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Qui, Suis-Je

  • : Le blog de Hadria RIVIERE
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FEMMES REBELLES...

undefinedDAHYA…DAHIYA….DIHYA…KAHENA… (.. ?-700). 
 
http://www.berberescope.com/l'histoire_des_Berberes_yahoo.htm


FATMA TAZOUGHERT DITE LA ROUGE (1544-1641)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fatma_Tazoughert


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LALLA FATMA N’SOUMER (1830-1863) -DITE LA JEANNE D'ARC DU DJURDJURA
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FADHMA AIT MANSOUR AMROUCHE (1882-1967)

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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 08:22

 

 

Nos ennemis, à nous travailleurs, à nous retraités, à nous nous chômeurs, à nous immigrés, à nous handicapés, à nous jeunes chercheurs d'emplois....Ce ne sont ni les musulmans, ni les immigrés, ni les « clandestins » ni tous ceux et celles qui quotidiennement galèrent pour joindre les « deux bouts » dans un système financier qui taxent toujours et, encore les mêmes : les travailleurs...

 

Nos ennemis à nous « les galériens» ce sont ces spéculateurs qui s'enrichissent en pariant sur l'appauvrissement des pays, des peuples....sur la dislocation des États-Nation... l'échec des entreprises ....qui reclament toujours plus de liberalisme...ce qui favorise le chômage de masse...la loi de la jungle, l'égoïsme...l'absence de solidarité...la perte des acquis sociaux pour lesquels nos pères, mères se sont battus et, qu'ils ont pour un grand nombre, d'entre eux, payés de leur vie....

 

 

  QUATRE ennemis parmi les quelques autres qui restent a répertorier... :

1) A l'exterieur : Simon Cackwell, le "roi des spéculateurs", jubile... 
Voilà ce qu'il affirmait, en octobre 2008, à Londres – et, les événements se déroulent, comme il les avait prévu...:

 

... »Si les gens savaient ce que l'on gagne, on rétablirait la guillotine et les têtes valseraient sur les piques”

 

Simon Cawkwell (spéculateur anglais)


Les marchés s'effondrent. Les banques s'écroulent. Mais le "roi des spéculateurs" de Londres, Simon Cawkwell, n'en a cure.

Quand certains perdaient des milliards, il a "fait" 250.000 livres (320.000 euros) en moins d'une heure. "J'aime les crises", jubile-t-il.

Dans les salles de marché, il est connu comme le "roi des vendeurs à découvert", en référence à son habitude de spéculer à la baisse.

Ses avis ont autant de poids que sa corpulence (un bon 150 kilos), depuis qu'en 2002, année noire pour les Bourses, il a empoché 3,3 millions de livres (4,2 millions d'euros).

 

Cette année, il prévoit de faire "probablement trois millions de livres", lâche-t-il, sa bouille ronde fendue d'un large sourire.

Devant lui, quatre larges écrans d'ordinateur alignent les lignes de cours, quasiment toutes dans le rouge.

"La crise, c'est tout bénéfice pour moi. J'ai toujours aimé les marchés qui bougent vite car c'est dans ces moments-là que les idiots font n'importe quoi, qu'ils paniquent.

Moi, je ne panique pas et j'en profite". Le marasme qui s'est emparé de la "capitale européenne de la finance" n'a pas passé la porte du luxueux appartement du quartier huppé de South Kensington où le trader s'est installé à son compte.

"Hier par exemple (mercredi), j'ai fait 250.000 livres en moins d'une heure", se réjouit-il, visiblement ravi de l'effet que cela provoque sur le journaliste médusé. "Et ce n'est pas imposable", conclut-il aussitôt.

 

Ce même mercredi, la Bourse de Londres avait clôturé sur une chute de plus de 5%, malgré un vaste plan de sauvetage bancaire annoncé par les autorités britanniques. "J'ai acheté quand le marché a touché le fond", explique-t-il, en se flattant d'être "intellectuellement supérieur à 99% des gens".

 

On le surnomme le "Maître" ou, moins flatteur, le "Rapace".

 

Mais Simon Cawkwell, 61 ans, ne s'embarrasse pas du qu'en-dira-t-on, qualifiant d'"idiots" ceux qui accusent les traders de cupidité.

 

De même, il fait fi de l'interdiction de la vente à découvert (qui consiste à parier sur la baisse d'un titre), décrétée mi-septembre au Royaume-Uni sur une trentaine de sociétés: "Je continue à vendre à découvert, mais sur toutes les autres sociétés...", se vante-t-il.

Ce n'est pas un hasard s'il signe ses commentaires de marché "Evil Knievil" dans une double allusion au diable ("Evil" signifie "maléfique" en anglais) et au goût du risque du célèbre motard cascadeur américain Evel Knievel.

 

Parieur invétéré, il l'est, mais il n'aurait pas osé le "pari fou" des autorités britanniques qui ont "continué à accroître les crédits comme si c'était possible de le faire sans fin", provoquant ainsi la crise actuelle selon lui.

 

"Les Britanniques ont cru qu'ils étaient riches alors qu'en réalité, ils dépensaient de l'argent emprunté", analyse le trader.

Iconoclaste et provocateur, il n'a pas peur d'être l'un des derniers à prôner la "dérégulation" comme solution à la crise financière. "Nous devons faire sortir l'Etat de la vie des citoyens... afin de réduire les coûts de production en Grande-Bretagne", préconise-t-il.


Quant aux banques, il faut "absolument" laisser le marché s'auto-réguler, même si la crise va être "profonde".

 

Et d'avertir: "Il va y avoir des faillites massives, un chômage massif et une paupérisation énorme.

Je pense vraiment que cela peut provoquer des troubles sociaux: ce sont des vies entières qui vont être détruites".

"Mais moi, je vais faire pas mal d'argent"...

 

Source AFP

 

 

 

2) Dominique Strauss Kahn : le FMISTE ...Celui qui doit remplacer Sarko en 2012...  pour l'oligarchie richissime en place...:

 

 

 

 

DSK au FMI : 500 000 dollars net par an

 

 

 

 

 

 

3) Nicolas Sarkozy – élu par une bande d'inconscients... irresponsables en 2007...

Odieuse attaque de Sarkozy contre les chômeurs



... »La récente et odieuse attaque contre les chômeurs révèle, s’il en est encore besoin, l’abjection de l’agité de l’Elysée à l’encontre de Français, dont le seul tort est de ne pas pouvoir trouver un emploi, digne de leurs compétences ou de leur légitime ambition.

 

Depuis 2002, la stigmatisation systématique des demandeurs d’emploi, comme s’ils portaient sur eux les sept péchés capitaux, sert de leitmotiv aux politiciens de bas étage !

 

Taper sur « ces fainéants de chômeurs », comme les avaient traités un misérable député de la Creuse en 2005, est devenu le passe-temps favori de Sarkozy !..."



La suite de l'article là :



http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/odieuse-attaque-de-sarkozy-contre-92107



Sarko et le contrôle des chômeurs : un vrai chant du cygne

 

 

... »Il nous fatigue ! La meilleure défense des incapables étant l'attaque, passé le débat nauséabond "sur la laïcité" et les diverses déclarations contre les "étrangers", notre président s'agite.

En panne d'imagination, il se tourne vers ses anciens boucs émissaires : nous. Mais qui marche encore dans sa combine ?..."

 

La suite de l'article là :

 

http://www.actuchomage.org/2011040815142/Social-economie-et-politique/sarko-et-les-chomeurs-un-vrai-chant-du-cygne.html



Par ailleurs, le sieur Sarko n'hésite pas, alors que son compére Fillon, affirmait que les caisses de Etat Français étaient vides  lire là :


http://kamizole.blog.lemonde.fr/2008/03/31/pour-francois-fillon-pas-de-plan-de-rigueur-mais-rigueur-budgetaire-a-lepreuve-des-faits/

 

...à PAYER 400 millions d'Euros à son complice Ivorien, le bien nommé Ouattara ...



..."Christine Lagarde a annoncé mardi le versement d’une aide de 400 millions d’euros à la Côte d’Ivoire.

Selon bercy, l’aide parviendra à Abidjan « dès que les circuits financiers et la sécurité seront rétablis ».  

 

La ministre précise que cette aide sera notamment destiné à  »aider à satisfaire les besoins urgents des populations et de la ville d’Abidjan ainsi que le redémarrage des services publics essentiels ».

(Jje ne suis pas du tout convaincue que cet argent ira au peuple Ivorien qui, posséde assez de richesses dans son sous-sol,  pour faire face à ses  frais de fonctionnement... pour peu que les multinationales françaises, arrêtent  de le piller...)



Ces 400 millions d’euros seront versés par l’Agence Française de Développement.



Éclairage : Qui est l’AFD ?
Institution financière publique, l’Agence Française de Développement lutte contre la pauvreté, soutient la croissance économique et participe à la valorisation des biens publics mondiaux dans les pays en développement, les pays émergents et l’Outre-mer.
En savoir plus sur ce versement de
400 MILLIONS d'euros là :
http://www.francesoir.fr/actualite/international/cote-d-ivoire-france-promet-400-millions-d-euros-91104.html
Pendant ce temps... en France, des politiciens élus du peuple... s'adonnent avec frénésie a la destruction du pays :
  • Dé-remboursements, lits d'hôpitaux, écoles fermées, nos enfants se retrouvent à 32 voire 35 élèves par classe... faute d'argent pour payer des instituteurs, le service public est démanteler faute d'argent dans les caisses de l'État...Le pays le peuple s'appauvrissent …parce que nous, peuple devons rembourser « La Dette »...
Mais à qui devenons-nous cette fameuse dette...Si, ce n'est justement aux spéculateurs...????
Nous avons, nous peuple de France un autre ennemi à, intérieur :
4) Les politiciens véreux qui, non contents de nous coûter chers en émoluments, profitent de leur fonction pour s'allouer des frais de fonctionnements exorbitants, alors qu'ils n'ont de cesse de demander, au peuple, de faire encore et toujours des sacrifices financiers:

Sénat: le très cher cabinet du président Larcher
Le président du Sénat, qui se présente comme un parangon de rigueur budgétaire depuis son élection en 2008, a en réalité dérapé sur les salaires de ses conseillers.
C'est ce que révèle l'ensemble des fiches de paye de son cabinet que Mediapart s'est procurées.
Ces rémunérations mensuelles, en moyenne de 8.500 euros net, avec une pointe à plus de 19.000 euros net, atteignent des montants insoupçonnables.
Insoupçonnables car secrets.
En France, les contribuables n'ont pas le droit de savoir comment leur argent est utilisé au Sénat.... »
La suite là :
http://www.mediapart.fr/journal/france/060411/senat-le-tres-cher-cabinet-du-president-larcher


...Pourtant...Le lièvre avait été levé dans un récent livre, le Sénat, enquête sur les super privilégiés de la République (éditions du Rocher), rédigé par Robert Colonna d’Istria et Yvan Stéfanovitch.



... » Des indemnités hors du commun

 

Chaque sénateur perçoit une indemnité mensuelle de 5 400 euros. S’ajoutent une indemnité de frais de représentation (6 600 euros), une indemnité parlementaire dont l’objet est indéterminé

(1 400 euros), une prime informatique (1 000 euros, de quoi s’acheter un ordinateur tous les mois). Plus des avantages financiers dérogatoires au droit commun : emprunt immobilier (jusqu’à 150 000 euros) à 2 % ; retraite à 58 ans avec 80 % du salaire ancien…

 

Certes, tout législateur doit bénéficier d’une autonomie financière, en vue de résister à l’exécutif. Mais les sénateurs poussent un peu le bouchon : est-il vraiment nécessaire qu’un verre de whisky à la buvette du Sénat ne leur soit facturé que 50 centimes d’euros ?

 

Des collaborateurs à foison

 

Chaque sénateur dispose en sus d’une enveloppe mensuelle

de 7 000 euros pour rémunérer deux ou trois collaborateurs.

Dans sa sagesse, le règlement du Sénat stipule qu’un seul d’entre eux peut être membre de sa famille.

Le syndicat Unsa mentionne le cas de deux licenciements abusifs, deux femmes virées manu militari par Henri de Raincourt, président du groupe UMP au Sénat : la première pour avoir annoncé l’arrivée de ses invités avec huit minutes de retard (elle sera licenciée dans le quart d’heure) ; l’autre, virée en plein congé maternité pour cause de modification de l’intitulé du groupe parlementaire (l’ex-PR étant fondu dans l’UMP).

Pour éviter un spectaculaire procès aux prud’hommes, Raincourt a préféré conclure avec elles une transaction secrète.

 

Une cagnotte à discrétion

 

Sitôt remportée la primaire au sein de l’UMP, Gérard Larcher a tenu à justifier le principe de la «réserve parlementaire» : un droit de tirage des parlementaires (300 millions d’euros par an)sur le budget de l’Etat, en vue de financer quelques bonnes œuvres.

 

Discrète, discrétionnaire surtout, la manip ouvre la porte à tous les clientélismes locaux.

Larcher, donc, cite l’exemple d’une église (trop petite ou trop peu remarquable pour bénéficier d’une subvention de l’Etat) rénovée grâce à cette réserve parlementaire.

Et de préciser : une église «de mon département».

 

De l’art de se tirer une balle dans le pied.... »

__________________________________  

 

En ces temps d'austérité accrue pour les peuples, de faillite des Etats...

Savons-nous combien nous coûte la dernière folie guerrière de l'enragé de l'Élysée :



... » Les avions (pas les Falcon 7X). Une heure de vol d'un Rafale coûte environ

13 000 €. Une heure de vol d'un Mirage coûte environ 11 000 €.

 

Au quatrième jour de bombardement en Libye pour soi-disant renverser Mouammar Kadhafi, les avions français avaient déjà effectué 400 heures de vol. Calculez...

 

Et le porte-avions Charles-de-Gaulle, est-il gratuit ? Une heure d'intervention du Charles de Gaulle revient à 50 000 €.

Le coût des ces appareils prévu par le budget global du ministère de la défense s'élève à 31 milliards d'€. Les bombes aussi il faut les payer.

 

Le prix d'une bombe est en moyenne de 350 000 €. Idem pour les beaux missiles qui font de si beaux morts à la télé:

 

Selon le type de missile utilisé, le prix varie entre 250 000 et 350 000 € l'unité. Selon certaines sources (sérieuses), le coût de la guerre en Libye pourrait atteindre

1,2 milliard d'€ pour six mois (500 heures de vols, 500 missiles, 600 heures d'intervention du Charles de Gaulle plus l'entretien de l'arsenal, pièces, etc...)

 

Ajoutons les pertes d'argent collatérales:

Le prix du carburant est en pleine explosion.....

Le prix du baril a augmenté de 25 Dollars... »



. » La France est engagée dans au moins vingt opérations extérieures (OPEX).

Au Kosovo, au Liban, en Côte d'Ivoire.

La France participe la Force internationale en Afghanistan.

En 2010, cet engagement a coûté

 866 millions d'€

630 millions d'€pour les OPEX sont déjà prévus pour 2011.

Ce budget va s'envoler avec la guerre en Libye.

 

Pourtant, le budget de la Défense était en 2010 le quatrième de France, avec 32 milliards d'euros (dont 570 millions dépensés dans les opérations extérieures).



Pour en savoir plus :



http://michel.mahler.free.fr/News/929_Cout_de_la_guerre_en_Libye.htm

et, là :

http://www.rmc.fr/editorial/153727/ce-que-coute-a-la-france-lintervention-en-libye/






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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 06:23

 

 

 

Sur demande de l'Élysée, quelques étudiants juifs pratiquants pourront passer les concours d'entrée à des grandes écoles (Mines, Ponts, Centrale et Supélec) pour partie en dehors des sessions normales d'examen.

 

 

Des sessions secrètes de nuit ont été prévues, avec un confinement préalable des candidats.

 

 

Alors que le chef de l'État orchestre une campagne de stigmatisation des immigrés d'origine arabe, --sous couvert de lois fallacieuses contre les signes extérieurs religieux, d'un débat sur la laïcité etc... --

 

--cette affaire met en évidence les réelles motivation de ce gouvernement, qui n'est certainement pas la défense de la laïcité; argument avancé pour justifier cette politique d'exclusion d'un grand nombre de français mais un prétexte...l'arbre derrière lequel se dissimule l'islamophobie sarkozienne... l'islamophobie d'un grand nombre d'homme et de femmes politiques français...

Lire la suite sur :

 

 

http://hadria.riviere.over-blog.com/ext/http://www.mediapart.fr/journal/France/110411/grandes-ecoles-le-coup-de-l-elysee-contre-la-laicite

 

 


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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 16:47

 

 

Face a de telles  bassesses.... Que dire...

Que faire.... Si, ce n'est remercier les irresponsables qui ont permis au delinquant Sarko d'accéder au pouvoir...

Alors qu'il n'a eu de cesse de nous demontrer son indigné...ses infamies pendant toute la période où il occupait la fonction de Ministre de l'interieur...du "double face" Chirac

 

 

.."Avril 2011 Sarko et ses frères : on ne nous dit pas tout… .

 

Le déficit chronique de la Sécurité Sociale se traduit toujours par plus de frais restant à la charge des assurés sociaux : franchises diverses (boîtes de médicaments, actes para-médicaux, transports sanitaires), forfaits de toute sorte (frais de séjour et actes médicaux en milieu hospitalier), médicaments non remboursés, taux de remboursement moindre pour ceux encore à la nomenclature, etc.

 

Si ces mesures frappent en priorité les personnes modestes, déjà touchées durement par une fiscalité indirecte qui dépasse l’entendement (plus de 80% des recettes budgétaires de l’Etat), le secteur de la santé fait aussi le bonheur de certaines personnes…

 

Le Pôle Emploi, fusion de l’ANPE et de l’ASSEDIC, une des rares idées de Nicolas Sarkozy plutôt positive, en tout cas dans son principe, qui permet aux demandeurs d'emploi d'avoir un seul interlocuteur, compte environ

50.000 employés.

 

L’ensemble des branches de la Sécurité Sociale (Assurance Maladie, Assurance Vieillesse, Allocations Familiales et URSSAF) comptait 160 000 agents au 31 décembre 2009. Tous ces organismes ont été concernés par une réforme récente concernant les "complémentaires santé", c'est-à-dire les mutuelles du personnel de ces organismes.

 

Depuis le 1er janvier 2009 en effet, tous les agents ont été contraints de résilier leurs contrats avec leurs mutuelles pour adhérer à une "mutuelle employeur obligatoire".

 

Ceux qui ont des enfants ont également été obligés d’inscrire ces derniers sur le nouveau contrat (sauf exception).

C'est une conséquence de la loi Fillon de 2003.

 

Le grand frère entre en lice : Guillaume Sarkozy C'est le même organisme, le groupe Malakoff-Médéric qui a remporté les deux marchés en obtenant ainsi 210 000 adhérents supplémentaires !

 

En ajoutant à cela les 800.000 salariés du secteur café-hôtellerie-restauration (CHR) qui sont en train de rentrer dans le dispositif depuis janvier 2011, cette compagnie d’assurance et de prévoyance est devenue sur le marché français : n°1 des groupes paritaires de protection sociale n°2 de la retraite complémentaire n°3 en santé collective (classement Argus de l’Assurance)

 

Le groupe est né de la fusion de Malakoff et Médéric le 30 juin 2008, 6 mois avant la mise en place du dispositif "mutuelle obligatoire employeur" pour la Sécurité Sociale et le Pôle Emploi…

 

Le président de Médéric a cédé alors sa place au président de Malakoff : Guillaume Sarkozy qui a été par ailleurs vice-président du MEDEF entre 2000 et 2006 et de la CNAM (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) de 2004 à 2005. Malakoff Médéric est un groupe mutualiste, paritaire mais pas sa filiale Sevriena qui va devenir un groupe privé majeur dans un autre secteur, celui de l’épargne retraite. Guillaume Sarkozy a créé Sevriena avec un poids lourd de la catégorie, CNP Assurances, dont les actionnaires principaux sont la Caisse des dépôts (40 %) et la holding Sopassure (Banque postale et BPCE, 35,48 %).

 

Si l’on examine de près le conseil d’administration de CNP Assurances, on y découvre notamment : François Pérol, président du directoire de BPCE (Banque populaire Caisses d’épargne), ex secrétaire général adjoint de l’Elysée et Henri Proglio, PDG d’EDF qui doit sa place à… Nicolas Sarkozy. CNP Assurances est aussi un groupe international qui, le 15 janvier 2009, a annoncé dans un communiqué avoir payé un montant de 145 millions d’euros l’acquisition de 50,1 % de Marfin Insurance Holdings qui détient 100 % de Laiki Cyprialife (assurance vie à Chypre), Laiki Insurance (assurance dommages à Chypre), Marfin Life (assurance vie en Grèce) et Marfin Brokers (courtier assurance dommages en Grèce).

 

Un heureux hasard a fait que parallèlement à la création de Sevriena, l’Elysée poussait à l’adoption du projet de loi réformant les retraites, dont le texte définitif contient les «mesures relatives à l’épargne retraite»...

 

Le frérot se pointe : François Sarkozy Pédiatre de formation, il a abandonné la pratique pour l’industrie pharmaceutique depuis 2001. Il siège au conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma et devient le président d’AEC Partners dont une des missions est le conseil aux fonds d’investissement.

 

François Sarkozy a lancé une chaîne de télévision spécialisée dans l’Internet, financée par le laboratoire Sanofi. Il a des relations avec le groupe Paris Biotech Santé, l’un des protagonistes de l’affaire de l’Arche de Zoé (1). Il fait partie aujourd'hui des puissants lobbyistes de l’industrie pharmaceutique.

 

D’ailleurs le grand plan Alzheimer lancé par le gouvernement est un joli cadeau de quelques centaines de millions d’euros et une aubaine pour le secteur dont il défend les intérêts.

 

La structure scientifique (Fondation Alzheimer) mise en place ainsi que les dispositifs de partenariat public-privé bénéficient directement à l'industrie pharmaceutique, en particulier à Sanofi-Aventis et à ses sous-traitants et collaborateurs, parmi lesquels François Sarkozy.

 

A venir aussi le plan "Dépendance des Seniors" avant la prochaine élection présidentielle... Le troisième larron est toujours aux manettes : Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa…

 

Trois frères donc : l’un à la tête d'un des plus gros groupes d’assurance santé-retraite,

Un autre qui sert les intérêts des laboratoires pharmaceutiques et le troisième qui chapeaute le tout en ayant la charge de l’exécutif : c’est le Président de la République.

 

On comprend mieux aujourd’hui sa "bienveillance" vis-à-vis de son ancienne ministre de la santé, Roselyne Bachelot, de mai 2007 à novembre 2010, lorsqu'elle a fait prospérer les grands laboratoires pharmaceutiques en leur achetant 95 millions de doses de vaccin pour lutter contre la grippe A...inutiles mais financièrement juteux ! Et on peut légitimement nourrir des inquiétudes sur l’avenir de notre système de santé.

 

Les réformes engagées depuis 2004 ne font que confirmer sa détérioration et même son démantèlement total d’ici quelques années, si un coup d’arrêt n’est pas apporté à cette politique au profit exclusif d'intérêts privés.

 

Il ne faut pas s’étonner non plus de l'acharnement de Nicolas Sarkozy à réformer le financement des retraites qui va fatalement s'orienter vers un système par capitalisation, vu l'allongement de la durée de cotisation pour avoir une retraite à taux plein et les montants de retraite de plus en plus faibles servies par le Régime Général des salariés.

 

Rares sont les pays du monde occidental où l’on assiste à de telles dérives de la part d’un Président de la République d’autant que personne n’a oublié l’affaire du «fiston » pour occuper le poste de président de l'Epad alors que Jean Sarkozy, à 23 ans, n’avait même pas encore terminé ses études, redoublant sa deuxième année de droit après avoir redoublé la première !

 

Dans l'Europe protestante du Nord, il y a longtemps qu'un tel président serait sur la touche, notamment après avoir annoncé, en janvier 2009, que les enquêtes judiciaires seront désormais toutes dirigées par le Parquet, soumis au pouvoir politique… (1) Des membres de l’association française L’Arche de Zoé ont été arrêtés le 25 octobre 2007 par les autorités tchadiennes avec 103 enfants qu’ils voulaient emmener illégalement en France afin de les faire adopter.

 

Il s’est révélé que, contrairement à ce que prétendait l’association, la plupart de ces enfants n’étaient ni orphelins ni soudanais.

Cette affaire a entraîné la colère de l’opinion publique tchadienne et déclenché une crise diplomatique entre la France et le Tchad...."

 

 

lien source :


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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 14:52

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Mais que font Angelina Jolie, « la pasonaria de l'interventionisme yankee » en Afrique, en Libye etc...,  George Clooney «le docteur Hyde du Soudan, de Haïti...

-et tous les gugus made in Hollywood, « donneurs de leçons », toujours prêts à s'ingérer dans la vie d'autres peuples d'autres pays...-

pour secourir leurs propres concitoyens....?

 

N'ont-ils rien à gagner, en terme d'image, d'impérialisme, de récompense de l'oligarchie Us en place......A se rendre sur place, à se faire photographier au milieu de cette désolation made in US...au milieu du peuple US affamé....????

 

 

Par David Brooks

 

Le 8 avril 2011

La Jornada

 

Ici des millions gens souffrent de faim. Nous ne parlons pas d’Haïti, ni de pays africains, ou asiatiques, ni des favelas sudaméricaines, mais du fait extraordinaire dont que dans le pays le plus riche du monde, avec le secteur agricole le plus productif, des millions de gens souffrent de ce qui s’appelle l’« insécurité alimentaire », ou ce qui en chrétien se traduit comme ne pas savoir d’où proviendra la prochaine nourriture.

Aux États-Unis il est permis – sans que cela soit un scandale national – que les enfants n’aient pas suffisamment à manger. Le programme national de télévision de CBS News, 60 Minutes, a récemment montré les visages et les histoires de familles sans toit, dont les enfants ont dit ce qu’ils ressentent quand ils ne mangent pas suffisamment.

Plus de 16 millions de mineurs vivent dans la pauvreté -2 millions de plus qu’avant la crise économique qui a éclaté en 2007 – et on constate que c’est l’écroulement le plus rapide de la classe moyenne jamais arrivé depuis que le gouvernement a commencé à les mesurer, il y a demi-siècle, explique CBS News.

Qu’est qu’on ressent quand on a faim ? demande le journaliste aux enfants d’une école primaire de Floride. « C’ est difficile. Tu ne peux pas dormir. Tu attends seulement, tu t’endors cinq minutes et tu te réveilles à nouveau. Tu as a mal à estomac et pense : ‘ je ne peux pas dormir, je vais essayer de dormir, je vais essayer de dormir’, mais tu ne peux pas parce que tu as trop mal à l’estomac. Et c’est parce que tu n’as pas de nourriture dans toi », répond un enfant.

De nombreuses de familles racontent à CBS qu’elles n’ont jamais imaginé rester sans toit ou ne pas pouvoir nourrir suffisamment leurs enfants, puisqu’ils jouissaient d’une vie de classe moyenne. Avec la crise, tout a basculé.

Une partie du reportage de CBS fut réalisée dans la même zone que celle qui se proclame comme « le lieu le plus heureux du monde », c’est à dire, les comtés autour de Disney World, à Orlando, en Floride.

Là CBS a détecté environ 67 motels où logent plus de 500 enfants sans domicile. Là, tout près des écoles du comté de Seminole, mille étudiants ont récemment perdu leurs logements. Le gouvernement loge des milliers de familles sans toit dans des motels dans tout le pays pendant des mois. CBS remarque que « la ‘génération motel’ aux États-Unis grandit rapidement ».

16.6% des étasuniens – soit, plus d’un sur six – a souffert « d’insécurité alimentaire » au cours de 2009, selon les chiffres les plus récents du recensement analysés par Feeding América, la plus grande organisation du pays dédiée à appuyer les personnes touchées par cette situation dans son rapport récent « Map the Meal Gap ».

En fait, cette organisation explique qu’aujourd’hui elle offre ses services de soutien à 37 millions d’étasuniens, dont 14 millions d’enfants, une augmentation de 46 % comparée avec 2006.

Même dans la capitale du pays le plus puissant du monde il y a de plus en plus de faim. Dans la zone métropolitaine de Washington et ses comtés limitrophes, plus de 400 000 habitants ont souffert de la faim pendant la récession, selon le rapport récent de Feeding America et son analyse par le Washington Post. Des millions encore dans chaque partie du pays, tant dans des zones riches que marginales, on a enregistré des chiffres croissants de faim. « La majorité serait surprise de savoir les dimensions de la faim dans ses communautés.

Les gens tendent à penser qu’on souffre de la faim « là-bas » , dans un autre lieu, mais pas ici même, non pas dans mon coin. Mais ce rapport démontre que ce n’est pas vrai : la faim est partout dans notre pays en ce moment », a commenté Vicki Escarra, directrice de Feeding America, au Washington Post.

« Il y a eu des moments où je n’ai pas mangé pour que mes enfants aient plus à manger. Je suis adulte, je peux le faire. Je peux boire de l’eau ou manger un morceau de pain. Mais on ne veut pas que ses enfants arrivent à dire : maman, j’ai faim, une heure après qu’ils aient mangé », a expliqué au Washington Post, Anette Emerson, mère célibataire de 46 ans. Ces histoires se répètent dans tout le pays.

Et quelle est la réponse du gouvernement ? Proposer de réduire l’assistance alimentaire aux nécessiteux, provoquer plus de coupes dans les dépenses sociales et réduire les taux d’imposition sur les revenus des millionnaires.

Mark Bittman, critique de gastronomie du New York Times [ Why We’re Fasting ], a annoncé lundi dernier qu’il se joignait à un jeûne d’une semaine avec environ 4 000 personnes dans tout le pays, dont l’intention est d’attirer l’attention publique sur les propositions du Congrès pour réduire sévèrement les programmes d’assistance pour les pauvres et pour ceux qui souffrent de faim dans ce pays.

« Ces coupes faites soit disant pour réduire le déficit – à peine serait-ce une miette – causeront en vérité que plus de personnes meurent de faim, aillent au lit avec la faim ou vivent plus misérablement que maintenant. Et la proposition de loi augmentera la dépense pour la défense », a-t-il expliqué. Cela dit, devant quelques ironies : en 2010, les profits des entreprises ont augmenté avec le taux le plus rapide depuis 1950, tandis que le record de nombre de personnes qui dépendent de l’assistance fédérale pour manger a été atteint. Il a ajouté que les 400 étasuniens les plus riches ont plus richesse que la moitié des foyers du pays, tandis que 45 % des étasuniens dépensent un tiers de leurs revenus en nourriture et cependant n’y arrivent pas, et un enfant sur quatre dort en ayant faim dans ce pays, au moins sur certaines périodes.

Bittman affirme : « nous avons besoin de nous rassembler et d’insister sur le fait que nos ressources collectives soient utilisées pour le bien-être collectif, pas pour mille, ni pour un million d’étasuniens les plus riches, mais pour la vaste majorité de nous tous aux États-Unis et, en fait, pour les citoyens du monde qui ont les difficultés à satisfaire leurs premières nécessités. Ou pour nourrir leurs enfants ».

Mais, apparemment, la faim n’est pas parmi les priorités de la classe dirigeante politique ou économique de ce pays. Apparemment, « l’insécurité alimentaire » n’est pas un sujet qui est considéré de « sécurité nationale » .

La Jornada, Mexico, le 4 avril 2011

Traduction de l’espagnol pour El Correode  : Estelle et Carlos Debiasi


Cette création par http://www.elcorreo.eu.org est mise à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 Unported.

David Brooks est un journaliste étasunien du New York Times et correspondant du quotidien mexicain La Jornada.

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 16:47

 

 

7 avril 2011

 

Partie 1 : Des questions qu’il faut se poser à chaque guerre
Partie 2 : Les véritables objectifs des USA vont bien au-delà du pétrole
Partie 3 : Pistes pour agir

 

 

Des questions qu’il faut se poser à chaque guerre

 

 

27 fois. Les Etats-Unis ont bombardé un pays à 27 reprises depuis 1945. Et chaque fois, on nous a affirmé que ces actes de guerre étaient « justes » et « humanitaires ».

Aujourd’hui, on nous dit que cette guerre est différente des précédentes. Mais on l’avait dit aussi la fois passée. Et la fois d’avant. On le dit chaque fois. N’est-il pas temps de mettre sur papier les questions qu’il faut se poser à chaque guerre pour ne pas se faire manipuler ?

 

Pour la guerre, il y a toujours de l’argent ?

 

Dans le pays le plus puissant du globe, quarante-cinq millions de gens vivent sous le seuil de pauvreté. Aux Etats-Unis, écoles et services publics tombent en ruines, parce que l’Etat « n’a pas d’argent ». En Europe aussi, « pas d’argent » pour les retraites ou pour créer des emplois.

 

Mais lorsque la cupidité des banquiers provoque une crise financière, là, en quelques jours, on trouve des milliards pour les sauver.

Ce qui a permis à ces mêmes banquiers US de distribuer l’an dernier 140 milliards $ de récompenses et bonus à leurs actionnaires et traders spéculateurs.

Pour la guerre aussi, il semble facile de trouver des milliards.

Or, ce sont nos impôts qui paient ces armes et ces destructions. Est-il bien raisonnable de faire partir en fumée des centaines de milliers d’euros à chaque missile ou de gaspiller cinquante mille euros de l’heure avec un porte-avions ?

 

A moins que la guerre soit une bonne affaire pour certains ?

Pendant ce temps, un enfant meurt de faim toutes les cinq secondes et le nombre de pauvres ne cesse d’augmenter sur notre planète en dépit des promesses.

 

Quelle différence entre un Libyen, un Bahreini et un Palestinien ?

 

Présidents, ministres et généraux jurent solennellement que leur objectif est seulement de sauver des Libyens.

 

Mais, au même moment, le sultan du Bahrein massacre des manifestants désarmés grâce aux deux mille soldats saoudiens envoyés par les Etats-Unis !

Au même moment, au Yemen, les troupes du dictateur Saleh, allié des USA, tuent 52 manifestants à la mitrailleuse.

Ces faits n’ont été contestés par personne, mais le ministre US de la Guerre, Robert Gates, a juste déclaré : « Je ne crois pas que ce soit mon rôle d’intervenir dans les affaires internes du Yemen » [1].

Pourquoi ce « deux poids, deux mesures » ? Parce que Saleh accueille docilement la Vème Flotte US et dit oui à tout ce que lui commande Washington ? Parce que le régime barbare d’Arabie saoudite est complice des multinationales pétrolières ? Il y aurait de « bons dictateurs » et de « mauvais dictateurs » ?

 

Comment les USA et la France peuvent-ils se prétendre humanitaires ?

 

Lorsqu’Israël a tué deux mille civils en bombardant Gaza, ont-ils instauré une « no fly zone » ? Non. Ont-ils pris des sanctions ? Aucune. Pire : Javier Solana, alors responsable des Affaires étrangères de l’U.E. a déclaré à Jérusalem : « Israël est un membre de l'Union européenne sans être membre de ses institutions. Israël est partie prenante à tous les programmes » de recherche et de technologie de l'Europe des 27. Ajoutant même : « Aucun pays hors du continent n'a le type de relations qu'Israël entretient avec l'Union européenne. » Sur ce point, Solana dit vrai : l’Europe et ses fabricants d’armes collaborent étroitement avec Israël dans la production des drônes, missiles et autres armements qui sèment la mort à Gaza.

Rappelons qu’Israël a chassé sept cent mille Palestiniens de leurs villages en 1948, refuse toujours de leur rendre leurs droits et continue à commettre de multiples crimes de guerre. Sous cette occupation, 20% de la population palestinienne actuelle a séjourné ou séjourne dans les prisons d’Israël.

Des femmes enceintes sont forcées d’accoucher attachées à leur lit et renvoyées immédiatement dans leurs cellules avec leurs bébés !

Mais ces crimes-là sont commis avec la complicité active des USA et de l’UE.

 

La vie d’un Palestinien ou d’un Bahreini ne vaut pas celle d’un Libyen ? Il y aurait les « bons Arabes » et les « mauvais Arabes » ?

 

Pour ceux qui croient encore à la guerre humanitaire…

Dans un débat télévisé que j’ai eu avec Louis Michel, ancien ministre belge des Affaires étrangères et commissaire européen à la Coopération au développement, celui-ci m’a juré - la main sur le cœur - que cette guerre visait à « mettre en accord les consciences de l’Europe ». Il a été appuyé par Isabelle Durant, dirigeante des Verts belges et européens. Ainsi, les écologistes « peace and love » ont muté va-t-en-guerre !

Le problème, c’est qu’on nous parle de guerre humanitaire à chaque fois, et que ces gens « de gauche » comme Durant s’y sont à chaque fois laissé prendre. Ne feraient-ils pas mieux de lire ce que pensent vraiment les dirigeants US au lieu de juste les écouter à la télévision ?

Ecoutez par exemple, à propos des bombardements contre l’Irak, le célèbre Alan Greenspan, qui fut longtemps directeur de la réserve fédérale des USA. Il écrit dans ses mémoires : « Je suis attristé qu’il soit politiquement incorrect de reconnaître ce que chacun sait : la guerre en Irak était essentiellement pour le pétrole »[2]. Ajoutant : « Les officiels de la Maison-Blanche m’ont répondu : ‘Eh bien, malheureusement, nous ne pouvons parler du pétrole’. » [3]

Ecoutez, à propos des bombardements contre la Yougoslavie, John Norris, directeur de com de Strobe Talbott qui était alors vice-ministre US des Affaires étrangères, chargé des Balkans. Norris écrit dans ses mémoires : « Ce qui explique le mieux la guerre de l’Otan, c’est que la Yougoslavie résistait aux grandes tendances des réformes politiques et économiques (il veut dire : refusait d’abandonner le socialisme), et ce n’est pas notre devoir envers les Albanais du Kosovo. » [4]

Ecoutez, à propos des bombardements contre l’Afghanistan, ce que disait alors l’ancien ministre US des Affaires étrangères Henry Kissinger : « Il existe des tendances, soutenues par la Chine et le Japon, à créer une zone de libre échange en Asie. Un bloc asiatique hostile combinant les nations les plus peuplées du monde avec de grandes ressources et certains des pays industriels les plus importants serait incompatible avec l’intérêt national américain. Pour ces raisons, l’Amérique doit maintenir une présence en Asie… » [5]

Ceci confirmait la stratégie avancée par Zbigniew Brzezinski, qui fut responsable de la politique étrangère sous Carter et est l’inspirateur d’Obama : « L’Eurasie (Europe + Asie) demeure l’échiquier sur lequel se déroule le combat pour la primauté globale. (…) La façon dont les Etats-Unis ‘gèrent’ l’Eurasie est d’une importance cruciale. Le plus grand continent à la surface du globe en est aussi l’axe géopolitique. Toute puissance qui le contrôle, contrôle par là même deux des trois régions les plus développées et les plus productives.

75% de la population mondiale, la plus grande partie des richesses physiques, sous forme d’entreprises ou de gisements de matières premières, quelque 60% du total mondial. » [6]

 

A gauche, n’a-t-on rien appris des médiamensonges humanitaires des guerres précédentes ?

 

Quand Obama le dit lui-même, vous ne le croyez pas non plus ?

Ce 28 mars, Obama a justifié ainsi la guerre contre la Libye : « Conscients des risques et des coûts de l’action militaire, nous sommes naturellement réticents à employer la force pour résoudre les nombreux défis du monde. Mais lorsque nos intérêts et valeurs sont en jeu, nous avons la responsabilité d’agir. Vu les coûts et les risques de l’intervention, nous devons chaque fois mesurer nos intérêts face à la nécessité d’une action. L’Amérique a un important intérêt stratégique à empêcher Kadhafi de défaire ceux qui s’opposent à lui. »

 

N’est-ce pas clair ? Alors, certains disent : « Oui, c’est vrai, les Etats-Unis n’agissent que s’ils y trouvent leur intérêt aussi. Mais au moins, à défaut de pouvoir intervenir partout, on aura sauvé ces gens-là. »

Faux. Nous allons montrer que seuls les intérêts seront défendus. Pas les valeurs. D’abord, chaque guerre US fait plus de victimes qu’il n’y en avait avant (en Irak, un million de victimes directes ou indirectes !). Ensuite, l’intervention en Libye en prépare d’autres…

 

 

Qui refusait de négocier ?

Mais, dès que vous émettez un doute sur l’opportunité de cette guerre contre la Libye, tout de suite, on vous culpabilise : « Vous refusez donc de sauver les Libyens du massacre ? »

Question mal posée.

Supposons que tout ce qu’on nous a raconté se soit vraiment passé. Premièrement, arrête-t-on un massacre par un autre massacre ? Nous savons qu’en bombardant, nos armées vont tuer de nombreux civils innocents. Même si, comme à chaque guerre, les généraux nous promettent que celle-ci sera « propre », nous avons l’habitude de cette propagande.

 

Deuxièmement, il y avait un moyen beaucoup plus simple et efficace de sauver des vies tout de suite. Tous les pays d’Amérique latine ont proposé d’envoyer immédiatement une mission de médiation, présidée par Lula. La Ligue arabe et l’Union africaine soutenaient cette démarche et Kadhafi avait accepté (proposant aussi d’envoyer des observateurs internationaux pour vérifier le cessez-le feu).

 

Mais les insurgés libyens et les Occidentaux ont refusé cette médiation. Pourquoi ? « Parce que Kadhafi n’est pas de bonne foi », disent-ils. Possible. Tandis que les insurgés et leurs protecteurs occidentaux ont toujours été de bonne foi ?

A propos des Etats-Unis, il est utile de rappeler comment ils se sont comportés dans toutes les guerres précédentes à chaque fois qu’un cessez-le-feu était possible

 

En 1991, lorsque Bush père a attaqué l’Irak parce que celui-ci avait envahi le Koweit, Saddam Hussein a proposé de se retirer et qu’Israël évacue aussi les territoires illégalement occupés en Palestine.

Mais les USA et les pays européens ont refusé six propositions de négociation. [7]

En 1999, lorsque Clinton a bombardé la Yougoslavie, Milosevic avait accepté les conditions imposées à Rambouillet, mais les USA et l’Otan en ont rajouté une, volontairement inacceptable : l’occupation totale de la Serbie. [8]

 

En 2001, lorsque Bush fils a attaqué l’Afghanistan, les talibans avaient proposé de livrer Ben Laden à un tribunal international si on fournissait des preuves de son implication, mais Bush a refusé de négocier.

 

En 2003, lorsque Bush fils a attaqué l’Irak sous prétexte d’armes de destruction massive, Saddam Hussein a proposé d’envoyer des inspecteurs, mais Bush a refusé car il savait que les inspecteurs ne trouveraient rien. Ceci a été confirmé par la divulgation du mémo d’une réunion entre le gouvernement britannique et les dirigeants des services secrets britanniquesen juillet 2002 : « Les dirigeants britanniques espéraient que l’ultimatum soit rédigé en des termes inacceptables afin que Saddam Hussein le rejette directement. Mais ils étaient loin d’être certains que cela marcherait. Alors, il y avait un Plan B : les avions patrouillant dans la « no fly zone » jetant de nombreuses bombes en plus dans l’espoir que ceci provoquerait une réaction qui donnerait une excuse pour une large campagne de bombardements. »[9]

 

Alors, avant d’affirmer que « nous » disons toujours la vérité tandis que « eux » mentent toujours, et aussi que « nous » recherchons toujours une solution pacifique, tandis que « eux » ne veulent pas de compromis, il faudrait être plus prudents… Tôt ou tard, le public apprendra ce qui s’est vraiment passé lors des négociations en coulisses, et constatera une fois de plus qu’il a été manipulé.

Mais il sera trop tard, et on ne ressuscitera pas les morts.

 

La Libye, c’est comme la Tunisie et l’Egypte ?

 

Dans son excellente interview publiée il y a quelques jours par Investig’Action, Mohamed Hassan posait la bonne question : « Libye : révolte populaire, guerre civile ou agression militaire ? ». A la lumière des recherches récentes, il est possible de répondre : les trois, en fait. Une révolte spontanée, rapidement récupérée et transformée en guerre civile (qui avait été préparée), le tout servant de prétexte à une agression militaire.

Qui, elle aussi, avait été préparée. Rien ne tombe du ciel en politique.

Expliquons-nous…

En Tunisie et en Egypte, la révolte populaire a grandi progressivement en quelques semaines, s’organisant peu à peu et s’unifiant sur des revendications claires, ce qui a permis de chasser les tyrans. Mais quand on analyse l’enchaînement ultra-rapide des événements à Benghazi, on est intrigué.

Le 15 février, manifestation des parents de prisonniers politiques de la révolte de 2006. Manifestation durement réprimée, comme cela a toujours été le cas en Libye et dans les autres pays arabes. Et, à peine deux jours plus tard, re-manifestation, mais cette fois, les manifestants sont armés et passent directement à l’escalade contre le régime de Kadhafi. En deux jours, une révolte populaire devient une guerre civile !

Tout à fait spontanément ?

Pour le savoir, il faut examiner ce qui se cache sous le vocable imprécis « opposition libyenne ». A notre avis, quatre composantes aux intérêts très différents.

1° Une opposition démocratique.

2° Des dignitaires de Kadhafi « retournés » par l’Ouest.

3° Des clans libyens mécontents du partage des richesses.

4° Des combattants de tendance islamique.

 

 

Qui compose cette « opposition libyenne » ?

 

 

Dans cet enchevêtrement, il est important de savoir à qui on a à faire. Et surtout quelle faction a été intégrée dans les stratégies des grandes puissances…

1° Opposition démocratique. Il est légitime d’avoir des revendications face au régime Kadhafi, dictatorial et corrompu comme les autres régimes arabes.

Un peuple a le droit de vouloir remplacer un régime autoritaire par un système plus démocratique.

Cependant, ces revendications sont jusqu’ici peu organisées et sans programme précis. On rencontre aussi, à l’étranger, des mouvements révolutionnaires libyens, également assez disparates, mais tous opposés à l’ingérence étrangère. Pour diverses raisons que l’on va clarifier, ce ne sont pas ces éléments démocratiques qui ont grand chose à dire aujourd’hui sous la bannière des USA et de la France.

2° Dignitaires « retournés ». A Benghazi, un « gouvernement provisoire » a été instauré et est dirigé par Mustapha Abud Jalil. Cet homme était, jusqu’au 21 février, ministre de la Justice de Kadhafi. Deux mois plus tôt, Amnesty l’avait placé sur la liste des plus effroyables responsables de violations de droits humains d’Afrique du nord ». C’est cet individu qui, selon les autorités bulgares, avait organisé les tortures de infirmières bulgares et du médecin palestinien longtemps détenus par le régime. Un autre « homme fort » de cette opposition est le général Abdul Fatah Younis, ex ministre de l’Intérieur de Kadhafi et auparavant chef de la police politique. On comprend que Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, estime que ces personnages « ne sont pas les ‘démocrates sincères’ des discours d’Obama, mais parmi les pires instruments du régime de Kadhafi, qui aspirent à chasser le colonel pour prendre sa place ». (1)

3° Clans mécontents. Comme le soulignait Mohamed Hassan, la structure de la Libye est restée fortement tribale. Durant la période coloniale, sous le régime du roi Idriss, les clans de l’est dominaient et les richesses pétrolières leur profitaient.

Après la révolution de 1969, Kadhafi s’est appuyé sur les tribus de l’ouest et c’est l’est qui a été défavorisé. Il faut le regretter, un pouvoir démocratique et juste doit veiller à combattre les discriminations entre régions. On peut aussi se demander si les anciennes puissances coloniales n’ont pas encouragé les tribus mécontentes à saper l’unité du pays. Ce ne serait pas la première fois. Aujourd’hui, France et USA misent sur les clans de l’est pour prendre le contrôle du pays. Diviser pour régner, un vieux classique du colonialisme.

4° Eléments d'Al-Qaïda. Des câbles diffusés par Wikileaks avertissaient que l’Est de la Libye était, proportionnellement, le premier exportateur au monde de « combattants - martyrs » en Irak.

Des rapports du Pentagone décrivaient un « scénario alarmant » sur les rebelles libyens de Benghazi et Derna. Derna, ville de 80.000 habitants à peine, serait la première source de jihadistes en Irak. De même, Vicent Cannistraro, ancien chef de la CIA en Libye, signale parmi les rebelles beaucoup d’ « extrémistes islamiques capables de créer des problèmes » et que les « probabilités [sont] élevées que les individus les plus dangereux puissent avoir une influence dans le cas où Kadhafi devrait tomber ». (1).

Evidemment, tout ceci s’écrivait lorsque Kadhafi était encore « un ami ». Mais ça montre l’absence totale de principes dans le chef des USA et de leurs alliés. Quand Kadhafi a réprimé la révolte islamiste de Benghazi en 2006, ce fut avec les armes et le soutien des Occidentaux. Une fois, on est contre les combattants à la Ben Laden.

Une fois, on les utilise. Faudrait savoir.

Parmi ces diverses « oppositions », quel élément l’emportera ? C’est peut-être aussi un but de l’intervention militaire de Washington, Paris et Londres : veiller à ce que « les bons « l’emportent ? Les bons de leur point de vue évidemment. Plus tard, on utilisera la « menace islamique » comme prétexte pour s’installer durablement

 

En tout cas, une chose est sûre : le scénario libyen est différent des scénarios tunisien ou égyptien. Là, c’était « un peuple uni contre un tyran ». Ici, on est dans une guerre civile, Kadhafi disposant du soutien d’une partie de la population.

Et dans cette guerre civile, le rôle qu’ont joué les services secrets US et français n’est déjà plus si secret que ça…

 

Quel a été le rôle des services secrets?

 

En réalité, l’affaire libyenne n’a pas commencé en février à Benghazi en février, mais à Paris le 21 octobre 2010. Selon les révélations du journaliste italien Franco Bechis (Libero, 24 mars), c’est ce jour-là que les services secrets français ont préparé la révolte de Benghazi. Ils ont alors «retourné» (ou peut-être déjà avant) Nuri Mesmari, chef du protocole de Kadhafi, qui était quasiment son bras droit. Le seul qui entrait sans frapper dans la résidence du guide libyen. Venu à Paris avec toute sa famille pour une opération chirurgicale,

Mesmari n’y a rencontré aucun médecin, mais se serait par contre entretenu avec plusieurs fonctionnaires des services secrets français et de proches collaborateurs de Sarkozy, selon le bulletin web Maghreb Confidential.

Le 16 novembre, à l’hôtel Concorde Lafayette, il aurait préparé une imposante délégation qui allait se rendre deux jours plus tard à Benghazi. Officiellement, il s’agissait de responsables du ministère de l’Agriculture et de dirigeants des firmes France Export Céréales, France Agrimer, Louis Dreyfus, Glencore, Cargill et Conagra.

Mais, selon les services italiens, la délégation comportait aussi plusieurs militaires français camouflés en hommes d’affaires. A Benghazi, ils rencontreront Abdallah Gehani, un colonel libyen que Mesmari a indiqué comme étant prêt à déserter.

 

A la mi-décembre, Kadhafi, méfiant, envoie un émissaire à Paris pour essayer de contacter Mesmari. Mais la France l’arrête. D’autres Libyens se rendent visite à Paris le 23 décembre, et ce sont eux qui vont diriger la révolte de Benghazi avec les milices du colonel Gehani.

D’autant que Mesmari a fourni aux Français de nombreux secrets de la défense libyenne. De tout ceci, il ressort que la révolte à l’est n’est donc pas si spontanée qu’on nous l’a dit. Mais ce n’est pas tout. Il n’y a pas que les Français…

 

Qui dirige à présent les opérations militaires du « Conseil national Libyen » anti-Kadhafi ? Un homme tout juste arrivé des USA le 14 mars, selon Al Jazeera. Décrit comme une des deux « stars » de l’insurrection libyenne par le quotidien britannique de droite Daily Mail, Khalifa Hifter est un ancien colonel de l’armée libyenne, passé aux Etats-Unis. Celui qui fut un des principaux commandants militaires de la Libye jusqu’à la désatreuse expédition au Tchad fin des années 80, a ensuite émigré aux USA et vécu ces vingt dernières années en Virginie. Sans source de revenus connue, mais à petite distance des bureaux… de la CIA. [10] Le monde est petit.

Comment un haut militaire libyen peut-il entrer aux Etats-Unis en toute tranquillité, quelques années après l’attentat terroriste de Lockerbie, pour lequel la Libye a été condamnée, et vivre vingt ans tranquillement à côté de la CIA ? Il a forcément dû offrir quelque chose en échange. Publié en 2001, le livre Manipulations africaines de Pierre Péan retrace les connexions d’Hifter avec la CIA et la création, avec le soutien de celle-ci, du Front National de Libération Libyen. Le seul exploit du dit Front sera l’organisation en 2007, aux USA, d’un « congrès national » financé par le National Endowment for Democracy [11], traditionnel intermédiaire de la CIA pour arroser les organisations au service des Etats-Unis…

En mars de cette année, à une date non communiquée, le président Obama a signé un ordre secret autorisant la CIA à mener des opérations en Libye pour renverser Kadhafi.

Le Wall Street Journal, qui relate ceci le 31 mars, ajoute : « Les responsables de la CIA reconnaissent avoir été actifs en Libye depuis plusieurs semaines, tout comme d’autres services occidentaux. ».

Tout ceci n’est plus très secret, ça figure depuis un bon moment sur Internet, et ce qui est étonnant, c’est que les grands médias n’en aient pas dit un mot. Pourtant, on a déjà connu de nombreux exemples de « combattants de la liberté » ainsi armés et financés par la CIA. Par exemple, dans les années 80, les milices terroristes contras, mises sur pied par Reagan pour déstabiliser le Nicaragua et renverser son gouvernement progressiste.

N’a-t-on rien appris de l’Histoire ?

Cette « gauche » européenne qui applaudit aux bombardements n’utilise pas Internet ?

Faut-il s’étonner que les services italiens « balancent » ainsi les exploits de leurs confrères français et que ceux-ci « balancent » leurs collègues US ? Seulement si on croit aux belles histoires sur l’amitié entre « alliés occidentaux ». On va en parler

 

 

LA SUITE  :

   

2. Les objectifs des USA vont bien au-delà du pétrole

 

link

 


3. Pistes pour agir

 

link 

 

 

 

Source:

 

www.michelcollon.info

 

NOTES


[1] Reuters, 22/3.

[2] Sunday Times, 16 septembre 2007.

[3] Washington Post, 17 septembre 2007.

[4] Collision Course, Praeger, 2005, p.xiii.

[5] Does America need a foreign policy ?, Simon and Schuster, 2001, p. 111.

[6] Le Grand Echiquier, Paris 1997, p. 59-61.

[7] Michel Collon, Attention, médias ! Bruxelles, 1992, p. 92.

[8] Michel Collon, Monopoly, - L’Otan à la conquête du monde, Bruxelles 2000, page 38.

[9] Michael Smith, La véritable information des mémos de Downing Street, Los Angeles Times, 23 juin 2005.

[10] McClatchy Newspapers (USA), 27 mars.

[11] Eva Golinger, Code Chavez, CIA contre Venezuela, Liège, 2006

 

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 10:44

 

...L'IMPERIALISTE... FAIT LA GUERRE EN COTE D'IVOIRE....

 


L’IMPLACABLE ASCENSION D'ALASSANE OUATTARA

 

Il y a plus de vingt ans qu’Alassane Dramane Ouattara, «Ado» pour ses intimes comme pour ses adversaires, suscite les passions en Côte d’Ivoire

En 1990 cependant, lorsque le président Félix Houphouet Boigny,  qui cumule le prestige du chef traditionnel, du planteur de cacao  et du fidèle allié de la France, appelle Ouattara pour en faire son Premier Ministre, nul ne se méfie de cet économiste peu connu, dont le père, un commerçant prospère, vivait entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. 

 

Voix posée, costumes bien coupés, Ouattara, formé à l’Université de Pennsylvanie, a été directeur du département Afrique du FMI puis gouverneur de la Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest de 1988 à 1990.

 

Ce technocrate est appelé à faire « atterrir » la dévaluation du CFA (la monnaie commune aux Etats d’Afrique de l’Ouest, liée au franc français puis à l’euro) et, à Neuilly, il a épousé devant un certain Sarkozy, maire de la ville,  Dominique Novion, une Française qui avait toute la confiance du vieil Houphouet et gérait ses propriétés immobilières.

Pendant que l’opposant Gbagbo et son épouse Simone, deux militants socialistes, sont envoyés en prison, Ouattara met en œuvre une politique d’austérité qui le fera honnir dans les  milieux populaires mais ces privatisations des entreprises d’Etat lui permettront de redresser les finances du pays, ce qui lui vaudra ensuite de devenir directeur adjoint du FMI.

Après la mort d’Houphouet, lorsque Henri Konan Bédié s’installe au pouvoir, Ouattara, à la tête du RDR (Rassemblement des républicains) comme Gbagbo, qui dirige le FPI (Front des patriotes indépendants), se retrouvent dans l’opposition et les futurs rivaux  forment le Front républicain.

En 1999, lorsque le général Guei prend le pouvoir, Ouattara le soutient presque ouvertement et des militants du RDR entrent au gouvernement. Mais après l’assassinat de Guei, alors que des élections présidentielles se préparent, la Cour Suprème rejette la candidature de Ouattara car sa nationalité n’est pas reconnue et le thème de l’ « ivoirité », lancé par Bédié,   enflamme les esprits.

 

Lors des élections de 2000, Laurent Gbagbo l’emporte dans des conditions jugées « calamiteuses », en faisant descendre ses partisans dans la rue. Le président socialiste organise cependant un Forum pour la réconciliation  nationale en 2001. 

 

Il  n’a pas le temps de mettre en oeuvre la politique d’assurance santé qui figure à son programme  car en 2002 il échappe de peu à un coup d’Etat militaire qui verra la partie nord du pays être occupé par les rebelles des Forces nouvelles.

A l’époque, Ouattara choisit l’exil en France et nie tout lien avec les rebelles.  Beaucoup le soupçonneront cependant d’être le « père intellectuel » sinon le financier d’une rébellion qui a été préparée au Burkina Faso.

 

Dès 2006, alors que sa nationalité ivoirienne a finalement été reconnue, « Ado » revient à Abidjan et se prépare aux élections présidentielles. Discours orthodoxe, allure policée et belle villa, l’économiste a cependant gardé le contact avec les rebelles qui occupent toujours le nord du pays et refusent de désarmer. Ces liens se confirmeront ces derniers mois lorsque Guillaume Soro, l’un des leaders des Forces nouvelles, -qui avait été appelé au poste de Premier Ministre par Gbagbo au nom de l’unité nationale- sera reconduit dans les mêmes fonctions par Ouattara au lendemain des élections de novembre 2010.

 

Très vite, trop vite peut-être, la communauté internationale et l’ONU, sous l’impulsion de la diplomatie française, avalisent la victoire de l’homme du Nord, mais Gbagbo, arguant des irrégularités dans les zones demeurées sous le contrôle des rebelles, refuse de s’avouer vaincu et le Conseil constitutionnel le proclame gagnant.

 

Alors que les médiations africaines s’enlisent et que les sanctions pleuvent sur Gbagbo, Ouattara, reclus à l’hôtel du Golf dans une capitale qui ne veut  pas de lui, mène une double stratégie : il tente d’asphyxier économiquement son adversaire, décrète un embargo sur le cacao  qui ruine les petits planteurs mais permet à son beau fils d’enregistrer une belle plus value sur les 240.000 tonnes stockées à Londres, tandis qu’une « armée invisible » s’infiltre dans Abidjan.

 

Parmi ces « commandos de l’ombre » se retrouvent des rebelles du Nord, mais aussi des Burkinabe, des Nigérians, ainsi que des chasseurs traditionnels, les Dozos, connus pour leur cruauté et qui seront accusés des massacres commis à Duekoue.

Alors que ses hommes, reconvertis en « forces républicaines », lancent l’assaut final sur Abidjan,  Ouattara, malgré l’onction de la communauté internationale, risque d’être éclaboussé par les pillages et les tueries commises par des troupes qu’il contrôle mal et qui règlent leurs comptes

A l’heure de sa probable  victoire, attendue et préparée depuis aussi longtemps, il est peut-être inconvenant de rappeler qu’un certain Jean-Pierre Bemba avait, en son temps, été tenu pour responsable de viols et de tueries commises par ses troupes qui avaient été en envoyées  en Centrafrique. Il eut beau affirmer qu’il n’était pas physiquement présent au moment des faits, la Cour pénale internationale,  invoquant la chaîne de commandement et la responsabilité politique, se prépare bel et bien à juger l’ancien chef  rebelle…

Les droits de l’homme, c’est à dire la détermination des responsabilités dans les tueries de Duekoue ,  le pillage et l’incendie des villages  seront le prochain champ de bataille de la Côte d’Ivoire…

Colette Braeckman

Lien source :

http://polymedia.skynetblogs.be/archive/2011/04/07/l-implacable-ascension-d-alassane-ouattara.html


 


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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 04:33

 

 

IL y a 62 ans...

Le 4 avril 1949, douze pays occidentaux signent le Traité de l'atlantique Nord, assurant une solidarité militaire entre eux :

C'est la naissance de l'OTAN...

Machine à massacres....

Bras armé des pilleurs de richesses..des néo- esclavagistes occidentaux... :

 

 

4 avril 1949

Signature du Traité de l'Atlantique Nord


Douze démocraties occidentales signent le Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) à Washington pour faire face à la menace soviétique. Volet militaire de l’Alliance atlantique, cette organisation permet de dépasser les situations de statu quo que ne peut régler l’ONU. L’OTAN a pour objectif de souder les pays occidentaux européens contre l’URSS et les démocraties populaires. Il sera un des instruments de l’équilibre de la terreur et paradoxalement n’aura de mission qu’en 1995 en ex-Yougoslavie, alors que l’URSS n’existe plus.

 

 

 

Pour en savoir davantage liens :

 

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/otan/index.shtml

 

 

 

http://www.nato.int/bienvenu/home.htm

 

 

L'OTAN C'EST AUSSI :

 

VIDEOS : PARTIE I -

1950-1990 : Le Scandale des Armées Secrètes de l'OTAN

 

Après la Seconde Guerre Mondiale, la CIA et le MI6 ont mis en place, dans toute l'Europe de l'Ouest, des armées secrètes destinées à être activées en cas d'invasion soviétique.

 

Ces réseaux, dirigés par l'OTAN et souvent adossés à des groupes d'extrême droite, furent appelés stay behind.
Bientôt, de chaque côté du Rideau de Fer, l'Europe s'installait dans le statu quo, et la probabilité d'une offensive soviétique devenait infime.

Pourtant, les réseaux stay behind ne furent jamais démantelés.

Au contraire, ils allaient user de leur force pour interférer, en temps de paix, dans les processus démocratiques nationaux.

 

Ce film propose de retracer l'histoire de ces réseaux :

 

leur raison d'être, leur fonctionnement, mais aussi la logique qui entraîna leur dévoiement criminel et anti-démocratique.

 

Nous entendons ainsi jeter une lumière nouvelle sur toute une série de meurtres, de trafics et d'exactions dont beaucoup n'ont pas été élucidés, mais qui peuvent être imputés aux armées secrètes de l'OTAN.

 

Cet éclairage inédit nous permettra de mieux comprendre l'Europe dans laquelle nous vivons.

 

Une Europe en partie fondée sur le mensonge. Une Europe démocratique qui a pu, au nom de la liberté, se livrer à la manipulation, à l'assassinat politique, et au terrorisme d'Etat. 

 

 

PARTIE II Video là :
  
 
PARTIE III - Vidéo Là :
Mais l'OTAN... C'est SURTOUT ça : une multitude de crimes... des destructions...de la désolation...  :
L'OTAN coupable de crimes de guerre?

 

D'autres video là :

 

 

 


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1 avril 2011 5 01 /04 /avril /2011 15:24
Bahreïn :
Un enjeu dans l’équilibre régional voire mondial !

 

 

 

 

Source : Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 11:10
Boycott : l’université de Johannesburgh rompt ses relations avec Israël


Aujourd’hui, auteur d’un précédent à retentissement international en matière de boycott universitaire d’Israël, l’Université de Johannesburg (UJ) a rompu ses relations avec l’Université israélienne Ben Gourion (BGU).

 

Cette rupture a eu lieu après le rejet par le Conseil de l’UJ d’une dernière requête judiciaire déposée par le lobby pro-israélien, d’avoir deux accords bilatéraux séparés - l’un avec une université palestinienne et l’autre avec une université israélienne.L’UJ, elle, a choisi de confirmer la résolution qu’avait prise son Conseil, laquelle demandait qu’elle joue un rôle de premier plan pour les universités palestiniennes.

 

Les universités palestiniennes ont unanimement rejeté toute collaboration avec BGU sous quelque forme que ce soit, et ont exprimé leur soutien total au boycott universitaire contre Israël.

UJ a choisi de respecter ce choix.

 

L’UJ est la première institution à officiellement rompre ses relations avec une université israélienne, écrivant ainsi une page capitale d’une campagne de boycott qui prend de l’ampleur, Boycott, Divestment ans Sanctions (BDS) contre Israël.

Tout au long de la campagne, les militants des droits de l’homme, ont attendu cette décision. Cette décision de boycott venant d’une institution sud africaine, revêt une signification particulière. Elle crée en effet un précédent qui doit entraîner un effet domino de boycott !!

 

Le mouvement, qui avait pour objet une rupture des relations avec BGU a été boosté par le soutien écrasant des signataires de la pétition Uj (http://www.ujpetition.com) - contenant une déclaration et une campagne en faveur des enseignants et des étudiants de UJ qui demandaient à leur université de cesser tout commerce avec l’orientation ségrégationniste de BGU.

 

La réunion du Conseil de UJ s’est tenue aujourd’hui, il s’avère que plus de 400 enseignants sud africains, comprenant neuf Vice-Chancelliers et Adjoints, avaient signé la pétition de l’UJ.

Dans la liste des signataires, on trouve les noms des grandes figures du théâtre des idées sud africain : Les professeurs Neville Alexander, Kader Asmal, Allan Boesak, Breyten Breytenbach, John Dugard, Antjie Krog, Barney Pityana and Sampie Terreblanche. Le dessinateur populaire sud africain Jonathan « Zapiro » Shapiro.

Le lauréat du prix Nobel Desmond Tutu, L’Evèque Rubin Phillips, l’ancien ministre Ronnie Kasrills et le leader de la lutte pour les droits sociaux Zackie Achmat, ont aussi soutenu la campagne.

 

De plus, plus de 100 internationaux ont commencé de manifester leur soutien, parmi eux, plusieurs intellectuels internationaux de premier rang : les professeurs Judith Butler, Vijay Prashad, Michael Burawoy, Wendy Brown, Ernesto Laclau, ainsi que l’auteur nominé John Berger.

 

Aujourd’hui UJ a écrit une page d’histoire en réaffirmant et en promouvant l’intégrité morale de l’université.

 

Les palestiniens, les Sud-Africains ainsi que la communauté universitaire internationale célèbre cette victoire historique que constitue le refus de l’apartheid israélien et le soutien pour la liberté, la dignité et la justice pour le peuple palestinien. L’UJ poursuit son mouvement anti-apartheid - contre l’Israël de l’Apartheid.


Rédigé par le groupe de travail sur le BDS. (Afrique du Sud)

 

 

 

 

 

 

 

 

source : http://www.info-palestine.net/artic...

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 09:10

 

 

....SIMPLEMENT PARCE QU'IL PENSE ET S'EXPRIME DIFFEREMMENT....

 

ALLEZ CHICHE...Faites-vous votre propre opinion!!!!

 

 

Kadhafi face au lobby Américano-sioniste...

Une autre vision des événements...minoritaire

celle-là...et que vous n'entendrez jamais en regardant la TV ou en parcourant vos journaux habituels....

 

 

 

 

 

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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

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AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

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PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

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YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

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ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

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TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

nouveau-drapeau-francais

 

Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

________________________________________________________________________________

 

 

 

Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


Catégories

LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

dr-aafia-siddiqui-bush-terrorism