANOV- Journaliste-


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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 16:37



DANS LA RUBRIQUE :
INTERESSONS-NOUS AUX PEUPLES, DE CETTE PLANETE,
EN QUELQUES BREVES :

AUJOURD'HUI et PENDANT 2 JOURS :
LA RUSSIE :


RBC Daily, Nezavissimaïa gazeta

Les militaires russes et américains reprennent le dialogue

Une rencontre surprise entre le général Nikolaï Makarov, chef d'état-major général des Forces armées russes, et l'amiral américain Michael Mullen, chef d'état-major des armées des Etats-Unis, a eu lieu mardi en Finlande, lit-on jeudi dans les quotidiens RBC Daily et Nezavissimaïa gazeta.

A la différence des hommes politiques, les militaires comprennent que la confrontation ne correspond aux intérêts d'aucune des parties.

Qui plus est, l'armée américaine qui s'est enlisée en Afghanistan et en Irak n'a pas les forces nécessaires pour une nouvelle guerre froide contre la Russie.

C'est la première fois depuis le conflit en Ossétie du Sud et la décision de l'OTAN de geler le dialogue avec la Russie que des chefs militaires d'un si haut rang se rencontrent.

Mais ce n'est pas pour autant le premier contact entre Nikolaï Makarov et Michael Mullen depuis lors:

ils avaient eu un entretien par téléphone pendant les événements dans le Caucase, indique Nezavissimaïa gazeta.

Le général Makarov avait alors assuré à son homologue américain que les troupes russes n'empêcheraient pas l'arrivée d'aide humanitaire en Géorgie par des avions de transport militaires C-17, ni la visite d'un navire de guerre américain dans le port de Poti.

D'après les renseignements provenant des milieux militaires russes, la question du sort du matériel de guerre du Pentagone tombé entre les mains des militaires russes en Géorgie a été réglée au cours de l'entretien.

Après Helsinki, Michael Mullen s'est rendu à Riga où il a rassuré les alliés préoccupés.

Mais l'amiral ne s'est pas encore rendu à Bruxelles où l'on répond toujours aux journalistes que l'Alliance n'a encore "ni réexaminé, ni annulé" sa décision prise en septembre dernier de geler les contacts de haut niveau avec la Russie.

Le général Nikolaï Makarov n'a pas exclu la reprise du fonctionnement du conseil Russie-OTAN dans les prochains mois.

Alexandre Khramtchikhine, de l'Institut d'analyse politique et militaire, ne voit rien d'extraordinaire dans une telle évolution des événements.

"La coopération militaire entre la Russie et les Etats-Unis devait être rétablie sous une forme ou sous une autre, a fait remarquer l'expert.

Les militaires russes et américains n'ont pas les forces nécessaires pour se lancer à nouveau dans une véritable guerre froide, et n'ont aucune envie d'en arriver là".

L'armée russe entame une réforme structurelle et les Américains se sont trop enlisés en Irak et en Afghanistan pour se permettre d'ouvrir un deuxième front contre la Russie.

Il est difficile de trouver aujourd'hui des problèmes pour le règlement desquels les Etats-Unis n'aient pas intérêt à coopérer avec la Russie, a déclaré Jeffrey Mankoff, expert du Council for Foreign Relations de Washington, au quotidien RBC Daily.

"Une vérité amère consiste en ce que l'Amérique a aujourd'hui plus besoin de la Russie que la Russie de l'Amérique", a-t-il constaté.

La situation des troupes de l'OTAN en Afghanistan est un problème des plus sérieux qui a incité les militaires américains à accepter une reprise du dialogue avec Moscou.

"Nous avons un besoin urgent d'un corridor de transit à travers la Russie pour approvisionner nos troupes et celles des alliés", a déclaré M. Mankoff.

Gazeta

Chute des cours du pétrole: la Russie se rapproche de l'OPEP

La Russie a décidé de renforcer sa coopération avec l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, dans la mesure où elle est intéressée à une stabilisation des prix du brut, lit-on jeudi dans le quotidien Gazeta.

Le ministère de l'Energie a l'intention d'introduire des quotas intérieurs pour l'extraction du pétrole, ce qui entraînera l'apparition de quotas à l'exportation et favorisera le renforcement des compagnies pétrolières publiques.

Les acteurs du marché estiment que Moscou pourrait devenir à l'avenir membre à part entière de l'organisation.

"Cela peut être un pas vers l'adhésion de la Russie à l'OPEP, si les intérêts des producteurs russes de pétrole et du cartel pétrolier coïncident", a déclaré Natalia Miltchakova, chef du service d'analyse financière de la compagnie Otkrytie.

Ce point de vue est confirmé par une déclaration du vice-premier ministre russe Igor Setchine:

"Le ministère de l'Energie étudie la possibilité d'introduire une certaine réserve d'extraction en vue de travailler plus efficacement sur le marché où se forme le prix".

Il a souligné en outre que cette réserve devrait avoir un volume suffisant pour "assurer les paramètres de prix les plus efficaces".

Le vice-premier ministre n'a cependant cité aucun détail sur la manière dont cette réserve serait constituée.

Selon Mme Miltchakova, il s'agit d'employer en Russie les mécanismes de régulation de l'offre de pétrole utilisés par l'OPEP (limitation concertée de l'extraction).

Alexandre Razouvaïev, expert de la Sobinbank, estime que l'introduction de quotas pour l'extraction intérieure n'a de sens qu'en cas d'existence de quotas à l'exportation, mais ceux-ci ne sont justifiés qu'en cas d'adhésion de la Russie à l'OPEP.

"L'introduction de quotas est plutôt un élément relevant d'ententes politiques, la Russie entre dans le cartel des pays producteurs de pétrole pour que les membres de l'OPEP soutiennent à l'avenir l'idée d'un cartel analogue du gaz et y adhérent", avance-t-il.

D'après lui, sur le plan économique, l'adhésion à l'OPEP et l'introduction de quotas sont justifiées, car Rosneft est actuellement le seul à enregistrer un accroissement de l'extraction de pétrole.

En réduisant l'extraction, la Russie ne perd rien, contrairement à 2001: Moscou avait été invité très activement à l'OPEP, mais l'extraction du pétrole augmentait à des cadences énormes et il était désavantageux de la réduire.

"L'introduction de quotas ne ferait que suspendre les programmes d'investissement trop ambitieux de certaines compagnies pétrolières, Lukoil par exemple, indique Natalia Miltchakova.

Il est vrai, d'après ses prévisions, des projets d'importance stratégique pourraient être reportés pour longtemps, par exemple, ceux qui concernent l'extraction de pétrole bitumineux.

Cette décision pourrait également se répercuter négativement sur les actions de Rosneft, car les investisseurs ont acheté ses titres en fondant leurs espoirs sur des taux d'accroissement très élevés.

Cependant, certains acteurs du marché estiment, au contraire, qu'il s'agit du début d'un repartage du secteur pétrolier en faveur de Rosneft, parce que l'introduction de quotas facilitera à l'Etat le contrôle de toutes les compagnies, avant tout privées.

Kommersant

La crise pousse la Biélorussie à se tourner vers l'Occident

Malgré la promesse de la Russie d'accorder un crédit de 2 milliards de dollars à la Biélorussie, la Banque nationale de ce pays a reconnu hier avoir déjà demandé au Fonds monétaire international un crédit pour la même somme, lit-on jeudi dans le quotidien Kommersant.

Minsk avait rompu la majorité de ses contacts avec le FMI en 2004, mais l'incertitude quant à l'aide de la Russie, ainsi que les menaces croissantes qui pèsent sur le rouble biélorusse et le système bancaire local ont obligé le président Alexandre Loukachenko à se tourner vers l'Occident: la Biélorussie engage également de nouvelles négociations commerciales avec l'Union européenne.

En ce moment, la Biélorussie examine avec la Russie l'éventuel octroi d'un crédit d'Etat par la partie russe, également de 2 milliards de dollars. Le vice-premier ministre et ministre russe des Finances Alexeï Koudrine a déclaré le 21 octobre qu'une décision positive avait déjà été prise à ce sujet :

Minsk recevra en 2008 la première tranche de ce crédit, 1 milliard de dollars, et le reste en 2009.

Mais la décision reste prise "en principe", l'argent n'a pas encore été alloué, un certain nombre de problèmes concernant le crédit n'ayant pas pu être réglés au cours de la visite du premier ministre Vladimir Poutine à Minsk le 6 octobre dernier.

Comme tout l'indique, les négociations menées par Minsk avec le FMI sont un élément du marchandage avec la Russie autour de ce crédit.

D'après les données du ministère biélorusse des Statistiques, les réserves de change du pays se sont réduites en septembre 2008 de 658,9 millions de dollars, soit de 11,8% par rapport à leur volume total. Les réserves de la Banque nationale biélorusse constituent environ 4,94 milliards de dollars.

Les méthodes de calcul employées par le FMI étant différentes, il évalue les réserves de change au 1er octobre à 4,12 milliards de dollars.

Avec de tels taux de fuite du capital, les réserves seront insuffisantes (selon le FMI) pour protéger la monnaie nationale 6rouble biélorusse6 contre une dévaluation rapide dès mars-avril 2009.

Les dépenses potentielles de la Banque nationale biélorusse augmentent. Vendredi dernier, le président Loukachenko a donné l'ordre de préparer un projet de décret sur la garantie absolue 6c'est-à-dire à 100%6 de tous les dépôts des personnes physiques dans les banques biélorusses.

Les dépôts des particuliers dans le système bancaire du pays constituent environ 6 milliards de dollars.

Le rouble biélorusse s'est considérablement renforcé par rapport au rouble, à l'euro et au dollar depuis le début de 2008:

il subit la même pression que le rouble russe.

Le "retournement" de la Biélorussie vers le FMI et l'Occident est également possible sur la scène politique.

Le vice-ministre biélorusse des Affaires étrangères Andreï Evdotchenko a déclaré hier que la Biélorussie proposait de signer avec l'UE un nouvel accord commercial à long terme.

"Une délégation de la Commission européenne arrivera bientôt en Biélorussie.

Nous sommes prêts à mener des négociations sur un accord commercial fondamental et à aborder le stade actif de la discussion", a-t-il dit. Les experts de l'UE se rendront en Biélorussie début novembre.

Kommersant

La Thaïlande achète des hélicoptères russes

Le gouvernement thaïlandais a décidé d'acheter des hélicoptères russes, indique jeudi le quotidien Kommersant.

Cette transaction constitue un précédent: jusqu'ici, ce grand pays d'Asie du Sud-Est n'achetait que des armements américains.

Le premier ministre thaïlandais Somchai Wongsawat, qui exerce également les fonctions de ministre de la Défense, a approuvé un contrat portant sur l'achat de trois hélicoptères Mi-17.

Chaque appareil coûte 316 millions de bahts -9,2 millions de dollars-, c'est-à-dire que le montant du contrat s'élèvera à 950 millions de bahts -27,5 millions de dollars-.

Selon le Kommersant, il s'agit des hélicoptères de transport Mi-171 fabriqués à l'usine d'Oulan-Oudé.

"Cette variante est considérée comme civile, bien qu'en réalité, il s'agisse d'hélicoptères à double usage", a expliqué une source au sein du complexe militaro-industriel.

L'usine avait signé un accord cadre avec la Thaïlande en 2005. En automne 2006, la Russie avait proposé à Sonthi Boonyaratglin, alors commandant en chef de l'armée, huit hélicoptères Mi-17, mais la transaction n'avait pas eu lieu, car le gouvernement militaire dirigé par le général avait bientôt démissionné.

A l'heure actuelle, la Thaïlande dispose de plus de 200 hélicoptères de fabrication américaine.

Cependant, près de la moitié de ces appareils ont plus de vingt ans et ne peuvent pas être exploités en raison de leur état de vieillissement avancé.

Au cours des douze derniers mois, la Thaïlande a connu sept catastrophes impliquant des hélicoptères militaires, dont certaines ont fait des victimes.

Le gouvernement thaïlandais a adopté, il y a un an, un programme de réparation et de modernisation de 15 hélicoptères américains Bell-212, d'un coût total de 999 millions de bahts.

Cependant, le nouveau premier ministre Somchai Wongsawat, qui a pris les rênes du pays en septembre dernier, est revenu sur la décision de son prédécesseur.

La transaction avec les Américains a été annulée. En revanche, celle avec les Russes -achat de Mi-17- a été approuvée.

Il s'agit du premier cas où l'un des grands pays d'Asie du Sud-Est se détourne de son allié permanent, les Etats-Unis, et se décide à acheter du matériel militaire russe.

"Moscou a plusieurs fois essayé d'en vendre à la Thaïlande, mais à chaque fois, ces contrats échouaient, le plus souvent pour des raisons de politique intérieure", indique Alexeï Kiritchenko, enseignant à l'Institut des pays d'Asie et d'Afrique.

Dans les années 1990, la Russie avait proposé à la Thaïlande le système de missiles antichars Metis, des blindés de transport BTR-80 et BTR-80A, et des missiles sol-air Igla, mais les négociations n'avaient pas été couronnées de succès.

D'ailleurs, en 2003, il a été convenu que la Russie amortirait sa dette de 36 millions de dollars envers la Thaïlande, provenant des achats de riz thaïlandais, en lui fournissant des équipements satellitaires.

"Depuis 2004, des négociations étaient en cours avec le holding Irkout sur l'achat de 12 chasseurs Su-30MKI en échange d'achats de viande de volaille, mais en fin de compte, le gouvernement thaïlandais a annoncé, fin 2007, sa décision d'acquérir des chasseurs suédois Gripen", a rappelé Dmitri Vassiliev, expert du Centre d'analyse des stratégies et des technologies..."


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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 20:15



LA LIGUE DES DEMOCRATIES- MENEE PAR LES USA ET SES LAQUAIS EUROPEENS –

VEUT S'ENGAGER DANS DES  GUERRES, SOUS COUVERT D'IDEOLOGIE CONSERVATRICE ET LIBERALE -

CONTRE DES SOI-DISANTS - DICTATURES... DES REGIMES AUTORITAIRES –

ET,

HASARDS ET COINCIDENCES LES DITS-REGIMES AUTORITAIRES SONT,

- SELON LES CRITERES SUBJECTIFS, PARTISANS ET MORTIFERES,

DES NECONSERVATEURS- US/EUROPEENS :

LA CHINE, LA RUSSIE, l'IRAN..

ET

QUI,  D’AUTRES…

QUELS NOUVELS ENNEMIS SE PROFILENT A L'HORIZON ?

 

 

Robert Kagan, de l’Occident aux démocraties

Robert Kagan s’est fait connaître du grand public avec la publication de son ouvrage en 2003 La puissance et la faiblesse, dans lequel il fustigeait la faiblesse des Européens, descendants de Vénus, par opposition à la force des Américains, venus de Mars.

 

Aujourd’hui conseiller de campagne de John McCain, cette figure de proue du mouvement néoconservateur américain revient à la charge avec The Return of History, un ouvrage qui s’inquiète de la montée des dictatures, et reprend sans le savoir le titre d’un livre publié il y a quinze ans en France par Guillaume Parmentier, Le retour de l’histoire - mais certainement pas le contenu, l’apport de Kagan étant une fois de plus aussi limité qu’inquiétant, et les deux travaux ne se rejoignant que pour s'opposer à La fin de l’histoire de Francis Fukuyama- .

 

On y lit un glissement rhétorique de l’Occident vers les démocraties, qui symbolise l’évolution des néoconservateurs, mais n’en est pas moins préoccupant, et marque le retour de ceux qui façonnèrent la politique étrangère américaine après le 11 septembre, à défaut de l’histoire.

 

Une ligue des démocraties pour contrer les régimes autoritaires

 

Une forme de messianisme qui peut facilement dépasser les frontières

Une ligue des démocraties, voilà une idée a priori séduisante, et qui semble presque à contre-courant des thèses des néoconservateurs, réputés à l’écoute de l’unilatéralisme.

 

Pas tant que cela cependant.

 

Les néoconservateurs renient facilement le réalisme en politique, pour lui préférer une forme de messianisme qui peut facilement dépasser les frontières.

 

Avec une formule qui les caractérise :

 

"Multilatéraux quand nous le pouvons, unilatéraux quand nous le devons", comme pour rappeler les limites du multilatéralisme.

 

Kagan ne fait que revenir aux fondements du mouvement néoconservateur

Mais l’aventure américaine en Irak a prouvé que la formule inverse était tout aussi valable pour les néoconservateurs, qui semblaient systématiquement rechercher l’unilatéralisme.

 

Revenus à un réalisme par nécessité plus que par choix, ils retrouvent donc leur objectif initial, un messianisme imposant ses vues largement au-delà des frontières, et profitant d’un multilatéralisme dans lequel la morale -à laquelle ils adhèrent- serait érigée en dogme.

 

Bref, en plaidant pour une ligue des démocraties, Robert Kagan ne fait que revenir aux fondements du mouvement néoconservateur.

 

Cette ligue des démocraties est dès lors inquiétante car elle a pour seul but de faire accepter l’unilatéralisme, pour lui donner plus de force.

 

Des démocraties de Mars, ou de Vénus ?

 

Reste à savoir quelle doit être l’attitude des démocraties si les régimes autoritaires refusent de se soumettre.

 

Si les néoconservateurs se sont reconvertis dans une nouvelle quête, celle d’un front des démocraties, continuent-ils pour autant de plaider pour le recours à la force, ou ont-ils modifié leur manière de concevoir les relations avec les ennemis de la démocratie ?

 

Sur ce point, Kagan dévoile son projet, qui consiste à élargir à l’ensemble des démocraties sa vision de la politique étrangère américaine, faite de promotion de la démocratie et de moyens coercitifs quand cela est nécessaire.

 

En d’autres termes, il plaide pour des démocraties bienveillantes, mais rejette dans le même temps une forme de passivité déjà relevée et dénoncée chez les Européens.

 

Des démocraties venant de Mars donc, et non de Vénus, pour reprendre la distinction qu’il avait opérée dans La puissance et la faiblesse entre Américains et Européens.

 

Un retour de l’histoire… récente, en quelque sorte.

 

Les Européens, hostiles à l’unilatéralisme, pourraient toutefois être plus facilement séduits.

 

Le problème vient du fait que les Européens, hostiles à l’unilatéralisme, pourraient cette fois être plus facilement séduits par un messianisme qui les inclurait.

 

L’objectif de Kagan est donc simple :

 

convaincre les Européens que eux aussi peuvent descendre de Mars, au cas où les autres moyens, comme la diplomatie - notamment la diplomatie transformationnelle de l’administration Bush 2, qui consiste à promouvoir la démocratie-, échoueraient.

 

Démocratie ou puissance : de quoi parle-t-on exactement ? 

 

La démocratie ne s’impose pas d’elle-même, ce qui suppose qu’elle doit être imposée.

 

Mais le plus gros problème, qu’on relevait déjà dans La puissance et la faiblesse, vient du fait que Robert Kagan confond souvent démocratie et puissance.

 

Une confusion qui n’est certainement pas étrangère au fait qu’il plaide en faveur de démocraties fortes, capables de vaincre les dictatures.

 

Kagan estime ainsi que la démocratie ne s’impose pas d’elle-même, ce qui suppose implicitement qu’elle doit être imposée.

 

Une vision wilsonienne des relations internationales, selon laquelle la démocratie doit s’imposer ; mais un wilsonisme botté, déjà difficilement expérimenté à l’occasion de l’administration Bush 1.

 

En ajoutant à cela un "choc des régimes" entre des démocraties fortes et des dictatures qui ne le sont pas moins -avec en ligne de mire la Chine-, tous les ingrédients d’une nouvelle vision inquiétante des relations internationales sont réunis, sans apporter de réponse crédible aux moyens de faire reculer les dictatures.

 

En tout cas, à ceux qui se demandaient ce que sont devenus les néoconservateurs, Robert Kagan répond qu’ils sont toujours en embuscade, et que si leur obsession pour l’unilatéralisme s’est dissipée, c’est toujours bel et bien la puissance américaine qui les anime… » 

 


Barthélémy COURMONT -
Responsable du Bureau IRIS à Taiwan et chercheur au Centre d’Etudes Transatlantiques –CET- Ouvrages publiés :

 

L’autre pays du matin calme. Le paradoxe nord-coréen, Paris, Armand Colin, 2008 / La guerre, Collection « 128 », Paris, Armand Colin, 2007 / Pourquoi Hiroshima ?

La décision d’utiliser la bombe atomique, Paris, L’Ha
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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 19:45




.. »Le monde est enfin entré dans le véritable après-Guerre froide.

 

Avec l'intervention militaire de la Russie en Géorgie, une nouvelle ère commence pour les relations internationales.

 

Cela ne sera ni un retour à la Guerre froide, comme veulent le faire croire au monde différents porte-parole des États-Unis, ni un retour au dix-neuvième siècle et à la politique classique de l’équilibre des puissances, comme pourraient l’espérer certains Russes.

 

En démontrant que Moscou, elle aussi, a des « lignes rouges », le conflit géorgien a fait exploser le mythe d’un monde unipolaire.

 

Ce à quoi nous assistons est l'apparition d'une forme inédite de multipolarité, dans laquelle la scène internationale sera structurée par un nombre toujours plus petit d’unités toujours plus grandes.

 

Quelques-unes seront des États-nations classiques comme la Chine et l'Inde ; d'autres seront des régimes régionaux comme l'Union Européenne, l'Union Africaine et l’ASEAN.

 

Mais l'agenda sera dominé par l’économie, le commerce, le développement, l’accès aux ressources, et l'environnement.

 

Une guerre entre n'importe lequel des grands acteurs est une option à peine envisageable.

 

Le nom de ce jeu, c’est le multilatéralisme complexe.

 

Depuis 1989, nous avons déjà connu deux versions du « nouvel ordre mondial ».

 

Toutes deux se sont avérées artificielles, du fait de l'implosion imprévue de l'Union Soviétique puis du retour retardé de la Russie au premier plan.

 

Les deux versions ont suscité des illusions comparables. La première, symbolisée par les années Clinton, a projeté l'illusion du libéralisme et celle de l'interventionnisme.

 

La seconde, symbolisée par les années Bush, a projeté l'illusion de la promotion de la démocratie et celle de l'action préventive.

 

Ces deux versions artificielles de l'ordre post-Guerre froide ont été facilitées par l'absence relative de la Russie.

 

La Russie est désormais de retour, et le monde devra s’y faire. De nouveaux équilibres devront s’imposer, pas seulement entre « l'Ouest » et la Russie, mais aussi entre Moscou et les puissances de son vaste voisinage.

 

Le désir explicite de la Russie de rétablir un contrôle hégémonique sur ses proches voisins – y compris leurs réserves de pétrole stratégiques – exigera un engagement diplomatique sensé et créatif, non seulement de l'UE et des Etats-Unis, mais aussi des autres pôles.

 

Évoquer une « punition » de Moscou est inutile et dénué de pertinence.

 

Il faut en revanche apprendre à penser la façon dont le monde, à travers une forme nouvelle et complexe de multilatéralisme, peut négocier un avenir plus équilibré et plus sûr.

 

L'Ouest et la Russie ont besoin de coopérer dans trois secteurs stratégiques majeurs : la contre-prolifération nucléaire ; le contre-terrorisme ; et la sécurité énergétique.

 

Mais les intérêts des États-Unis et de l'UE ne sont nullement identiques. La géographie 6comme pendant la Guerre Froide6 fait une grande différence.

 

Cela dit, il est vital de maintenir autant que faire se peut une unité de parole, à la fois entre Washington et Bruxelles, et entre les états-membres de l'UE.

 

Rien que pour cela, il est temps de débrancher les porte-voix et d’engager avec la Russie un dialogue discret, réaliste et imaginatif.

 

La visite de la troïka européenne à Moscou la semaine prochaine devrait se focaliser sur les problèmes où la convergence d'intérêts est la plus nette :

 

 La stabilité régionale, la construction d’une  confiance mutuelle, l’interdépendance commerciale et économique, l’Iran. La discussion et la négociation sont plus importantes que jamais.

 

L'Otan devra affronter les conséquences désagréables du pari de Saakashvili.

 

Une adhésion des Géorgiens 6et des Ukrainiens6 à l'Alliance Atlantique semble à présent absolument impossible.

 

Cela pose -une fois encore- la question existentielle :

 

qu’est-ce que l’Otan ? Quels sont ses objectifs politiques et quels sont ses réalités opérationnelles ?

 

Par exemple, l'Otan est en Afghanistan, mais il n'existe aucun accord politique intérieur sur ce que l’Alliance devrait faire, précisément, en Afghanistan.

 

Et au-delà de cette question, il y a encore moins d’accord sur ce qu’elle devrait faire à long terme.

 

C’est une réalité déplaisante, que le prochain président américain et les dirigeants européens ne pourront pas continuer à éluder en poursuivant, comme une fuite en avant, l’élargissement de l’Alliance.

 

L'Alliance aura besoin de se redéfinir, une fois encore, mais cette fois-ci dans le contexte de l’ « abandon » -faux ou juste incroyable- de la Géorgie.

 

Une confrontation militaire entre la Russie et l’Occident est inconcevable.

 

Une guerre entre les principaux pôles émergents est de moins en moins probable, et elle le sera toujours moins.

 

Personne n’imaginerait gagner quoi que ce soit par un conflit militaire. Malheureusement, cela ne signifie pas que les petites puissances à proximité immédiate de l'un ou l’autre des pôles puissent se comporter imprudemment.

 

La Géorgie vient de l’apprendre à ses dépends.

L’onde de choc de la guerre géorgienne continuera de se faire sentir pendant plusieurs décennies, à mesure que se développera la « vraie » ère post-Guerre froide.

 

Les tensions, les malentendus et mêmes des gaffes tactiques, voire stratégiques, sont inévitables.

 

Mais peut-être que l’une des conséquences positives de ce moment particulier sera que les hommes d'État devront s’occuper du monde tel qu’il est et non du monde qu'ils avaient imaginé.. »

 

De Jolyon HOWORTH - Professeur de sciences politiques à Yale University – Septembre 2008 -

 

   

LIEN SOURCE :

 

http://www.telos-eu.com/fr/article/le_monde_unipolaire_est_termine




Pourtant, la sangsue néoconservatrice Américano-Européenne,  éructe son échec, retarde son agonie, s'accroche au pouvoir...

Et, propose par la voix du :

 

Mentor des néoconservateurs, Robert KAGAN -  demanda en 1998 à

Bill Clinton de mener une autre politique en Irak consistant à renverser Saddam Hussein.

Il est aujourd'hui conseiller du candidat John McCAIN
Que,

 Les Etats-Unis n'ont plus les moyens ni la légitimité de rester les gendarmes du monde.

 

--Même le néoconservateur Robert Kagan, conseiller de John McCain-- propose une

 "Ligue des démocraties"

pour faire face aux régimes autoritaires.--

 

Vers une doctrine multilatéralisme ?

 


SUITE PAGE SUIVANTE ….



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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 06:59






Mardi 21 octobre 2008


Soutien laïque à Jacques MYARD, député des Yvelines
Voltaire République, dans sa ligne politique de défense des valeurs de la République et de la promotion des Lumières, a décidé de soutenir publiquement l'action du député UMP des Yvelines, monsieur Jacques MYARD, dans sa proposition de loi relative au port des signes religieux sur la voie publique et, notamment la burqa.

Pour ce faire, Voltaire République adresse un courrier de soutien dans sa démarche à Jacques MYARD, aux présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée Nationale et aux députés non inscrits.

Nous adressons également un soutien à la démarche concomitante du député du nord, madame Françoise HOSTALIER.

Voltaire République invite l'ensemble les républicains laïques à reprendre le courrier qu'elle adresse aux parlementaires sous la forme qu'ils entendent diffuser et à nous faire connaître les réactions des élus de la République en nous écrivant à:

voltaire.republique@laposte.net


LIEN SOURCE :

http://voltaire.republique.over-blog.com/article-23943480.html





Si, cette proposition se veut républicaine il faudra qu'elle prenne en compte l'interdiction des signes religieux tels :

La kepa juive,


La tenue, coiffe, croix, des religieuses catholique qui, s'exposent sur la voie publique de la République Démocratique Française,


Signes et croix catholiques tant sur la voie publique que, celles accrochées aux chaînes, aux colliers, bracelets qui, ornent le coup, poignet, doigt des hommes, femmes et enfants de ce pays - visible et exposées, à la vue de tous sur les trottoirs, de la REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE FRANCAISE - ,


Le prosélytisme religieux des propagandistes des religions, sur la voie publique - tels témoins de Jéhovah, évangélistes etc..


Liste non exhaustive et à compléter et ayant trait à :

TOUS LES SIGNES RELIGIEUX ET CE, QUELQUE SOIT LA RELIGION DONT SE REVENDIQUE LE CITOYEN FRANCAIS, EN ABORRANT CE SIGNE !!!!


Et, là, vous m'aurez convaincue Voltaire République de l'authenticité de vos combats en faveur de la laïcité.


Mais, pour l'instant, votre démarche, me paraît sous-tendue par un sentiment profond islamophobe, xénophobe, partiale et qui, peut être résumé ainsi ;

"Chasse a la religion musulmane",

Religion de nombre citoyen français de ce pays

 


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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

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AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

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PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

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YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

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ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

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TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

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Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

________________________________________________________________________________

 

 

 

Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


Catégories

LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

dr-aafia-siddiqui-bush-terrorism