….LE SIEUR OBAMA VA-T-IL DE VENDRE AUX PEUPLES
DE CETTE PLANETE ?
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Robert Gates, le flibustier fondateur d’Al Qaïda
La nomination de Robert Gates au titre de secrétaire de la défense doit être rejetée. Gates est très impliqué dans trois décennies de crimes par la communauté du renseignement.
Il n’y a aucune raison de croire qu’il ait l’intention d’entamer le nécessaire et rapide départ des forces américaines d’Irak.
Sa nomination par Bush ne peut être lue que comme une provocation délibérée contre le nouveau Congrès démocrate.
Les démocrates vont-ils lutter, ou bien capituler?
Les américains observent les sénateurs démocrates avec attention et ils sont consternés par les autocongratulations et le narcissisme de club au Sénat à un moment où les forces américaines font face à l’encerclement et à la décimation en Irak et en Afghanistan.
Les sénateurs ne doivent pas seulement voter contre Gates, ils doivent stopper le processus de confirmation par une obstruction parlementaire.
Un coup d’œil au palmarès sordide de Gates montre pourquoi.
Robert Gates, le flibustier fondateur d’Al Qaïda
Par Webster GRIFFIN TARPLEY –
Infowars.com- le 08/12/ 2008)
Robert Gates a fait partie intégrante du système d’écoulement des armes, des drogues, de meurtres d’escadrons de la mort connu sous le nom de scandale de l’ Irangate ou de l’Iran-Contra .
Gates a fait ses débuts avec l’ Iran-Contra en tant que larbin de William Casey, et a continué sous Bush père .
Lorsque Gates est nommé par Reagan à la tête de la CIA en 1987, son rôle dans les crimes de
l’ Irangate est déjà si sale et si flagrant qu’il a été contraint de se perdre en affirmations contradictoires lors de son audition par la commission d’enquête.
Ce faisant, Gates a cherché à défendre son nouveau maître, George Bush père, qui à ce moment-là se préparait à la candidature présidentielle de 1988.
Bush père était le tsar de tous les coups tordus des années Reagan, des opérations clandestines, y compris l’Iran-Contra.
Gates dut jeter l’éponge pour éviter des révélations qui auraient compromis la nomination de Bush .
Il sera récompensé en Juin 1991, date à laquelle il est à nouveau nommé par Bush à la tête de la CIA, Sam Nunn et quelques autres posent des questions embarrassantes, mais cette fois la couverture du rôle clé de Gates dans l’Iran-Contra est en place, supervisé par le sénateur David Boren issu de la clique Bush – Skull & Bones .
Les Démocrates, intimidés par la victoire apparente de Bush père dans la première guerre du Golfe, se sont aplatis.
Gates était trop mouillé pour obtenir un siège en commission en 1987, alors comment peut-il être acceptable aujourd’hui ?
Si des sénateurs démocrates tels Levin et Biden se sont opposés à la nomination de Gates en 1991, comment peut-on trouver acceptable qu’il le soit à un poste beaucoup plus important et au moment d’une crise bien plus grande ?
La marque de Gates se résume à une absence totale de compétence et d’indépendance de jugement.
Son pedigree est plutôt celui d’un laquais au service de puissants maîtres.
Le premier étant William Casey, directeur de la CIA sous Reagan, pour qui il fut le pivot central de l’Irangate.
Le second étant George Bush père, qui reprit le rôle de Casey.
Gates semble être un protégé de la famille Bush alors qu’elle le choisi par en 1999 pour devenir le doyen de la George Bush School of Government and public service de l’A&m à la Texas University .
Gates est une marionnette du gouvernement de l’ombre et pas le modèle d’indépendance et d’intégrité requis pour en finir avec l’aventure catastrophique de Bush qu’est l’engagement des troupes US en Irak.
Le régime de Bush s’est rendu coupable d’infamie en fixant les actions et les informations destinées à satisfaire la politique de l’agression prédéterminée et de l’aventurisme.
En tant que chef du Pentagone, Gates contrôleraient la majorité du budget du renseignement US.
Ses antécédents ne promettent rien de plus que du faux renseignement.
En septembre 1991, le Time Magazine a cité des rapports largement répandus que Gates ” faisait sa petite cuisine ” alors qu’il était à la C.I.A. pour répondre aux besoins politiques de Reagan et de Bush père.
Un éditorial du “New-York Times” du 4 novembre 1991 a conclu que « des preuves que M. Gates a biaisé les examens des services de renseignement, laissant le Congrès dans le flou, orientant les choses dans le sens de la politique de l’administration en place demeurent irréfutées. »
George Shultz écrit dans ses mémoires qu’il a estimé que « Gates me donnait une image idéalisée de ce qui était une toute autre réalité » et s’en est plaint à celui-ci le 5 janvier 1987,
« je n’ai pas confiance en la communauté du renseignement et j’estime que vous essayez de me manipuler.
Donc vous avez là un client très mécontent. Si c’était un commerce, je me trouverais un autre fournisseur.
» On conseillerait bien au Sénat de se trouver un autre fournisseur.
Gates résistera-t-il aux désirs de lancer de nouvelles attaques sur l’Iran, la Syrie ou la Corée du Nord, comme exigées par Cheney et les néo conservateurs?
Ses assurances sont, à cet égard, sans valeur.
Dans le rapport final du conseiller indépendant sur l’Irangate, Lawrence Walsh ne laisse guère planer le doute quand au fait qu’il croyait que Gates, se parjurant, avait fait un faux témoignage au cours de l’enquête.
Mais Walsh a conclu que les questions étaient tellement compliquées qu’il sera très difficile de le prouver devant un jury.
Pour cette raison et aucune autre, Gates n’a pas eu à faire face à des accusations criminelles pour faux témoignages.
Le plus accablant est le fait que Gates est l’un des fondateurs d’Al-Qaïda, la Légion arabe de la CIA qui a été conçue pour attaquer les Soviétiques en Afghanistan.
Gates fait donc partie de l’infrastructure qui produisit les boucs émissaires du 11 septembre.
Selon l’ancien directeur de la CIA, Robert Gates, dans son livre-mémoires intitulé « From the Shadows », la forte expansion de l’opération américaine sous couverture en Afghanistan a commencé en 1984.
Au cours de cette année, « la taille du programme secret de la CIA visant à aider les moudjahidines a augmentée à plusieurs reprises,» jusqu’à atteindre un niveau d’environ 500 millions de dollars de paiements saoudiens via l’intermédiaire du régime de Zia au Pakistan.
Et Gates de se souvenir que «c’est au cours de cette période (en 1985), que nous avons commencé à prendre connaissance d’une augmentation significative du nombre de ressortissants arabes en provenance d’autres pays qui avaient voyagé jusqu’en Afghanistan pour combattre dans la guerre sainte contre les Soviétiques.
Ils sont venus de Syrie, d’Irak, d’Algérie et d’ailleurs, et la plupart ont guerroyé avec les fondamentalistes islamiques des groupes Muj, en particulier ceux dirigés par Abdul Sayyaf Resaul. Nous avons discuté des moyens d’accroître leur participation, peut-être en tant qu’une sorte de “brigade internationale”, mais rien n’est venu.
Des années plus tard, ces combattants fondamentalistes formés par les moudjahidines en Afghanistan commencent à faire leur apparition partout dans le monde, du Moyen-Orient à la ville de New York, poursuivant leur guerre sainte, comptant maintenant les États-Unis parmi leurs ennemis.
Notre mission était de repousser les Soviétiques hors de l’Afghanistan.
On s’attendait à ce que l’Afghanistan post-soviétique soit moche, mais jamais a envisager qu’il ne devienne un refuge pour les terroristes opérant à l’échelle mondiale. »(p. 349)
Mais la brigade internationale évoquée par Gates a bien été créée, en fait, le groupe est maintenant connu sous le nom d’ Al-Qaïda. (Tarpley, 9 / 11 Synthetic Terror, pp.139-140)
C’est le même Al-Qaida qui a fourni la troupe de boucs émissaires, de psychotiques et d’agents doubles -Ben Laden, Atta, Moussaoui, etc- qui ont été utilisés pour mettre les attaques du 11 Septembre sur le dos des arabes et des musulmans au lieu du réseau de banquiers US voyous qui les ont effectivement réalisées pour des raisons géopolitiques.
Gates est trempé jusqu’au cou dans les rouages de la terreur de ce réseau dévoyé de criminels qui ont fabriqué le 11 Septembre.
Il est hors de question d’approuver un tel candidat.
Même l’empressement du Sénat de tenir des auditions pour un personnage si compromis relève d’une farce obscène.
Ces mêmes démocrates n’osent pas mettre un bout de ruban adhésif sur la candidature de Gates dès maintenant.
En particulier, les candidats démocrates à l’élection présidentielle au Sénat de se faire rappeler que, s’ils ne parviennent pas à faire obstruction à Gates, c’est déclencher le réveil de la base anti-guerre du Parti démocrate qui va demander des comptes sur la campagne électorale.
Nous ne voulons pas de trahison bi-partisane, mais plutôt d’une véritable opposition au régime de Bush et de ses crimes.
Par-dessus tout, nous voulons la vérité sur le
11 septembre comme une condition essentielle et préalable à la restauration d’un gouvernement légitime.
Traduit de l’anglais par Joël BOUJASSY pour
WE ARE CHANGE Paris
LIEN SOURCE :
http://www.infowars.com/?p=6406&cp=1
Lundi 15 Décembre 2008
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L'Union Américaine pour les libertés civiles
critique Robert Gates 06/02/2009
L'une des organisations américaines de défense des droits de l'Homme critique Robert Gates, secrétaire à la Défense, pour avoir refusé de soutenir l'abandon du jugement des prisonniers de Guantanamo.
Antonio Romero, président de L'Union Américaine pour les libertés civiles a déclaré que malgré l'ordre émis par Barack Obama pour fermer la prison de Guantanamo et arrêter le jugement des prisonniers, il semblait que le Pentagone refusait de suivre cet ordre.
Après avoir pris les rênes du pouvoir, Obama a ordonné la fermeture de Guantanamo et l'arrêt des procédures contre les prisonniers de ce centre de détention.
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