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Qui, Suis-Je

  • : Le blog de Hadria RIVIERE
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FEMMES REBELLES...

undefinedDAHYA…DAHIYA….DIHYA…KAHENA… (.. ?-700). 
 
http://www.berberescope.com/l'histoire_des_Berberes_yahoo.htm


FATMA TAZOUGHERT DITE LA ROUGE (1544-1641)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fatma_Tazoughert


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LALLA FATMA N’SOUMER (1830-1863) -DITE LA JEANNE D'ARC DU DJURDJURA
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FADHMA AIT MANSOUR AMROUCHE (1882-1967)

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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 15:01

 

Depuis Février 2006, LEAP/E2020 avait estimé que la crise systémique globale se déroulerait selon 4 grandes phases structurantes, à savoir les phases de déclenchement, d’accélération, d’impact et de décantation.

Ce processus a bien décrit les évènements jusqu’à aujourd’hui.

Mais notre équipe estime dorénavant que l’incapacité des dirigeants mondiaux à prendre la mesure de la crise, caractérisée notamment par leur acharnement depuis plus d’un an à en traiter les conséquences au lieu de s’attaquer radicalement à ses causes, va faire entrer la crise systémique globale dans une cinquième phase à partir du 4° trimestre 2009 :

La phase dite de dislocation géopolitique mondiale.

 

Selon LEAP/E2020, cette nouvelle phase de la crise sera ainsi façonnée par deux phénomènes majeurs organisant les évènements en deux séquences parallèles, à savoir :

  • Deux phénomènes majeurs :
    • La disparition du socle financier -Dollars + Dettes- sur l’ensemble de la planète
    • La fragmentation accélérée des intérêts des principaux acteurs du système global et des grands ensembles mondiaux
  • Deux séquences parallèles :
    • La décomposition rapide de l’ensemble du système international actuel
    • La dislocation stratégique de grands acteurs globaux.

Nous avions espéré que la phase de décantation permettrait aux dirigeants du monde entier de tirer les conséquences de l’effondrement du système qui organise la planète depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Hélas, à ce stade, il n’est plus vraiment permis d’être optimiste en la matière (1).

Aux Etats-Unis comme en Europe, en Chine ou au Japon, les dirigeants persistent à faire comme si le système global en question était seulement victime d’une panne passagère et qu’il suffisait d’y ajouter quantité de carburants (liquidités) et autres ingrédients (baisse de taux, achats d’actifs toxiques, plans de relance des industries en quasi-faillite,…) pour faire repartir la machine.

 

Or, et c’est bien le sens du terme de « crise systémique globale » créé par LEAP/E2020 dès Février 2006, le système global est désormais hors d’usage.

Il faut en reconstruire un nouveau au lieu de s’acharner à sauver ce qui ne peut plus l’être.

LA SUITE DE CET ARTICLE LA :

 

 

http://www.letransmuteur.net/phase-5-de-la-crise-systemique-dislocation-geopolitique-mondiale/

 


Ce qui, vous offrira l’opportunité de visiter un blog, serein,  apaisant mais néanmoins d’un grand activisme militant/politique de surcroit  « intelligent »  !!!!

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 14:21
LE VENEZUELA PERISTE ET SIGNE

Lors du référendum du 15 février, marqué par une participation massive (70 % du corps électoral), 54,86 % des votants ont ratifié l’amendement à la Constitution qui supprime la limitation du nombre des mandats des maires, députés et gouverneurs – sous réserve qu’ils soient élus s’ils se représentent !

 

Ce faisant, le Venezuela adopte le modèle en vigueur dans nombre de démocraties, dont la France ou les Etats-Unis -où M. John Kerry, par exemple, occupe son siège au Sénat depuis 1984-.

Le président de la République bolivarienne du Venezuela – à l’heure actuelle M. Hugo Chávez – pourra également briguer un troisième mandat, en 2012 (voire d’autres, ultérieurement).

Inquiétant tant l’opposition vénézuélienne que de nombreux médias internationaux, c’est, faut-il le préciser, cette perspective qui a retenu l’attention.

 

Aux angoissés professionnels, on rappellera que, jusqu’à la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, les chefs d’Etat français (M. Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, M. Jacques Chirac) jouissaient de la même prérogative sans que se soit jamais manifestée l’angoisse d’une « présidence à vie ».

Par ailleurs, dans des monarchies parlementaires telles que le Royaume-Uni et l’Espagne – où la reine Elisabeth II et le roi Juan Carlos Ier n’ont jamais été élus par personne –, les chefs de l’exécutif Margaret Thatcher et Felipe González sont restés respectivement au pouvoir onze et quatorze années.

 

Le Canadien Pierre Elliot Trudeau a occupé les fonctions de premier ministre fédéral quasiment sans discontinuer pendant près de seize ans.

 

Le libéral John Howard a dirigé l’Australie entre 1996 et 2007.

 

Tout comme le chancelier allemand Helmut Kohl (1982-1998 : seize ans), tous auraient pu demeurer dans cette fonction si, dans des circonstances différentes, ils n’avaient finalement été désavoués par les électeurs ou par leur propre courant politique.

Par rapport à ces quelques exemples, qu’on pourrait développer à l’infini, les Vénézuéliens bénéficient d’un avantage non négligeable :

 

Ils peuvent, à mi-mandat, s’ils ne sont pas satisfaits de son action, demander par référendum la révocation du président.

 

Ce qui s’est produit, le 15 août 2004, à la requête de l’opposition. En la circonstance, leur demande a été repoussée par 59,06 % des voix.

La démocratie étant par définition entre les mains du peuple, le renouvellement d’un mandat peut difficilement se voir opposer des considérations… démocratiques.

 

Sous réserve de processus électoraux pluralistes, libres et réguliers.

 

Ce qui, d’après les observateurs internationaux, a été le cas au Venezuela depuis la première victoire de M. Chávez, le 6 décembre 1998.

Maurice LEMOINE

 

LIEN SOURCE :

http://lgvsite.canalblog.com/archives/2009/02/19/12612137.html

_____________________________________________


Dés qu’il s’agit d’une modification de la constitution, d’un pays du Sud et, surtout proposé par un Chef d’Etat qui, refuse de se soumettre aux diktats et ingérences des gouvernants anglo/américano-européenano/sionistes, les rats hurlent aux « atteintes à la démocratie ».

Démocratie à géométrie variable, s’entent et qui, favorise surtout compte les intérêts, l’avidité de la  sangsue Usioniste et de ses acolytes Européens !!!!

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 12:40

MENACE D’INCULPATION DU PRESIDENT OMAR EL BECHIR DEVANT LA CPI : TERRORISME JUDICIAIRE… OU CHANTAGE POLITIQUE INTERNATIONAL ?

 

Depuis la fin du mois de janvier 2009, la presse internationale – et surtout celle du lobby néocolonial du cercle Françafrique en ligne – n’en finit pas de fantasmer, s’enflammer et même de s’émouvoir chaque jour davantage à propos de cette menace – au jour le jour apparemment plus précise – d’une inculpation que l’on dit imminente, suivie d’une éventuelle comparution, du président Soudanais El Hadj Omar Hassan El Béchir devant la Cour Pénale Internationale à La Haye aux Pays-Bas.

 

Qu’en est-il exactement, et jusqu’où comptent exactement aller le procureur de la CPI et ses juges pour cette procédure qui, non seulement rencontre des résistances tant en Afrique qu’au sein de la Ligue Arabe, mais risque de finir par faire partie des sujets qui fâchent tant elle ressemble à du terrorisme judiciaire…

 

Ces derniers jours, aux quatre coins de l’Afrique, de l’Europe, du Golfe Persique et jusqu’aux Etats-Unis, on parle de plus en plus des juges de la Cour Pénale Internationale qui  s’apprêteraient – selon des sources alarmistes – à émettre un mandat d’arrêt internationale à l’encontre du président Soudanais El Hadj Omar El Béchir pour de présumés chefs d’accusation de « génocide », « crimes de guerre », et « crimes contre l’humanité ». Des « crimes » que la CPI estime avoir été commis entre 2003 et 2008 dans le cadre du sanglant conflit du Darfour.

 

Mais en tout cas trois chefs d’accusation qui constituent l’essentiel même de la compétence de cette juridiction internationale créée sous l’égide du Conseil de Sécurité le 1er juillet 2002, et dont – pour l’heure – 108 états sont membres pour avoir ratifié le statut de Rome ayant consacré sa compétence.

 

Si 108 Etats reconnaissent la CPI, il faut dire aussi que certains Etats – et pas des moindres – ont refusé de signer le statut de Rome, se mettant ipso facto en marge de la compétence de cette juridiction qui aurait bien gagné à être réellement et entièrement universelle.

 

Ainsi, la Russie, la Chine et l’Israël n’ont même pas daigné signer ce statut. Les Etats-Unis l’ont bien paraphé le 31 décembre 2000, mais n’ont jamais voulu le ratifier. Et ne comptent certainement pas le faire avant longtemps.

 

Ces Etats qui craignent le jugement de la CPI

 

Il n’est pas difficile de comprendre que la principale crainte de ces Etats non signataires est assurément de voir la CPI être utilisée un jour ou l’autre contre eux pour des raisons politiques.


Et au premier rang de ces pays réfractaires à l’application d’une justice internationale sur eux-mêmes, on trouve – contre toute attente pour ce prétendu gardien des temples de la liberté et de la justice, les Etats-Unis d’Amérique qui ont fait mieux que refuser de parapher la ratification.

En effet, le pays de l’Oncle Sam n’a pas fait moins que d’établir des accords bilatéraux avec les Etats signataires, accords garantissant que les Américains qui seraient éventuellement amenés à répondre de leurs actes devant le CPI soient rapatriés aux Etats-Unis par ces pays… pour être jugés selon les lois américaines !

 

C’est ce qu’on pourrait bien appeler vouloir une chose et son contraire !


Mais pour en revenir à la procédure d’inculpation du Chef de l’Etat Soudanais, le monde entier se souvient que c’est en juillet 2008 que le procureur de la
CPI, l’Argentin Louis Moreno O Campo a déposé sa demande d’inculpation du Président El Béchir devant les trois juges de la CPI.


Dès que cette information avait été rendue publique, elle avait immédiatement allumé une incandescente controverse, car il était de notoriété publique que le Soudan qui n’a jamais signé ni ratifié le statut de Rome pouvait légitimement, au même titre que les Usa, Israël, la Chine, la Russie ou la Corée du Nord, estimer ne pas être justiciable devant cette juridiction.

 

Encore que, la CPI n’est compétente que si l’une des trois conditions suivantes est remplie :

-      l’accusé est ressortissant d’un Etat partie au statut de Rome, ou acceptant la juridiction de la CPI

-      le crime a été commis sur le territoire d’un Etat partie ou acceptant la juridiction de la CPI

-      le conseil de sécurité saisit le procureur de la CPI en vertu du chapitre VII.


Et pour le cas du Soudan, c’est ce troisième cas de figure qui aura été retenu pour mettre le président Soudanais sur le gril d’une justice internationale qui – on le voit décidément avec le Soudan – peut s’appliquer sans ambages sur certains pays, et en aucun cas sur d’autres.

 

A l’exemple des Etats-Unis évoluant carrément en marge et au dessus de toutes les lois internationales, qui demeurent le seul pays au monde qui s’arroge – sans que cela fasse tousser qui que ce soit – le droit d’envahir n’importe quel pays de la planète pour défendre ce qu’il considère comme son « ordre économique », « les intérêts de sa civilisation », ou sa « perception de la démocratie ».

 

Voilà le seul pays au monde à avoir froidement utilisé des armes de destruction massive à Hiroshima de Nagasaki sans que cela lui ait jamais – et jusqu’aujourd’hui – posé le moindre problème de conscience, ou de reddition de comptes devant une quelconque justice des hommes, alors que des millions de pauvres civils innocents avaient péri dans des conditions apocalyptiques. Hiroshima et Nagasaki auront été le crime de guerre absolu.
Inexplicable.

 

La CPI bonne pour certains et pas pour d’autres

 

Mais aujourd’hui encore, l’Amérique, qui s’est autoproclamée championne de la civilisation, trouve le moyen d’imposer que la majorité des pays du globe se soumettent à une juridiction internationale chapeautée par Washington en prenant bien soin de se mettre en marge…

 

Il serait inutile de revenir sur les horreurs perpétrées par les Etats-Unis – au mois depuis l’existence de la CPI en 2002 – pendant la guerre du Golfe, en Afghanistan, ou même en Irak, et qui mériteraient d’être qualifiés au superlatif de « crimes de guerre » ou de « crimes » contre l’humanité…

 

Malheureusement, il n’y a pas que les Etats-Unis à ne reconnaître et trouver des vertus à la CPI que quand elle s’occupe des autres :

 

il y a aussi la Russie ou Israël, influents membres du Conseil de Sécurité qui ont certainement donné leur onction à la procédure déposée à la CPI contre Omar El Béchir.

 

Des pays dont les chefs d’Etats pourraient, au même titre que ceux des Usa, être passibles d’inculpations multiples devant la CPI pour « crimes de guerres », de « crimes contre l’humanité » et même pour génocide.

 

Tout comme Israël qui, il y a moins d’un mois, a massacré des milliers de palestiniens en mondovision, exactement comme Josué qui – selon la Bible – avait exterminé les populations autochtones de la Palestine il y a 2500 ans pour redistribuer le pays aux tribus d’Israël !

 

Heureusement, force est de reconnaître que l’éventuelle inculpation d’un président de la République en exercice n’est pas passée comme une lettre à la poste aux yeux de tous ceux qui gouvernent, et même est sur le point de constituer un spectaculaire précédent.

 

En effet l’Union Africaine a plaidé – et continue de le faire – pour une suspension desdites poursuites. Idem pour les pays de la Ligue Arabe qui ont vite fait de mesurer toutes les conséquences qu’induirait cette mesure, il faut le dire, assez osée initiée par… des pays qui ne sont pas eux-mêmes soumis à la compétence de la CPI. Ou si peu.

 

C’est ainsi que l’initiative du Premier ministre Qatari le Cheik Hamad Bin Djassim Al Sani qui vient de réussir, le mardi 15 février 2009, à instaurer un dialogue entre les autorités de Khartoum et le terrible Mouvement pour la Justice et l’Egalité de Khalil Ibrahim se présente comme porteuse, non seulement de grands espoirs pour une normalisation des relations entre les groupuscules rebelles et la légalité soudanaise, mais laisse envisager de sérieuses perspectives de paix dans le Darfour.

 

Arrêter un chef d’Etat en fonction ?

 

Il n’en resta pas moins vrai que si plusieurs Etats – parmi lesquels la Chine -, ont évoqué la difficulté de l’application de cette mesure, compte tenu de l’immunité dont jouissent les chefs d’Etats en vertu de multiples conventions et textes, il existe un grande nombre de chefs d’Etats et de gouvernements qui estiment qu’il appartient en fait au Soudan de juger ses propres ressortissants.

 

En outre, l’option d’un procès au Soudan – et essentiellement en Afrique – a également été envisagée par les pays de a Ligue Arabe qui ne sont guère allés par quatre chemins pour reprocher au Procureur de la CPI de ne pas avoir poursuivi les chefs rebelles en lutte avec Khartoum depuis 2002, et dont les exactions militaires donnent la chair de poule.

 

C’est peut-être ainsi que pour faire bonne mesure, le procureur Louis Moreno O Campo a déposé – en septembre 2008 – trois demandes de mandat à l’encontre de commandants rebelles dont il se dit qu’ils auraient attaqué des soldats de la force hybride ONU-UA le 29 septembre 2002.
Mais lesquels ? Là réside l’autre très grande interrogation.

 

Mais peut-on parler de « crimes de guerres » au Darfour ou de « crimes contre l’humanité » et refuser de tourner les yeux vers Idriss Déby Itno, le dictateur Tchadien, qui héberge, arme et fourni une immense aide logistique aux rebelles Zaghawa du MJE qui, depuis plus de cinq ans, s’attaquent sans pitié aux camps des réfugiés, aux soldats de la force hybride ONU-UA, et même aux Ong humanitaires en procédant à de monstrueux massacres ?

 

Par quelle acrobatie judiciaire les juges de la CPI peuvent réussir à ne pas inculper Idriss Déby de génocide quand l’on se souvient qu’en 2006, dans la région Est du Tchad, des populations entières avaient été pourvues d’armes de guerre par le pouvoir de Déby pour – avait-on laissé croire – faire face aux « rebelles », alors que la vérité était qu’il était question que des agriculteurs massacrent des éleveurs ? Le résultat fut saisissant : plus de 2000 morts en deux semaines, et le pouvoir de N’djamena dépassé par sa propre bévue n’eût pour seule solution que l’instauration de l’état d’urgence…

 

Des accusations contre El Béchir qui sonnent faux

 

Il faut, au final, reconnaître que la menace, devenue récurrente d’une imminente inculpation du Président El Béchir finit par donner à la longue, une impression de faux suspense à répétition.

 

Au-delà de l’extravagance des chefs d’accusation – qui conviendraient en tout cas mieux aux chefs d’Etats Israéliens ou Américains – martelés un peu comme des coups de massue sur la tête d’une opinion internationale prête à croire n’importe quoi, on en arrive facilement à la conclusion que le lynchage médiatique et judiciaire contre Omar El Béchir est de la même veine que tout ce que l’on a toujours raconté de manière passionnelle sur le compte des « petits » chef d’Etats du Tiers-monde dont les puissants de l’occident veulent se débarrasser.

On a bien accusé un jour Jean Bedel Bokassa de manger la chair humane – un odieux mensonge – et
Saddam Hussein de posséder d’armes de destruction massive, alors qu’il n’en était rien !


Ces mensonges, éventés par la suite, ont certes estomaqué le monde entier, mais l’objectif avait été atteint : Bokassa avait été débarqué, Saddam Hussein avait dû prendre la fuite pour être exécuté par la suite. Mais dans les deux cas, comme dans d’autres, après la chute des Chefs d’Etats visés, leurs pays étaient devenus ingouvernable. Le président Omar El Béchir n’est ni Bokassa, ni Saddam Hussein, mais ce qui est sûr, c’est que comme cela, il est victime d’accusations qui sonnent faux.

 

Des accusations sonnant d’autant plus faux que quand on prend la petite peine de chercher à se faire une opinion sur le nombre de morts cumulées à Bagdad, à Kaboul ou à Gaza, on aura vite fait le distinguo avec ce que l’on veut présenter avec hystérie au Soudan comme… « Crimes de guerre ».

 

Car aux seules fins de caricaturer à l’extrême le chef de l’Etat Soudanais, et pour lui coller définitivement une tête patibulaire, une certaine presse occidentale – relayée par les vaticinations de prétendus observateurs, en réalité totalement obtus – s’emploie à faire gober à toute l’Afrique ainsi qu’à la Ligue Arabe que, seul le chef d’Etat Soudanais mériterait de comparaître – menottes aux poignets – devant une juridiction prétendument internationale dont les Usa, la Chine, la Russie ou Israël refusent de reconnaître la compétence.

 

Comme si tous les crimes de guerre des « marines » américains étaient brusquement oubliés ou absous…Ou comme si tous les massacres perpétrés par Tsahal – surtout ceux de l’opération « plomb durci » – étaient déjà ensevelis sous un oubli irrémédiable…

 

Quand l’Amérique ou Israël massacrent à coup de missiles et de bombes, en Irak, en Afghanistan ou à Gaza, une presse ivre de sang et hagarde se dope au décompte – pourtant hallucinant, mais que l’on banalise curieusement – de « morts » transformés en … victimes collatérales.

 

A Gaza, tout récemment, le millier de palestiniens tués en 20 jours a réussi à obtenir les honneurs de la chronique sans jamais être transformé en « crimes de guerre » ou en « crime contre l’humanité ».

 

C’est pour cela qu’il semble que les magistrats de la CPI ont une curieuse appréciation des termes « crimes de guerre ».

 

Il en va de même des accusés et des inculpés traînés de force devant la CPI :

pour qu’une personnalité soit passible de la CPI, pas besoin qu’elle soit américaine, juif ou russe.
Surtout pas.

Il lui faut juste correspondre à un archétype bien défini : nègre de préférence, africain surtout, et si jamais elle ose prétendu ne pas reconnaître la compétence de la CPI – comme le font Israël ou les Usa – le conseil de sécurité – dirigé par ceux-là même – se chargera de lui apprendre que les cinq doigts de la main ne sont pas égaux…

 

A cette action de poursuites sélectives - ne faisant vraiment pas nommer à la CPI – qui consiste à ne « criminaliser » que les individus correspondant à un profil bien précis, s’ajoute une autre bizarrerie : celle qui consiste à amplifier l’ensemble de ce qui est présenté comme des accusations irréfutables, tout en écartant tout élément qui pourrait être considéré comme à décharge au bénéfice de l’accusé, pourvu que soient conservés de terribles éléments destinés à horrifier le grand public, et incruster dans son subconscient les traits et les tics d’un monstre ne méritant ni plus ni moins que la CPI et les barreaux.

 

Dans cette stratégie hystérique, la « grande presse internationale » n’a pas sa pareille à se déployer à merveille pour noircir – et uniquement noircir un accusé irrémédiablement présumé coupable à traîner devant la Cour Pénale Internationale. Comme Omar El Béchir.

 

Pour ce faire, elle usera de clichés dégradants, et abusera d’images toutes faites dans l’unique objectif de ramener l’accusé à des définitions psychologiques élémentaires.

 

Ainsi en est-il, à l’heure qu’il  est, d’El Hadj Omar Hassan El Béchir. Le Président Soudanais qui serait déjà bon – nous dit-on – pour le box des accusés aux Pays-Bas.

Mais l’Afrique entière et la Ligue Arabe ne l’accepteront pas comme ça.

 

Il faut un début à tout surtout, à l’application d’une justice qui mériterait d’être internationale… et juste, pour tous.

 

LIEN SOURCE :
 

Par A.K de Ndjamena-matin

 

Jeudi 19 Février 2009


_____________________________

QUESTION -causalité evidente entre :

La
comparution, du président Soudanais El Hadj Omar Hassan El Béchir devant la Cour Pénale Internationale à La Haye aux Pays-Bas  et  le retour de la paix au pays :
Darfour: accord entre des rebelles et Khartoum en vue d'un règlement du conflit

 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 12:32


PROGRAMME INSURRECTIONNEL

La stratégie de l'État est claire et lisible. Adossé aux agents du spectacle, aux penseurs médiatiques de sa caste, aux aristocrates des grands groupes et aux armes de sa police, il laisse la situation se détériorer à un point tel que la loi martiale effective n'est plus qu'une question de semaines.

Cette stratégie désastreuse, expérimentée dans l'histoire et remise au goût du jour dans les Antilles françaises accouche du plus noir tableau pour les libertés du peuple, le droit inviolable de sa libre expression et de son devoir sacré d'auto-détermination.

La crise est un complot.

 

Après une décennie où les élites ont essayé de plonger le monde dans une guerre totale et globale qui aurait pris naissance au Moyen-Orient, agitant le spectre des guerres de civilisations, des guerres religieuses et des guerres à mort pour les matières premières, l'ordre du jour est au chaos général dans chaque pays occidental ou occidentalisé.

 

La crise? Mais c'est un complot! La situation ne peut pas échapper aux banques et aux pouvoirs, seraient-ils assez veules pour nous faire croire que tout leur échappent et qu'ils n'y peuvent rien? Ils le sont.

 

Ils parlent de crise du siècle alors même que nous ne sommes qu'à l'aube d'un millénaire qu'ils veulent écrasés sous leurs bottes.

 

Ils parlent de 1929 en oubliant, omission ordurière, que cette crise a été fomentée par les banques privées de la réserve fédérale américaine, donc parfaitement contrôlée et radicalement fidèle à leur plan. Les médias nous assomment de terreur en prédisant une descente vertigineuse dans les enfers de la récession, ou de la dépression suivant le canal que l'on écoute, préparant les esprit à l'apocalypse que seul pourra résoudre un État policier sans autre dogme que la force brutale. Les agitations, les insurrections, les révoltes, tout le beau monde n'a que se mot à la bouche, plan de propagande pour apeurer les propriétaires et ceux qui s'accrochent à leurs salaires.

 

Ils nous parlent de matelas social au lieu de parler de ce cache misère sordide, de cette natte rongée par les rats vide d'une poignée d'euros...

Est-ce que le smic, le rmi, le rsa, les quelques pièces jetées à ceux de tout en bas suffiront à faire taire le souffle de la révolte?

 

C'est une insulte de poser la question! C'est une révolte qu'ils veulent? Ils auront une révolution!

 

Défier la misère.

Défier la misère c'est défier sa fatalité. C'est défier les sens communs qui sortent de la bouche de ceux dont la vie n'a rien de commun.

 

C'est défier la soumission journalistique, cracher à la gueule des faiseurs de consul, vomir les contemplations abêtissantes du spectacle, hurler comme des fauves que le système n'est pas mauvais que depuis une dizaine d'années, que le capitalisme est bien une haine de l'humanité, défier la misère c'est élever des barricades aux stupides analphabètes historiques qui miaulent pour le retour du capitalisme à papa, et finalement défier la misère c'est préférer le cocktail enflammé à la gueule des maitres du monde aux allocations quémandées par d'invisibles comités.

Aujourd'hui ceux qui se battent contre les lois scélérates, les lois racistes et génocidaires, les lois des riches qui protègent leurs misérables rolex, les lois fascistes pour un nouvel ordre mondial, tous sont criminalisés.

 

Ceux qui luttent pour un logement digne, pour l'indépendance alimentaire et énergétique, une juste répartitions des richesses, un accès à l'éducation pour tous, une éradication de la morale consumériste, pour la fin de la société des mafias et du secret, pour une civilisation nouvelle d'hommes et femmes sages et éclairé(e)s, et surtout, honte déjà indélébile de l'histoire contemporaine, ceux qui luttent pour le respect des droits de l'Homme et contre les directives de la honte, contre la morale fasciste, ceux qui luttent pour nos frères et sœurs des pays appauvris, contre les multinationales et leurs saloperies à travers le monde entier, et bien tous ses hommes et femmes supérieur(e)s promis(e)s aux livres d'histoire à la page des Danton, Camille Desmoulins, Victor Hugo, Louise Michel, Jean Moulin, et bien tous risquent leur liberté et leur vie.

 

Si nous sommes contre, et radicalement contre, il n'y a aucune posture de conciliation à accepter, aucune discussion sur les termes de réformes ou autre légalisme, compassion absurde pour le bourreau de l'humanité, si nous sommes contre, il faut le dire, l'écrire, le crier, et lutter, quelque soit la forme du combat, contre le système et les responsables de ce spectacle, et s'il faut aller plus loin que des coups de pieds aux culs et des textes assassins, s'il faut appliquer la justice populaire aux multinationales et états-mafias, s'il faut traverser les mers et les déserts pour prendre le fusil de la fraternité, s'il faut trainer les maîtres à terre jusqu'à l'aveu de leurs crimes, s'il faut brûler la société de l'abondance, du gâchis, et se mettre à dos tous les petits fascistes du confort quotidien, s'il faut encaisser des années de prison et se coucher au son des balles ignobles des mercenaires, et bien qu'ils sachent que c'est exactement la posture que nous nous engageons à tenir, parce que aucune autre solution n'est possible sinon regarder en végétaux aliénés la déchirante destruction de notre monde et la mort des enfants de demain, oui l'Histoire continue pour le monde meilleur que nous voulons tous, un monde débarrassé des fascistes, de leur goût morbide du passé , de leur chronique amnésie, et de leurs lois de sang.

 

Parce que j'aime la France.

Parce que j'aime la France, le bleu de mes yeux et le blanc de ma peau rougissent des menteurs et des traitres, ces petits hommes d'ailleurs à l'humanité suspecte qui ont bâfré l'universel au banquet de la mort, laissant à mes frères et sœurs des horizons lointains la curée des os morts.

 


Quand je pense National je pense aux troupes de Valmy, l'armée de tous les français, aux FFI du Vercors, l'honneur de tous les français, aux gardes nationaux de 1871 et aux internationalistes partis en Espagne hisser haut la fraternité et la solidarité pour les valeurs de la seule France qui vaille qu'on meurt pour elle.

 

Tout le reste ne vaut pas le clou enfoncé dans les pancartes aux belles lettres sur les murs de nos villes. Les perruques, les roitelets, les petits empereurs et leurs généraux, les républicains assassins qui souillent le nom des rues alors que le sang de mes aïeux a disparu dans des tranchées de batailles inutiles et amorales.

 

De Austerlitz à Diên Biên Phu, de Camerone au Djebel algérien, aujourd'hui en Afghanistan pour faire plaisir à l'oncle Obama, le sang des miens a été vendu aux nauséeux principes du capitalisme, de l'impérialisme, et les coupables n'ont jamais rien payer.

 

Je leurs en veux aux riches, le cul assis sur leur tas d'or, de n'avoir pour les jeunes rien d'autres que l'ambition d'en faire des massacrés où des massacreurs.

 

Et l'ailleurs me déteste comme on déteste le meurtrier de sa famille, le violeur de sa sœur, le voleur de sa dignité ancestrale.


Parce que j'aime la France, la reproduction du tableau de Delacroix guide ma liberté, elle s'affiche sur un des quatre murs de mon taudis, à côté d'une œuvre plus personnelle qui proclame mort aux cons.

 

N'est-ce pas cela mon pays, cette belle femme sur le tableau de Delacroix, cette guérillera poitrine offerte aux balles des tyrans pour la liberté de tous?

 

Je ne veux que celle là comme couverture, je me débrouille très bien sans elle, mais si revient le froid, l'hiver et les pleurs, les miens ou ceux de mes frères et sœurs, c'est cette couverture qui me protégera, et ce n'est que cette étoffe protectrice que je pourrai offrir.

 

Plus encore, pour elle, je donnerai mes poings, ma rage, et beaucoup de ma vie, parce ce peuple et cette liberté, alors, c'est mon père et ma mère. Mort aux cons, c'est autre chose, un patrimoine national que de cracher à la gueule de la gestapo de service.

La police, ces pauvres d'esprit, ces malheureux dégénérés d'appuyer les actes barbares des élites, cette mafia drapée dans la loi, ne sert qu'à disperser la rage positive du peuple, à l'infantiliser, à le rabaisser tant et si bien que la présomption de culpabilité est la base de son action. La police c'est Versailles, la police c'est Vichy, la police c'est l'ennemi de l'intérieur vomi d'un ministère amer.

Un délinquant n'est rien d'autre qu'un être debout qui refuse le salariat, et comme le salariat n'est rien d'autre que l'esclavage, un délinquant a dans le sang le même bouillonnement que celui des révoltés du tiers-états.

Et les fous, les tueurs et les violeurs, qu'en ferons-nous sans la maison poulaga? Ce ne sont que de pauvres victimes sociales devenus assassins à leur tour, aveu de l'égoïsme de nôtre société, de son horreur de l'humain, de son mépris des horribles conditions sociales, culturelles et éducatives qu'elle impose massivement.

Nous, comme un peuple digne et fier, parce que juste et fraternel, nous n'avons pas besoin d'une milice terroriste (qui terrorise) aux ordres des bourgeois pour faire régner la bonheur.

 

Nous nous organiserons bien mieux nous-mêmes, avec des valeurs bien différentes les mêmes que celles de ce tableau, là sur le mur de mon taudis, ils ont tous des armes, des sourires, la joie libertaire allume leurs grands yeux noirs.

 

Parce que j'ai été au collège Louise Michel et au lycée Auguste Blanqui, j'espère que mes enfants iront au lycée J.M Rouillan et à l'Université Guy Debord. Et pour cela, et avec tous les vrais patriotes pour un monde meilleur, j'appelle à l'insurrection.

 

Les Que faire et qu'en faire?

Quelques soient, et pour des raisons bien différentes, les conséquences des moments révolutionnaires, il n'y a pas de modèle, et la révolution n'étant pas un produit commerciale, elle ne s'importe ni ne s'exporte. Le fait commun est la conscience de l'oppression et son degré de violence.

Qu'il soit le fait d'un peuple, d'une partie d'un peuple ou d'une avant garde, seule compte la réalité de l'oppression. Mais la conscience de l'oppression, au vu du monde médiatique actuelle, est loin d'être évidente pour les français.

Espérons qu'ils apprennent vite des frères et sœurs antillais(es) ainsi que des groupes et penseurs libres qui s'essoufflent à le crier depuis si longtemps. Parce que la propagande ne laisse pas d'espace à l'esprit critique, elle transforme en bien n'importe qu'elle ignominie.

La grande majorité occidentale n'a pas conscience de collaborer au pire système, génocidaire pour l'humanité, destructeur pour la planète et tyrannique pour eux-mêmes.

Ce monde est éminemment contre révolutionnaire, c'est à dire qu'il moque, déprécie et criminalise la critique en même tant qu'il étouffe, trahit et prostitue l'autocritique. La dépression généralisée, l'avalanche de frustrations, la négation du développement personnelle au profit du modèle capitaliste, toutes ces peines quotidiennes ne sont pas reconnues comme la conséquence du modèle de civilisation imposée mais comme une fatalité humaine.

 

Ainsi se vérifie cette ancienne loi, la force du tyran ne repose que sur l'acceptation de l'état de tyrannie par ses sujets. L'oppression chacun l'endure mais personne n'en identifie la cause. C'est en toute conscience que l'occident déferle sur le monde, assassine, vole et détruit, acceptant cet état de fait comme indépendant de sa volonté et de ses actes.

 

La conscience du contrôle sur sa propre destinée n'existe pas, par les mêmes mécanismes qui ont plongé l'occident dans l'acceptation de la scolastique divine pendant des siècles. Un jour pourtant, grâce au travail des Lumières et à la dignité des révolutionnaires l'ordre ancien a été balayé.

 

Aujourd'hui c'est cet ordre bourgeois, devenu ancien et mortel pour l'humanité, qu'il faut balayer. Où naissent les révolutions?

 

A la différence des coups d'état, du cirque électoral et des agitations littéraires, un réel mouvement populaire debout pour la refonte du rapport de forces nait, grandit et meurt dans l'espace publique, dans la rue.

 

En amont était la formation des élites révolutionnaires, leur préparation à ce travail de porte-voix des idées neuves. En aval la désignation juste de représentants pour porter le projet constitutionnel, politique, sociale et humain. Mais l'espace publique garde la main.

 

Là, sur le pavé, dans l'échange le plus naturel, le plus direct, le plus productif, déjà vivent toutes les possibilités, toutes les radicalités et tous les contre-pouvoirs.

La situation est celle-ci, les forces mobilisées pour un projet révolutionnaire doivent prendre l'espace publique. On peut constater aujourd'hui que l'atomisation de la population, sa réduction à la partie congrue de son individu propre, seul et inoffensif, est une arme aussi efficace que dix escouades de policiers.

La contestation libertaire, armée de feuille de choux trisannuels et d'une armada de pense-bêtes numériques, ne vaut pas la botte d'un guérillero. C'est certes plus confortable, aussi confortable que de designer d'ex-rebelles libertaires aux rédactions des journaux nationaux. Ça calme, soit et la petite foule des révolutionnaires booléens.

 

Simplement, fut-elle numérique, la posture de papier n'est qu'une posture, à la première lâcheté elle se fait imposture. Le seul droit collectif de contestation est résumé aux règles du jeu politique, au balai des partis, aux lentes échéances du vote et à la tricherie des classes dirigeantes.

 

C'est un leurre, un piège, tant que l'espace publique ne devient pas le terrain essentiel, de formation, de lutte et d'explication de la révolution, tant qu'il reste aux mains des classes dirigeantes, l'avenir révolutionnaire en Occident ne saura dépasser les résultats des compagnons de la lutte armée de la fin du siècle dernier.
Voilà le point essentiel, si cette convergence d'esprits, d'analyses, de révoltes du verbe armé ne débouche sur aucune action concrète et durable dans l'espace publique, s'il ne sert à désenchainer les électeurs-consommateurs-salariés, s'il ne sert à décrétiniser les générations nées dans le monde spectaculaire du capitalisme concentré, s'il n'afflige pas de peur la caste dominante, il est inutile.

L'espace publique est le seul lieu ou la communauté peut outre-passer son rôle de spectatrice et devenir actrice.

C'est un principe social, la volonté d'un groupe n'est que la matérialisation de cette volonté dans l'espace publique:

 

la foule. La masse, en tout cas l'unité dans le refus d'un ordre administratif, oppressif, un colosse de papier protégé par une force armée, de la matraque à l'article lambda du code pénale. Regardez l'ennemi! La matérialisation de l'ordre dirigeant ne se suffit pas de la télévision, ou de toute autre propagande.

 

L'ordre doit affirmer sa force réelle dans des défilés militaires, des démonstrations de police, des occupations permanentes de l'espace, elle doit occuper avec ses milices, sa rhétorique et sa morale tout l'espace publique, non seulement comme élément de sa propagande mais également pour en interdire l'accès à toute forme de contestation.

 

Les lettres, les déclarations, les constitutions, les lois, rien n'existe sans la démonstration de la force qui les soutient.

La force du système ne peut se résoudre à être une force virtuelle, cathodique ou numérique, elle doit être vue et comprise comme une violence d'état par tous les citoyens, elle doit donc investir et quadriller l'espace publique. Force de l'ordre, publicité, etc,etc...

 

Programme insurrectionnel.

Il faut mettre l'État en faillite, que sa vraie nature explose aux visages des citoyens. Faillite sociale, faillite humaine, faillite politique et faillite policière.

 

Les gros bras de l'état, les polices sous tous leurs uniformes, ne servent que pour l'argent. Ces guêpes de l'ordre fonctionnaire en sont les mieux payés, bien plus que les professeurs et instituteurs de nos écoles. Une fois en cessation de payement, rien ne protégera plus l'élite de sa base révoltée.

 

Les villes doivent être sous contrôle des brigades de révolutionnaires, les voies de communications bloquées et le pays plongé dans le noir médiatique.

 

Les murs feront des supports de bonne qualité et trois cagettes une estrade suffisante. L'administration ancienne doit être balayée et les communes insurrectionnelles proclamées.

 

Les plus motivés seront de l'avant-garde, pour expliquer au peuple endormi par des décennies de propagande débilitante les vérités qu'on lui cache et le principe supérieur de la révolution. Le changement par et pour tous.

 

De sorte que les instituions de la république soient caduques, l'Élysée et Matignon hors-notre-loi et la constitution annulée.

 

La constituante est alors en ligne de mire, interdite à tous ceux qui ont occupé des mandats ou postes de courtisans sous la cinquième république, de la base se noue le projet d'une société nouvelle, et les aéroports seront largement ouverts pour que les rois d'hier devenus rats s'échappent retrouver leurs millions volés aux français.

 

Le chantier est immense, le projet d'une vie, un projet social bien différent des vies schizophrènes promises par le monde du spectacle.

Certains pourraient croire à une folie. Ce n'est rien de cela, c'est un programme insurrectionnel.

 

Tout cela ne se fera pas sans quelques cranes fendus, et si le futur n'est pas écrit à la virgule près, ce n'est pas qu'il n'existe pas, c'est simplement que la responsabilité et l'avis de chacun ne peut pas se décider de manière unilatérale.

 

Un projet révolutionnaire ne peut pas se subordonner aux principes dictatoriaux et élitistes de l'actuel ordre de la démocratie élective, cette réalité inversée de la liberté.

 

La désorganisation de la riposte ne sera que la preuve de sa vraie nature, la représentation complète de la société française, multiple dans sa différence, indivisible dans sa rage.

 

Unie contre le même ennemi, celui-ci n'a aucune chance, celui-ci n'aura plus l'occasion de détruire nos vies, de les mener à l'abattoir du capitalisme et de nous entrainer dans la collaboration aux désordres meurtriers du monde.

 

Demain, encore une fois, ce n'est rien d'autre que la révolution.

Je ne vous pose alors que cette question : Où serez-vous demain?

 

Jeudi 19 Février 2009

LIEN SOURCE :


lesbrigades@hotmail.com

 

 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 11:45

….SUR LES HABITANTS DE GAZA, SUR LE PEUPLE DE PALESTINE… A LA LECTURE DE

CES EVENEMENTS : VISITE DE KERRY A GAZA…DISCOURS DE HILLARY…

 

….OU N’EST-CE QU’UNE ENIEME MANIPULATIONS MEDIATICO-POLITIQUE, JEUX DE DUPES, DES IMPERIALISTES MADE IN USIONISTES…

LES PROCHAINES ORIENTATIONS, MESURES POLITIQUES, CONCRETES, DEVRONT  NOUS FOURNIRONS LA CLE POUR DECRYPTER LES  REELLES MOTIVATIONS, QUI, SE CACHENT DERRIERES CES  EVENEMENTS…

….PSYCHOTIQUES…

 

 

 

 

LE SENATEUR US JOHN KERRY ET DEUX MEMBRES DU CONGRES EN VISITE A GAZA…

 

19/02/2009 Le sénateur américain John Kerry, président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, est arrivé ce jeudi dans la bande de Gaza, où il avait été précédé par deux autres membres du Congrès.
 
Kerry est entré à Gaza, à partir du terminal d'Erez contrôlé par l'occupation, à bord d'un véhicule de l'ONU, selon des témoins.
 
Avant de se rendre à Gaza, il avait visité en compagnie de la ministre israélienne des affaires étrangères, Tzipi Livni, la colonie israélienne de Sdérot, cible  régulière de ripostes palestiniennes aux bombardements israélien.
 
Quelques heures avant l'arrivée de Kerry, deux membres de la Chambre des représentants du Congrès américain, Brian Baird et Keith Ellison, ont effectué  une visite dans la bande de Gaza.
 
Les deux élus démocrates ont visité Izzbet Abed Rabbo, une localité du nord de la bande de Gaza dévastée lors de la récente guerre israélienne et devaient inspecter aussi une usine et un hôpital endommagés suite aux bombardements israéliennes.
 

Plus de 1.300 Palestiniens sont tombés en martyre lors de la guerre israélienne contre la bande de Gaza du 27 décembre au 18 janvier.

Ces visites sont sans précédent à Gaza pour des membres du Congrès américain depuis le contrôle de Gaza par le Hamas.
  

LIEN SOURCE :

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=74673&language=fr

 

Après l’axe du mal, désignant précisément et uniquement des pays musulmans, voici une nouvelle version dixit les représentants Usionistes les mêmes d’ailleurs que, ceux qui en appelaient à la guerre contre ces terroristes de musulman, forcément terroristes et surtout pratiquant une religion, incapable de s’adapter a la modernité, aux principes démocratiques, à la mode  anglo/Américano/Européano/sioniste, à l’odeur  fétide et,  nauséabonde, parce qu’imposée  par les armes, à coup de guerres coloniales, de massacres, d’occupation, de colonisation, de déstabilisation des gouvernements, de soumission des peuples….

 

Que signifient ces « retournements de vestes » contradictoires puisqu’ils-les Usionistes continuent d’occuper, de coloniser l’Iraq, d’expédier davantage de soldats armés, avec leur amis collabos/français en Afghanistan ?????????

 

________________

 

 

CLINTON VANTE LA DEMOCRATIE INDONESIENNE

«  MODELE POUR LE MONDE MUSULMAN »

 

18/02/2009

 La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a donné mercredi à l'Indonésie un "rôle moteur" à jouer dans la promotion des "valeurs" défendues par l'administration Obama.

 

En visite dans ce pays qui  compte le plus grand nombre de Musulmans, Clinton a estimé que l'évolution récente de l'Indonésie démontrait que " l'islam, la démocratie et la modernité pouvaient non seulement coexister mais prospérer ensemble".
  

 

Elle a donc souhaité que l'Indonésie, qu'elle a qualifié du "plus grand pays musulman du monde et de  la troisième plus importante démocratie", puisse "jouer un rôle moteur dans la promotion" d'une diplomatie d'équilibre" et d'harmonie" que défend Washington depuis l'arrivée au pouvoir du président Barack Obama
  

L'immense archipel où près de 90% de ses 230 millions d'habitants sont musulmans,  est devenu une démocratie en 1998, après la chute du dictateur Suharto, et se prépare à de nouvelles élections législatives, en avril, et présidentielle, en juillet.
  
   L'Indonésie a "des institutions solides et se renforçant", une société civile "vibrante" et a réussi à combattre "avec succès" le terrorisme et l'extrémisme, a noté Mme Clinton devant la presse après s'être entretenu avec son homologue Hassan Wirajuda.

Elle a souhaité que les deux pays engagent un partenariat d'envergure" portant sur l'économie, la sécurité ou le changement climatique.
 
   Près de 3.000 policiers ont été mobilisés pour garantir la sécurité de Mme Clinton à Jakarta, alors qu'une manifestation hostile à sa visite devant le palais présidentiel: "Hillary, va-t-en!", ont crié les manifestants  en lançant des chaussures sur une caricature de la secrétaire d'Etat.
  

Le chef de la Nahdlatul Ulama, la première organisation musulmane du pays a en revanche salué la venue de Mme Clinton en l'appelant à démontrer que "les Etats-Unis ont changé":  

 

"Si l'extrémisme islamique existe, ce n'est pas à cause de la religion musulmane, mais des conflits au Proche-Orient, en Irak, en Afghanistan ou au Pakistan", a estimé Hasyim Muzadi.

   Washington "doit cesser de considérer le monde musulman comme un ennemi ou une menace", a pour sa part souhaité Din Syamsuddin, président de la Muhammadiyah, deuxième organisation musulmane.
  

 Ce dernier a jeté un froid en refusant une invitation à un dîner rassemblant mercredi soir Mme Clinton et des représentants de la société civile:

"Ce genre de réunion, sans véritable dialogue, n'est pas utile", a-t-il justifié.
  

Le ministre indonésien des Affaires étrangères a chargé Mme Clinton de transmettre une invitation au président Barack Obama, qui jouit d'une forte popularité en Indonésie, liée en partie aux quatre années qu'il y a passées enfant à la fin des années 1960.
 
La secrétaire d'Etat a également visité à Jakarta le siège de l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean), qui regroupe dix pays. L'occasion de réaffirmer l'importance de la région aux yeux de Washington alors que la Chine y a sensiblement renforcé son influence ces dernières années.
 
   Arrivée de Tokyo, première étape de sa tournée inaugurale, Mme Clinton quittera Jakarta jeudi, après avoir rencontré le président Susilo Bambang Yudhoyono, pour se rendre en Corée du Sud puis en Chine.   

 

LIEN SOURCE :

 

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=74587&language=fr

 

 

LA FRANCE S4APPRETE A RENFORCER SES TROUPES EN AFGHANISTAN

Les autorités françaises ne cessent de le répéter :

 il n'est pas question d'envoyer des renforts en Afghanistan.

Les allemands disaient la même chose jusqu'au début de cette semaine, où, comme nous l'indiquions hier sur Mecanopolis, ils ont annoncé envoyer des renforts en Afghanistan.

En effet, selon le site Secret-Défense, les état-majors travaillent actuellement sur trois scénarios pour renforcer le contingent français en Afghanistan, avec des effectifs allant de 100 à 800 hommes supplémentaires.

Bien sûr, officiellement, le ministère de la Défense exclut toujours l'envoi de tels renforts.

Le premier scénario, minimal, consiste en l'envoi d'une poignée d'hélicoptères de combat Tigre [ dont ce serait le premier déploiement opérationnel ] et d'une centaine d'hommes pour les soutenir.

Les deux autres scénarios (600 et 800 hommes) consistent en l'envoi d'un nouveau bataillon [Groupement tactique interarmes - GTIA ], ainsi que d'équipes d'OMLT (Operational Mentoring Liaison Team) au sein de l'armée nationale afghane.

Le dispositif français en Afghanistan sera de toute manière profondément réorganisé dans les prochains mois, avec le transfert prévu de la sécurité de la région de Kaboul aux autorités afghanes.

Cette réarticulassions permettra de transférer des militaires français vers d'autres secteurs du pays.

LIEN SOURCE :

Mecanopolis

Jeudi 19 Février 2009

redaction@mecanopolis.org

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Ces gouvernants NECROPHILES auraient-ils décide de nous jouer, une autre partition ?????


Afin de  faire avaler, de force,  aux peuples,
leur potion coloniale meurtrière ????

 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 11:31


LIEBERMAN : -ajout personnel :
http://www.ism-france.org/news/article.php?id=5663&type=analyse&lesujet=Racisme



LIEN SOURCE POUR LA PHOTO - ARTICLE INTERESSANT,  A CONSULTER LA :

http://mecanopolis.wordpress.com/category/tsahal/

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LIEBERMAN, ACCUSE DE CORRUPTION, IL APPORTE UN SOUTIEN CRUCIAL A NETANYAHU

 


19-02-2009

Le chef du parti d'extrême droite "Israël Beiteinou", Avigdor Lieberman, a décidé de soutenir le chef du Likoud Benjamin Netanyahu pour former le gouvernement issu des élections israéliennes du 10 février, c'est ce qu'a indiqué ce jeudi la radio militaire de l'occupation.
 
Lieberman devait annoncer officiellement sa décision lors de sa rencontre avec le président sioniste Shimon Peres qui devait achever ce jeudi ses consultations en vue de désigner celui ou celle qui selon lui a le plus de chance de mobiliser une majorité, a ajouté la radio.
 
Selon le commentateur politique de la radio,  Peres devrait désigner Netanyahu qui dispose ainsi du soutien de 65 députés sur 120 pour tenter de former le prochain gouvernement.
 
La dirigeante du parti centriste Kadima, Tzipi Livni, qui ne peut compter que sur son propre parti (28 députés), avait pressé le président de la désigner.

Le Kadima avait devancé le Likoud d'un siège aux élections.
 
Avigdor Lieberman, chef du parti d'extrême droite "Israël Beiteinou" et soupçonné de corruption, va être interrogé par la police dans les prochaines semaines, c'est ce qu'a indiqué jeudi 19 février, la radio militaire.
 
Une révélation qui intervient quelques heures seulement avant son entretien avec le président Shimon Peres.
 
 
LIEBERMAN SOUPCONNE DE CORRUPTION
 
 
Dans cette nouvelle affaire, Avigdor Lieberman est soupçonné d'avoir reçu de "très importantes sommes d'argent en provenance de l'étranger" pour financer ses campagnes électorales.
 
Ces fonds auraient transité grâce à des sociétés fictives et différents comptes bancaires, a précisé la radio militaire. Celle-ci ajoute que les enquêteurs ont rencontré, mercredi, le procureur général Menahem Mazuz pour lui présenter les résultats de leurs investigations et lui demander son feu vert pour procéder à l'interrogatoire du chef du parti d'extrême droite dans les prochaines semaines.
 
 Soupçonné de corruption, de fraude, de blanchiment d'argent et d'abus de confiance, les policiers souhaitent qu'Avigdor Lieberman soit convoqué non pas comme simple témoin, mais comme suspect. Selon le quotidien Haaretz, s'il est considéré comme suspect, ses propos pourraient être éventuellement utilisés contre lui si le procureur décide d'une inculpation.

 

LIEN SOURCE :

 

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=74635&language=fr

 

 

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 16:02

Mercredi 18 février, 12h55

Colette BORDA

La Guadeloupe a connu mercredi son premier mort lors d'une nouvelle nuit de violences, après un mois de grève générale. Lire la suite l'article

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Discussion: Grèves


Le gouvernement a réitéré son appel au calme et à la négociation, tandis que le ministère de l'Intérieur a annoncé la tenue à partir de mercredi 16h00 d'une réunion quotidienne sur la sécurité aux Antilles avant la rencontre, jeudi, entre
Nicolas Sarkozy et les élus locaux.


La victime est un délégué syndical du collectif contre la vie chère et les surprofits (LKP), Jacques Bino, qui se trouvait en voiture avec une autre personne, a déclaré Hubert Vernet, secrétaire général de la préfecture de Guadeloupe.


"Il s'est trouvé devant un barrage et, semble-t-il, en voulant faire demi-tour a été tabassé et s'est fait tirer dessus par des jeunes qui tenaient le barrage", a-t-il expliqué.


Trois policiers qui étaient intervenus pour lui porter secours ont été légèrement blessés, a-t-il ajouté.


Le préfet de Guadeloupe, Nicolas Desforges, a insisté sur le fait que ce drame n'était pas lié à un affrontement entre les manifestants et les forces de l'ordre, qui ont été appelées par les pompiers pour aller venir en aide à un homme blessé.


"Comme la situation était extrêmement tendue, ils n'ont pu y parvenir, ils ont eux même subi des tirs en provenance de ce barrage, des tirs de fusil de chasse à cartouches.


Tout le monde s'est replié pour revenir un peu plus tard et se trouver en présence d'un homme mort au volant de sa voiture présentant une large plaie au thorax", a-t-il déclaré sur iTélé.


"Nous affrontons des personnes qui tirent effectivement des cartouches sur les forces de l'ordre", a-t-il expliqué.


Quatre escadrons de gendarmerie ont été déployés la nuit de mardi à mercredi, au cours de laquelle 15 commerces ont été pillés et sept incendies criminels ont visé des établissements industriels.

Une trentaine de véhicules ont été incendiés.

LE JOUR ET LA NUIT


Treize personnes ont été interpellées, qui s'ajoutent aux 18 "casseurs" arrêtés dans la nuit de lundi à mardi.


Nicolas Desforges a insisté sur la différence entre les incidents qui émaillent la journée des violences de la nuit.


"Le jour nous avons affaire à des manifestants organisés qui défilent dans des conditions tout à fait normales ou qui bloquent la voie publique", a-t-il dit, alors que la nuit "on est face à des bandes de jeunes qui ne sont pas directement liés au mouvement social mais qui surfent en quelque sorte sur la vague du mouvement social pour commettre des déprédations".


Le décès de Jacques Bino, le premier depuis le début des émeutes qui émaillent la contestation sociale en Guadeloupe, pourrait accroître la tension dans l'île, où les dirigeants du LKP imputent la responsabilité des violences au gouvernement.


Pour Elie Domota, chef de file du LKP, l'Etat est responsable de l'embrasement parce qu'il a trompé les syndicats et privilégie la répression.

APPEL À LA NÉGOCIATION


"Depuis 30 jours, la situation, on la maîtrisait totalement et le préfet a envoyé des gendarmes qui ont tabassé des manifestants devant les caméras de télévision, c'est comme ca que tout a démarré", a-t-il déclaré sur France Inter.


"C'est désolant qu'il faille à chaque fois que les Guadeloupéens posent un problème qu'il y ait un mort pour trouver des solutions", a-t-il ajouté. "C'est quasiment la Guadeloupe qui est en train d'exploser."


Le gouvernement estime que l'heure est plus que jamais à la négociation pour mettre fin à l'engrenage.


"Il faut vraiment qu'il y ait une trêve dans ces violences, il faut vraiment que le dialogue entre les patrons et les salariés reprennent", a souligné le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Yves Jégo, en estimant que les propositions du gouvernement pour sortir de l'impasse "sont expertisées".


Les discussions entre les syndicats de l'île et le gouvernement ont pour l'heure achoppé sur la question d'une augmentation de 200 euros des salaires les plus bas.


L'opposition politique et les dirigeants syndicaux accusent eux le gouvernement d'avoir négligé cette crise.

"Le gouvernement a fait un certain nombre de gestes qui ont aggravé cette crise (...) c'est calamiteux et dangereux", a estimé le président du Modem François Bayrou sur RTL.


Pour le premier secrétaire du Parti socialiste Martine Aubry, interrogée sur France Inter, c'est le "sentiment d'abandon" qui entretient la contestation en Guadeloupe.


François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, a jugé quant à lui que l'Etat a pris "un risque dangereux, laisser pourrir la situation". Il souhaite aborder le sujet lors du sommet social prévu mercredi après-midi à l'Elysée.


Avec Grégory Blachier et Yves Clarisse à Paris

 

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 13:47



LE SIONISME : VOILA L’ENNEMI

 

Par Youssef Girard  youssef.girard@gmail.com  

Le passif historique du sionisme fait que nous ne pouvons nous contenter de condamner et de combattre les actes d'un gouvernement ou la politique de l'Etat sioniste mais que nous devons prendre la responsabilité politique de désigner l'ennemi réel qui est à l'origine des souffrances du peuple palestinien.

« Le faible qui prend ses gardes vis-à-vis d'un ennemi fort est plus proche de la sauvegarde que le fort qui se fait des illusions sur un ennemi faible ». L'Imam Ali

Après avoir rasé Gaza avec leurs hélicoptères Apache, leurs avions F-16 et leurs bombes au phosphore, les sionistes, percevant qu'ils ne pourront anéantir la résistance, la moumana'a, du peuple palestinien, parlent de « trêve », de « cesser le feu », de retour au « calme » ou de « retrait de troupes ».

Mais la politique du « calme », de la « trêve » permet à l'Etat sioniste de continuer à attaquer les peuples palestinien et arabe de manière moins directe et moins risquée. Cette politique augmente les pressions de toutes les forces du camp ennemi sur la moumana'a palestinienne. Elle est un piège pour la résistance car elle tend à faire oublier aux sociétés civiles des différentes nations que l'occupation elle-même est une agression.

Les massacres de ces dernières semaines, doivent être replacés dans la longue histoire du mouvement sioniste qui depuis un siècle s'emploie à mettre en œuvre le « nettoyage ethnique » de la Palestine pour réaliser son projet colonial. Depuis 1948, l'Entité sioniste a :

 

Expulsé 900 000 palestiniens de leurs terres et de leurs demeures ; détruit 531 villages et 300 hameaux pour empêcher le retour des palestiniens ; occupé les autres parties de la Palestine [Cisjordanie, Gaza] ainsi que le Golan syrien en juin 1967 ; et maintenu son oppression sur les peuples palestinien et arabe.

Le passif historique du sionisme fait que nous ne pouvons nous contenter de condamner et de combattre les actes d'un gouvernement ou la politique de l'Etat sioniste mais que nous devons prendre la responsabilité politique de désigner l'ennemi réel qui est à l'origine des souffrances du peuple palestinien.

 

Sans cette volonté de revenir à la racine des contradictions à l'œuvre, nous ne pourrons pas identifier réellement l'origine du problème et donc nous serons dans l'impossibilité de mener un combat politique réellement efficace.

 

Pour combattre un ennemi, il est nécessaire de l'identifier clairement, de le connaître et de le désigner comme l'ennemi. Le fondateur du Front Populaire de Libération de la Palestine [FPLP], Georges Habache, expliquait que

 

« pour vaincre, le parti révolutionnaire doit désigner ses ennemis et s'allier avec ses amis véritables. Chaque révolution doit donc procéder de cette manière, et commencer par répondre à la question fondamentale :

Qui sont nos ennemis ? Qui sont nos amis ? »[1].

Cette distinction entre l'ami et l'ennemi, qui est spécifique du politique, doit être faite si nous voulons réellement poser la question de la lutte de libération nationale de la Palestine et du Machrek en terme politique.

 

Le mouvement et l'idéologie sionistes doivent être clairement désignés et combattus comme l'ennemi.

Après avoir été désignés comme ennemis, le mouvement et l'idéologie sionistes nécessitent d'être définis, afin de ne laisser aucune place à la confusion dans notre combat.

 

Le mouvement et l'idéologie sionistes doivent être nettement distingué des juifs puisque tous les juifs ne sont pas sionistes et que tous les sionistes ne sont pas juifs. Il a toujours existé des juifs antisionistes qui sont les frères de luttes de tous les anticolonialistes et de tous les anti-impérialistes réels [2].

 

Notre ennemi est le mouvement sioniste et son idéologie colonialiste, et non les juifs.

Comme tout ennemi, le mouvement et l'idéologie sionistes doivent être étudiés pour pourvoir être combattus de la manière la plus efficace possible.

 

Dans cette perspective, Georges Habache affirmait :

 

« le mouvement sioniste constitue une force matérielle, d'un poids et d'une nature précis, qui doivent être pris en considération lorsque nous faisons le compte des forces engagées face à nous dans la lutte. D'où la nécessité pour nous de procéder à une étude mettant en valeur ses divers aspects politiques, militaires, économiques et sociaux » [3].

Aujourd'hui, l'idéologie sioniste est hégémonique en Occident car l'Etat sioniste s'est vu attribuer la tâche de protecteur des intérêts occidentaux au Machrek.

 

Pour cela, chaque année, des milliards de dollars étatsuniens abreuvent l'Entité sioniste.

 

En Occident, les cercles dirigeants s'emploient à défendre par tous les moyens l'Entité sioniste et son idéologie putride auprès des peuples d'Occident anesthésiés par le « spectacle » de la société de consommation.

Afin de défendre et de propager leur idées au sein des sociétés civiles, les sionistes ont constitué un réseau mondial complexe d'organisations, de groupes d'intérêts politiques, d'entreprises de relations publiques ou de cercles universitaires.

 

Les médias occidentaux, qui sont devenus des maîtres dans l'art de la propagande dès lors qu'il s'agit de défendre les intérêts sionistes, jouent un rôle central pour façonner les sociétés civiles occidentales.

 

La « désinformation » et la manipulation des images sont devenues des « armes de destruction massive » contre tout les critiques de l'Entité sioniste.

Face à l'idéologie sioniste hégémonique, il est nécessaire de s'armer idéologiquement pour construire un front théorique capable de bouleverser les rapports de force idéologico-culturels au sein des sociétés civiles occidentales.

 

Si nous sommes peu nombreux et que nous manquons de moyen dans la lutte que nous menons contre le sionisme hégémonique, cela n'augure en rien de l'issue de la bataille. Au cinquième siècle avant J-C, le grand stratège chinois, Sun-Tzu expliquait déjà dans

 

« L'art de la guerre » que « la prudence et la fermeté d'un petit nombre de gens peuvent venir à bout de lasser et de dompter une nombreuse armée » [4].

Cette lutte idéologique doit commencer par un affrontement pied à pied avec les idées sionistes afin de faire une critique fondamentale de cette idéologie colonialiste qui se développe dans l'ensemble de la production idéologico-culturelle occidentale.

 

En effet, dans le monde réel, il n'existe pas de production idéologico-culturelle « neutre », un art pour l'art, qui serait en dehors des contradictions sociales et politiques.

 

La production idéologico-culturelle se développe en interaction avec ces contradictions et sert à influencer les affrontements politiques. Les sionistes le savent et utilisent massivement la culture pour propager leur idéologie. En conséquence, la production idéologico-culturelle fait partie intégrante de la lutte de libération du peuple palestinien.

La lutte idéologique nécessite que nous soyons capables de mener une véritable « guerre de position », au sens où l'entendait Antonio Gramsci, dans tous les secteurs de la société civile afin de porter systématiquement la contradiction au sionisme hégémonique.

 

Pour mener cette « guerre de position », nous devons nous donner les moyens de créer nos propres espaces où nous pourrons affuter nos armes doctrinales et lancer nos offensives idéologiques.

 

Celles-ci doivent nous permettre de contester l'hégémonie sioniste au sein des sociétés civiles occidentales afin qu'elles apportent leur soutien à la libération du peuple palestinien.

Evidement, les sionistes n'abandonnent pas leur défense et ne se démoralisent pas au premier assaut. Campant sur leurs positions, préparées intellectuellement, formés à la lutte idéologique, ils sont prêts à contrer toute offensive. Mieux, ils emploient toutes leurs forces pour briser tous ceux qui remettent en cause leur hégémonie. Pour cela, ils montent au front directement ou envoient leurs cerbères qui sont généreusement rémunérés pour faire la sale besogne.

Mais si nous sommes attaqués par l'ennemi, cela prouve que nous avons réussi à tracer une ligne de démarcation bien nette entre lui et nous et à lui porter des coups capables de le faire vaciller.

 

Si l'ennemi nous combat avec violence, nous dépeignant sous les couleurs les plus sombres et dénigrant tout ce que nous accomplissons, cela démontre que nous avons remporté des succès non négligeables dans notre lutte.

Les attaques de l'ennemi sont une bonne chose car elles sont le signe que nous le mettons en danger.

 

Considérant comme un honneur d'être attaqué par l'ennemi, Sayyed Hassan Nasrallah affirmait après que le Royaume-Uni est placé le Hezbollah sur la liste des organisations « terroristes » :

 

« Chaque fois qu'une telle décision vient des colonialistes, nous la considérons comme un honneur, une médaille et une attestation que nous nous tenons au bon endroit :

 auprès de nos peuples ».

Malgré ces attaques de l'ennemi, il faut que nous nous préparions à continuer la bataille sur le front de la lutte idéologico-culturelle.

 

Les « armes de la critique » doivent s'aiguiser pour mener une guerre totale à l'idéologie sioniste.


Notes de lecture :

[1] Habache Georges, «
Les ennemis de la révolution », 1969
[2] Cf. Par exemple l'
IJAN (International Jewish Anti-Zionist Network)
[3] Habache Georges, « Les ennemis de la révolution », art. cit.
[4] Sun Tzu,
L'art de la guerre

 

LIEN SOURCE :


http://ism-france.org/news/article.php?id=11240&type=analyse&lesujet=Sionisme

 


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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 13:18

 

 

SI JE PEUX FAIRE QUELQUE CHOSE POUR AIDER LE PEUPLE PALESTINIEN...C'EST BIEN D'ORGANISER UN BOYCOTT ENVERS TOUTES LES PERSONNES QUI SOUTIENNENT...FINANCENT  LE CANCER "ISRAELIEN" EN SOLIDARITE AVEC  LE PEUPLE PALESTINIEN OPPRIME...MASSACRE...GENOCIDE PAR LES SIONISTES ET LEURS COMPLICES!!!

 

 

 

 

 

 

Ce samedi à 10h du matin, une trentaine de personnes de la Coordination Boycott Israël et de plusieurs comités citoyens ont manifesté devant le siège de la Société Israélienne CAL (Cargo Air Lines) et le centre de logistique LACHS dans la zone aéroportuaire de Liège-Bierset.

 

 

 

A l’occasion de la Saint-Valentin , des tonnes de fleurs coupées sont en effet exportées par la société israélienne AGREXCO vers l’aéroport de Liège où elles arrivent par avions et partent ensuite vers toute l’Europe en camions et notamment vers la Hollande.

 

Ils ont appelé au boycott de AGREXCO en tant que compagnie tirant profit de la colonisation et de l’apartheid imposé aux Palestiniens en rappelant que les produits

d’AGREXCO, et notamment ceux de sa marque-phare CARMEL (des dattes, des fleurs, du maïs …) proviennent
en partie des colonies illégalement installées sur les terres palestiniennes mais se retrouvent ensuite dans de nombreux points de vente avec un étiquetage qui cache aux consommateurs leur véritable origine, le vol des terres et de l’eau de Palestine
.

 

Au lieu d’un système d’apartheid profitant à AGREXCO, à Israël et ses colons, ils ont réclamé la totale ouverture de la Bande de Gaza et pas seulement le passage d’un camion d’œillets une fois par an, à la Saint Valentin.

 

 

LA VIDEO EST A VISIONNER LA :

 

http://mcpalestine.canalblog.com/archives/2009/02/17/12576409.html

 

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 12:09
TEMOIGNAGE DE LA VIOLENCE D’ETAT MISE EN ŒUVRE EN GUADELOUPE

AU PEUPLE MOBILISE !

Chers Camarades, du Centre Hospitalier de Pointe-à-Pitre, je vous adresse ces paroles pour vous rassurer sur mon état de santé.

Je suis obligé de rester à l’hôpital puisque je souffre de lésions cervicales et de complications cardiaques consécutives à la violence des coups qui m’ont été portés par les forces de police.

Ma date de sortie n’a pas encore été indiquée mais même si mon corps est atteint, mon esprit reste parfaitement intact et je pense que cette épreuve a encore augmenté ma lucidité et ma détermination.

J’étais comme beaucoup d’autres camarades en lutte sur le terrain et notre démarche était pacifique :

c’est celle qui a été définie par le L.K.P.

Je suis un combattant aux mains nues !

Or en face de nous, les forces de police n’ont pas hésité à nous agresser sauvagement.

Avec des camarades de l’U.G.T.G. et de la C.T.U., nous faisions tout pour calmer le jeu et encadrer les manifestants qui étaient pour la première fois venus nous apporter leur soutien.

Nous avons vu tomber sur nous une véritable tornade de coups de matraque alors que nous avions déjà quitté les abords de la route nationale.

Les « mamblo » nous ont pourchassés dans les ruelles de Belle-Plaine et même dans la mangrove, ils n’ont pas abandonné leur traque.

C ‘est ainsi que j’ai compris qu’ils n’étaient pas seulement venus lever des barrages mais qu’ils étaient venus « casser du nègre » comme ils l’ont dit eux-mêmes. Ils m’ont encerclé et frappé.

Je dois vous préciser ce qu’ils m’ont dit car je veux que vous compreniez à qui nous avons affaire.

Lors que je recevais des coups de pieds dans le ventre et que je me traînais par terre, voilà ce qu’ils m’ont dit :

« On a vu ta sale gueule à la télé, on va te la casser et tu ne pourras plus la montrer.

On va vous casser sales nègres, chiens de nègres ! »

J’ai vu qu’ils traînaient par les cheveux, une femme du quartier qui manifestait son indignation lorsqu’ils m’ont frappé.

Ma seule arme a été de crier, d’hurler ce qui a provoqué la colère des habitants du quartier.

C’est comme cela que j’ai pu en réchapper. Je ne sais ce qui est advenu de cette dame et je lui envoie, de mon lit, mon salut militant.

Je la remercie d’avoir eu le courage, elle qui m’a sauvé avec les voisins du quartier.

On dit que les Guadeloupéens sont des lâches mais voilà un exemple d’engagement et de courage.

Je demande aux militants de resserrer les liens, de s’armer de courage, de renforcer la mobilisation.

Il faut encore élargir nos rangs et approfondir notre combat.

C’est toute la Guadeloupe qui est derrière nous.

La victoire est à portée de mains.

Nous avons écrit une belle page dans le combat pour l’émancipation :

la liberté commence aujourd’hui !

Du fond de mon lit d’hôpital, je dis à tous mes frères : « Ansanm nou ka lité ! Ansanm nou ké gannyé ! »

Alex LOLLIA / Pointe-à-Pitre, le 17 Février 2009

 

LIEN SOURCE :

http://lgvsite.canalblog.com/archives/2009/02/18/12594849.html

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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

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AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

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PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

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YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

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ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

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TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

nouveau-drapeau-francais

 

Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

________________________________________________________________________________

 

 

 

Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


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LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

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