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Qui, Suis-Je

  • : Le blog de Hadria RIVIERE
  • : "Une conscience aigue de Soi et de l'Autre permet d'ouvrir les portes de la liberté..." Hadria RIVIERE
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FEMMES REBELLES...

undefinedDAHYA…DAHIYA….DIHYA…KAHENA… (.. ?-700). 
 
http://www.berberescope.com/l'histoire_des_Berberes_yahoo.htm


FATMA TAZOUGHERT DITE LA ROUGE (1544-1641)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fatma_Tazoughert


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LALLA FATMA N’SOUMER (1830-1863) -DITE LA JEANNE D'ARC DU DJURDJURA
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FADHMA AIT MANSOUR AMROUCHE (1882-1967)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fadhma_A%C3%AFt_Mansour_Amrouche

 

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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 15:29

 

 

Le Vietnam , l'Irak et la Palestine le mal commun -

http://www.youtube.com/watch?v=7h1SPMKkrM0


EN IRAQ  

 

 

Dans une DEMOCRATIE digne de ce nom, seul le peuple est et reste souverain,


Il appartenait donc, au seul peuple Irakien de se débarrasser de son oppresseur si, tel était sa volonté,

 

Cet oppresseur que, justement les gouvernements occidentaux, usionistes successifs n’ont eu de cesse de soutenir…dans ses entreprises mortifères, destructrices, envers une partie de son peuple…envers le peuple d’Iran…


Car qui, avait intérêt, pour affaiblir l’Iran, de manigancer, d’encourager, de financer Saddam Hussein afin qu’il déclare la guerre à l’Iran :

En 1979, une république islamique s’installe en Iran. À partir de ce moment, les relations se détériorent.

 

Le 30 novembre 1979, le gouvernement iraquien demande une révision des les traités signés en 1975, ce qui lui est refusé par le gouvernement iranien.

 

En 1980, le régime baasiste de Bagdad prend l’initiative militaire: il veut récupérer le Chatt al-Arab et le Khouzistan iranien.

 

De plus, il veut mettre un point final à la révolution islamique, qu’il juge prête à tomber.

Saddam Hussein, voyant que l’armée de l’Iran est affaiblie par la révolution islamique, en profite pour déclencher la guerre, le 17 septembre 1980. Contrairement à ce que pense Saddam Hussein, l’Iran offre une résistance surprenante, et une guerre de tranchée de huit ans s’engage.

 

….(…)… Le conflit Iran-Irak ne s'inscrit pas dans le cadre Est-Ouest, car chacun des deux pays a des alliés et des ennemis dans un camp ou dans l’autre.

 

Paris et Moscou appuient Bagdad, en leur fournissant des armes, tandis que Washington fait de même pour la République islamique.

 

Le 20 juillet 1987, l’organisation des Nations unies –ONU- exigent que l’Iran et l’Irak cessent le feu, retirent leurs troupes de parts et d’autres des frontières internationalement reconnues.

 

Après un premier refus des deux pays, l’Iran, épuisé militairement, accepte le cessez-le-feu le 18 juillet 1988.

 

Le 15 août 1990, Saddam Hussein accepte de revenir aux accords d’Alger de 1975: il libère les prisonniers de guerre et quitte les territoires occupés. La boucle est bouclée :

 

des centaines de milliers d’hommes sont morts inutilement.

 

Le traité de paix est finalement signé le 20 août 1990,

selon les conditions iraniennes.

 

…(…) Au total, les dépenses militaires, pertes en produit intérieur brut et capitaux non investis, auraient dépassé 500 milliards de dollars pour les deux pays.

 

L’Iran estime officiellement à 300 milliards le prix de la reconstruction de son économie.

 

L’Irak, pour sa part, l’évalue entre 50 et 60 milliards de dollars.

 

On peut estimer la perte de vies humaines à plus de

1 200 000 morts, ce qui est très élevé pour un conflit régional.

 

 

Pour en savoir davantage sur ce conflit là :

 

http://le.cos.free.fr/iran-irak.htm

 

http://www.iran-resist.org/ir357

 

Membre original du pacte de Bagdad, en 1955, l'Irak entretient des relations étroites avec l'Occident avant le coup d'État du général Abd al-Karim Kassem, en 1958.

 

Il quitte rapidement le pacte de Bagdad et conclut une entente de défense avec les pays de la
République arabe unie (RAU).


Rendus inquiets par la proclamation de la République islamique iranienne, en 1979, les dirigeants irakiens s'en
gagent avec elle dans un conflit coûteux -1980-1988-.


Il incite le président Saddam Hussein à envahir le Koweït, en 1990, pour compenser les pertes encourues.

 

Ce geste lui attire les représailles d'une coalition internationale qui chasse les troupes irakiennes. L'Irak reste un État isolé au cours des années 90.

 

Ses hésitations à se soumettre au contrôle des inspecteurs de l'Organisation des Nations unies (ONU) chargés d'évaluer son potentiel nucléaire, se soldent en 2003 par l'invasion du pays par une force américaine et britannique.

 

L’IRAQ, en quelques dates et, avant la guerre, les massacres, le génocide, la colonisation de la sangsue Usioniste et de ses complices européens là :

 

http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMPays?codePays=IRQ

 


________________________________________

La sale guerre de Bush, des Usionistes et de ses alliés Européens

 

L’IRAQ…s’est transformé en :

 

Champs de ruines,  de batailles où s’amoncellent les cadavres d’enfants, de femmes, de vieillards…,

Terrains d’expérimentation pour les bombes made in Usionistes, dévastatrices,

 

Un endroit où les usionistes et leurs complices européens, s’adonnent à la violence, aux massacres, à la destruction du berceau de l’humanité, à seul fin de voler,  de spolier le peuple Irakien de ses  matières premières…


Et, pour justifier, ces vols, ces spoliations, ces massacres etc.… les Usionistes et leurs complices Européens les  revêtissent  des oripeaux d’une soi-disant  « démocratie" aux odeurs, nauséabondes fascistes de supériorité de race
et de religion.


 L'idéologie sur laquelle leur copain Adolphe Hitler avait, déjà, voulu "DOMINER LE MONDE" !



Si, c’est cela, le visage, de la « démocratie a la sauce usioniste /occidentale » ; nous ne pouvons que, leur conseillons de se la garder….

Et, surtout de nous en préserver !!!

 

Grâce aux Usionistes et à leurs complices européens,
l'IRAQ, est devenu :


Le lieu, où la résistance, comme en Palestine, en Afghanistan s’organise… lutte, tue, désorganise, cherche, à empêcher les colonisateurs : 

 

La coalisions made usioniste/occidentale, de s'installer, 

Et, cela quelque soit le prix, en perte humaine, à payer…

 

Parce que, la liberté, la souveraineté d’un peuple, l’indépendance d’un pays…sont des principes, des valeurs, inestimables…

Plutôt mourir libre et debout que, vivre asservit, soumis, aux humiliations, dégradations de la colonisation Usioniste/occidentale !!!!

 

 

GUERRE EN IRAQ ou QUAND LES USIONISTES ET LEURS COMPLICES EUROPEENS IMPOSENT AU PEUPLE IRAKIEN LA "PSEUDO DEMOCRATIE"DEMOCRATIE, VERSION OCCIDENTALE .... :

AGONIE D'UNE NATION :

http://www.dailymotion.com/search/IRAK/video/x4whbm_irak-agonie-dune-nation_news

:



"LA PSEUDO-DEMOCRATIE" USIONISTE/OCCIDENTALE :

Début 2004, le monde entier découvre avec stupéfaction les photos qui prouvent les mauvais traitements et les infamies dont ont été victimes des prisonniers iraquiens détenus à la prison américaine d'Abu Ghraib.

Pendant deux ans, Errol Morris a enquêté
pour découvrir ce qui s'est vraiment passé là-bas durant l'automne 2003.

Grâce aux photos prises par les soldats, aux témoignages de plusieurs spécialistes et de personnes parfois directement impliquées dans cette affaire, Errol Morris a reconstitué la chronologie des faits et étudié le contexte qui a conduit à ces extrémités.

Interview après interview, photo après photo, l'affaire des tortures d'Abu Ghraib prend une dimension bien plus vaste et beaucoup plus dérangeante que celle brossée par les médias.

Même si les soldats pris en photo en train d'humilier et de torturer les prisonniers iraquiens ont été condamnés, étaient-ils les seuls coupables ?

Pourquoi aucun gradé n'a-t-il jamais été mis en cause ?

Qui est vraiment responsable ?


ABOU GHRAIB- PARTIE I SUR 7

http://www.dailymotion.com/search/ABOU%252BGHRAIB/video/x761x1_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE II SUR 7

http://www.dailymotion.com/search/ABOU%252BGHRAIB/video/x762k7_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE III SUR 7

http://www.dailymotion.com/playlist/xtwmb_zingaqs160_abou-ghraib/video/x7632t_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE IV SUR 7

http://www.dailymotion.com/playlist/xtwmb_zingaqs160_abou-ghraib/video/x7632t_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE V SUR 7

http://www.dailymotion.com/playlist/xtwmb_zingaqs160_abou-ghraib/video/x765om_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE VI SUR 7


http://www.dailymotion.com/playlist/xtwmb_zingaqs160_abou-ghraib/video/x765u6_abou-ghraib-standard-operating-proc_news

PARTIE VII SUR 7

http://www.dailymotion.com/playlist/xtwmb_zingaqs160_abou-ghraib/video/x76605_abou-ghraib-standard-operating-proc_news


Ces films, se suffisent à eux-mêmes....pour signifier l'horreur de l'occupation, les abominations perpétrées parles colonisateurs....

Aucun mot, aucune phrase ne pourra JAMAIS, restituer, fidèlement, ne pourra exprimer, exactement la colère, la révolte, la rage, la répulsion.... de la berbère, de l'arabe que je suis, née en Algérie, occupée, colonisée par la français et, qui, a connu la guerre, les massacres, la déportation, l'enfermement etc...enfant,

Et, qui revoient les mêmes scènes, les mêmes comportements dévastateurs, en Palestine- à Gaza, en Afghanistan, en Iraq... toujours sous-tendus par la même idéologie raciste et dégénérée que, celle qui, a prévalu, pendant 130ans, sous la colonisation française de l'Algérie

 

En  durant la guerre d'Algérie  pendant plus de 8 années...

Et, vous les occidentaux, vous les usionistes vous,

 vous, auto-affirmez "civilisés"...
Laissez-moi rire... !!!!

Vous n'êtes qu'une bande de maffieux sans cœur et surtout grandement handicapés des neurones...
Et, c'est peu dire... !!!

 

Car, comment expliquer  ces incessantes répétitions ??????

C’est là, pour l'instant, ce que je suis en mesure,

 
C'est là, ce que je suis capable de dire face à ces actes montrueux,
ces comportements de BARBARES   !!!!

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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 06:57


EN AFGHANISTAN :

UN PORTRAIT DE L'AFGHANISTAN EN 1965

Carrefour de l'Asie sur la route de la soie, nation de nomades, de cultivateurs et d'artisants, en 1965 l'Afghanistan et ses multiples ... éthnies comptent sur la toute nouvelle constitution pour accélérer leur entrée dans le concert
des nations....


Ils étaient une fois l'Afghanistan

...Entre temp,la guerre  est passeé par la, "les  Usionistes et leurs complices Européens et, une fois, encore la France- l'Algerie n'ayant pas étè une leçon mortifiére,  suffissante - colonisateurs, Genocidaires  réglent leur compte  sur le dos du peuple Afghan et, cherchent à s'approprier l'Afghanistan, comme aux beaux temps des conquêtes coloniales et, tout cela sous des pretexte fallacieux, de " chasse aux terroristes...
Alors, que nous,connaissons depuis longtemps les veritables noms  des terroristes : les gouvernants usionistes/europé/Arabos/collabos!!!!


L'Afghanistan, aujourd'hui  : Une Guerre, Une Extermination,  Une Occupation, Une Colonisation ...

SOUVENONS-NOUS :


« La visite précipitée de Nicolas Sarkozy à Kaboul a fait apparaître les Français comme des faibles aux yeux des Talibans »

Bakchich a également rencontré un officier français spécialiste de l’Afghanistan qui souhaite conserver l’anonymat.

 

Il revient de ce pays où des combattants talibans lui ont raconté comment ils perçoivent les troupes françaises et leurs bombardements.

 

Comment les Talibans voient-ils les troupes étrangères présentes en Afghanistan dans le cadre de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) ?

 

Les Talibans se considèrent du côté du bien et estiment que les forces étrangères se comportent en barbares. Surtout les Américains.

 

Par exemple, ils ne comprennent pas que ces derniers ne procèdent pas à des échanges de prisonniers, ce que les Talibans avaient l’habitude de faire dans le passé.

 

La doctrine de guerre de l’administration Bush les considère en effet comme des terroristes et non comme des soldats.

 

Les Talibans se plaignent aussi que les Américains torturent leurs prisonniers alors qu’eux-mêmes affirment qu’au nom de l’Islam, ils n’ont pas – et ne peuvent pas avoir – recours à ces pratiques.

Enfin, ils perçoivent avec le plus grand mépris les bombardements de ce qu’ils appellent les « forces occupantes ».

 

Pour eux, le combat d’homme à homme est une vertu masculine. Le bombardement qui tue sans discernement est considéré comme une pratique injuste.

 

Justement, l’armée française bombarde régulièrement leurs positions.
Quel impact cela a-t-il sur la perception qu’ont les Talibans des soldats français ?

 

La seule chose que les Talibans disent des Français est :

« ils bombardent ».

 

Ce qui, à leurs yeux, nous place moralement du mauvais côté.

 

On est donc loin de l’image des Français qui nous est restituée par les grands médias nationaux faisant l’éloge de la « French touch » et du comportement humain des soldats sur le terrain ainsi que dans les villages afghans.

 

Aujourd’hui, les Talibans ne font plus aucune différence entre les Français présents en Afghanistan avec des armes et ceux présents sans armes, comme les humanitaires.

 

Ils se disent que dans les deux cas de figure ce sont des étrangers qui les occupent.

 

Selon vous, comment a été interprétée la visite de Nicolas Sarkozy en Afghanistan après le décès de dix militaires français au cours d’une attaque talibane le 18 août dernier ?


La visite précipitée de Nicolas Sarkozy à Kaboul leur a fait apparaître les Français comme les faibles ou le ventre mou de la coalition internationale présente en Afghanistan.

 

Ce qui ne peut que les inciter à concentrer désormais sur eux leurs attaques.

 

Lire ou relire dans Bakchich :

 

Afghanistan, cette guerre qui ne dit pas son nom

 

Alors que l’émotion est encore vive quatre jours après le décès de dix soldats français en Afghanistan, la communication politique a repris le dessus.

 

Elle ne brille pas par son honnêteté.

Décryptage.

 

LIEN SOURCE :

 

http://www.bakchich.info/article4778.html


TERRORISMES ET CONTRE-TERRORISMES :

 

 Palestine, l'Irak, Afghanistan

 -partie 1-

Gérard CHALIAND -né en 1934 à Bruxelles- est un

Géo-politologue et aventurier français.

 

Il est spécialiste de l'étude des conflits armés et des relations internationales.
Résumé
Naguère, le terrorisme était considéré comme une technique d'irréguliers pour forcer à des concessions politiques un adversaire beaucoup plus puissant et le contre-terrorisme était, en général, une affaire de police.

 

Avec la montée de l'islamisme radical, particulièrement à partir du milieu des années quatre-vingt dix lorsque les Etats-Unis et ses alliés au Moyen-Orient sont désignés comme ennemis, la négociation n'est plus de mise.

 

L'affrontement, comme l'a montré le 11 septembre 2001, est désormais dénué de toute préoccupation tendant à une solution négociée.

 

En réponse, le contre-terrorisme ne se contente plus d'être une activité policière mais cherche à frapper l'adversaire ou ses alliés réels ou supposés dans leurs citadelles.

 

Ainsi de l'Afghanistan, et plus récemment, de façon machiavélienne, de l'Irak.

 

L'exposé cherchera, de 1968 à nos jours, à dégager les grandes lignes du phénomène terroriste de la Palestine à l'Irak, en essayant d'en dégager surtout les enjeux politique.

 





PARTIE II


PARTIE III


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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 08:32

OAS-

Algérie -

En métropole comme en Algérie, des extrémistes français reprirent à leur compte les méthodes du FLN algérien et multiplièrent les attentats aveugles contre les innocents sous l'emblème de l'OAS -Organisation de l'Armée Secrète.
Comme beaucoup de militaires de sa génération, Jean Bastien-Thiry ne comprit pas les revirements du général de Gaulle.
Il les interpréta comme autant de trahisons à l'égard de la Nation, des Français d'Algérie et des musulmans fidèles à la France.
Refusant l'inéluctable, il se convainquit que le Général était un obstacle à la restauration de la grandeur de son pays.

C'est ainsi que sous l'égide d'un mouvement clandestin, le Conseil National de la Résistance -CNR- de Georges Bidault, il organisa un attentat contre le cortège du Président.

Lire la suite là :

http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=19630311


De la torture pendant la guerre d'Algérie

MAURICE AUDIN A ETE TORTURE PAR DES SOLDATS DE L’ARMEE FRANCAISE :


"Josette AUDIN  portera plainte plusieurs fois mais à chaque fois elle se heurtera aux lois d’amnistie de 1962 et 1968 : “Sont amnistiés de plein droit toutes infractions commises en relation avec les événements d’Algérie”. Malgré les enquêtes et les suspicions (-e général Aussaresses a évoqué le cas Audin lors de son procès-, la justice française considère toujours que Maurice n’a pas été assassiné mais qu’il a disparu après s’être évadé.


Il reste à l’Etat français à assumer cette histoire et à reconnaître enfin l’emploi de la torture par notre armée pendant la guerre d’Algérie...."
 

http://www.dailymotion.com/search/guerre%252Bd%252527%252Balgerie%252Btorture/video/x5w37m_guerre-dyalgerie-et-tortures-audin_news

 


Voir suite article:

http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=18449

http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=fulltext&full=Alg%E9rie&cs_page=224&cs_order=0&num_notice=1571&total_notices=2697


Et oui tout était bon pour que l'Algérie ne voit jamais l'indépendance... La torture même sur ses citoyens dites de "souches" était usée
 
 L'usage de la torture en Algerie


http://www.dailymotion.com/search/guerre%252Bd%252527%252Balgerie%252Btorture/video/x6swha_guerre-dalgerie-temoignage-torture_news

Les viols pendant la guerre d'Algérie

 


 AUJOURD'HUI, EN PALESTINE, IRAQ, EN AFGHANISTAN...LA GUERRE, LA COLONISATION, LA DEPORTATION, L'EXTERMINATION, LA TORTURE...- COMME HIER EN ALGERIE :


PARTIE II :

A) EN PALESTINE :

GUERRE...MASSACRES...EXTERMINATION DU PEUPLE DE PALESTINE,
COLONISATION DE LA PALESTINE PAR L'IDENTITE SIONISTE  :

Palestine - Dessous Des Cartes - Jerusalem
 



Palestine avant 47 :
Comment, l'identité sioniste s'est emparée de la palestine
http://www.youtube.com/watch?v=VQ8iecvWw6o

Palestine histoire d'une terre 1880 1950-PARTIE I

http://www.youtube.com/watch?v=ZGzWbtiT-28

Palestine histoire d'une terre 1880 1950-PARTIE II

http://www.youtube.com/watch?v=px2_L0GuSWI

Palestine histoire d'une terre 1880 1950-PARTIE III

http://www.youtube.com/watch?v=SLsQ7bQDebk

Palestine histoire d'une terre -1880-1950
Partie V

http://www.youtube.com/watch?v=kcHrd2yH4ww

Palestine histoire d'une terre-1880-1950
Partie VI

http://www.youtube.com/watch?v=Dt9yf9ytjL4

Les arabes declarent la guerre contre israel
sommet des etats arabes en 1973 en algerie,sous la pression du president algerien Houari Boumediene,les etats arabes décident d'utiliser le petole comme arme contre l'occident.
http://www.dailymotion.com/search/guerre%252Bd%252527%252Balgerie/video/x81v6w_les-arabes-declarent-la-guerre-cont_news

Clash un Sioniste du Crif VS Historien Israélien

http://www.dailymotion.com/search/musique%252Bkabylie/video/x8d3cd_debat-sand-vs-sioniste-sur-les-elec_news
Chantage a l'antisemitisme :

http://www.dailymotion.com/playlist/xtz38_fusionfroide_leffet-sionisme/video/x88xov_chantage-a-lantisemitisme_fun

Les propagandistes sioniste démasqué

http://www.youtube.com/watch?v=Fxms3qCZVqE

MICHEL COLLON MASSACRE LES SIONISTES, ISRAEL ET LES USA

http://www.dailymotion.com/search/sionistes/video/x7on4o_michel-collon-massacre-les-sioniste_news

Un texte édifiant de B. Michaël, juif pratiquant et éditorialiste du Yediot Aharonot, après qu'on eut découvert que les soldats israéliens numérotaient les bras des Palestiniens arrêtés.

De marqué à marquant

En soixante courtes années - de marqué à marquant et numérotant;

En soixante ans - d'enfermé dans des ghettos à enfermant;

En soixante ans - de dépossédé à dépossédant;

En soixante ans - de celui qui défile en colonne les mains en l'air, à celui qui fait défiler en colonne les mains en l'air;

En soixante ans - d'écrasé au nom d'un nationalisme cruel, à celui qui écrase au nom d'un nationalisme cruel;

En soixante ans - de victime d'une abjecte politique de transfert, au soutien de plus en plus enthousiaste à une abjecte politique de transfert;

En tout et pour tout soixante ans, et nous n'avons rien appris.

Rien intériorisé.

Nous avons tout oublié....
Et,
Pour que, nous DEMOCRATES, Republicains, nous ne puissions PAS... OUBLIER :



http://www.dailymotion.com/search/GAZA%252BVARSOVIE/video/x8a0iy_du-ghetto-de-varsovie-a-celui-de-ga_news

http://www.dailymotion.com/search/GAZA%252BVARSOVIE/video/x82tlv_ghetto-de-varsovie-ghetto-de-gaza_webcam



Ghetto de Varsovie Ghetto de Gaza

Et, pour qu'au nom des valeurs et principes d'humanité nous ne puissions JAMAIS OUBLIER...

PIQURE DE RAPPEL :

http://www.dailymotion.com/search/GAZA%252BVARSOVIE/video/x4xswm_est-ce-encore-possible-en-2008y_news

D'autres et nombreuses similitudes entre les comportements des NAZIS d'hier et, des sionistes d'aujourd'hui  !

GENOCIDE A GAZA- DECEMBRE 2008, DEVANT LES PEUPLES DE LA PLANTE, AVEC LA COMPLICE ACTIVE DE GOUVERNANTS AMERICANO-EUROPEENS ET LES COLLANOS ARABO/SIONISTES :
Les dirigeants arabes sont des traîtres!

http://www.dailymotion.com/search/Massacre%252Bgaza/video/x7uz9t_les-dirigeants-arabes-sont-des-trai_news

Massacre de 4 enfants d'une même famille à Gaza

http://www.dailymotion.com/search/Massacre%252Bgaza/video/x7ygig_massacre-de-4-enfants-dune-meme-fam_news


http://www.dailymotion.com/search/%25255B%252Bau%252Bnom%252Bde%252Bla%252Bfamille%252B%25255D/video/x84yix_oradoursurgaza-une-rescapee-de-zeit_news


VARSOVIE, HIER,
PALESTINE DEPUIS 60 ANS:
 
SEUL CHANGENT LES NOMS DES
CRIMINELS, DES BOURREAUX, DES GENOCIDAIRES
ET,
CELUI DES VICTIMES DES COLONISES  CHANGENT....
LES METHODES SONT LES MEMES!!!!!




PARTIE II

GUERRE, MASSACRES, TORTURES, COLONISATION EN AFGHANISTAN

PAGE SUIVANTE ....

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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 08:13
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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 20:51

IMPERIALISME  ?

 

 http://www.monde-diplomatique.fr/index/sujet/imperialisme

 

COLONISATION/DECOLONISATION :

Colonisation, action par laquelle des territoires sont occupés et exploités par un pays étranger dont ils dépendent politiquement, voire économiquement.

Le fait colonial est l'une des données majeures de l'époque contemporaine.


Bien qu'à l'heure actuelle il n'existe officiellement plus de colonies, les effets des politiques de la colonisation se font encore sentir et le débat sur le colonialisme demeure d'actualité.

C'est avec l'expansion de l'Europe au XIXe et au XXe siècle que la politique coloniale se développa dans toute son ampleur.


Pourtant, l'acquisition de colonies n'était pas alors un phénomène nouveau.

Les premiers empires de l'époque moderne s'étaient en effet développés dès le XVe siècle, et les cités grecques avaient créé dès l'Antiquité un certain nombre de colonies, même si ce phénomène présente peu de similitude avec le vaste mouvement qui se produisit par la suite.


Il est particulièrement significatif de constater que, si des situations de dépendance d'une région et d'un peuple vis-à-vis d'un autre pays ont pu être observées sur divers points du globe et à des époques extrêmement variées, le phénomène de colonisation proprement dit fut l'œuvre des seuls États d'Europe occidentale.

 

La suite là :

 

 

http://www.afcam.org/Doc_illustration/Colonialisme/NAISSANC.htm

HIER, LA COLONISATION DE L’ALGERIE =

 

DEPORTATION, EXTERMINATION, ENFERMEMENT….

 


Le Dessous Des Cartes - Algérie - La Colonisation Française





ALGERIE - Les Auschwitz de la France en Algerie

 

La Guerre d'Algérie 1-20-1972 -

http://www.youtube.com/watch?v=SbuyDNhVRb8


La Guerre d'Algérie 2-20 -1972-

http://www.youtube.com/watch?v=PPtGOuj7-N0

La Guerre d'Algérie 3-20 -1972-

http://www.youtube.com/watch?v=QacaQVQYodk&feature=related



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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 20:08


Une Coopération Militaire et Sécuritaire Inde-Israël Coûteuse en Vies Humaines et Facteur d'Instabilité Régionale

 

L'Inde a développé une coopération étroite militaire et sécuritaire avec Israël.

Abandonnant sa position de pays non aligné, elle s'est également inféodée à Washington.

 

En faisant appel à l'armée israélienne et à ses forces spéciales clandestines pour solutionner militairement ses problèmes au Jamnu et au Cachemire et avec le Pakistan, elle risque de le payer très cher comme l'ont prouvé les attaques de Mumbai

 

Une Coopération Militaire et Sécuritaire Inde-Israël Coûteuse en Vies Humaines et Facteur d'Instabilité Régionale


Le mot terrorisme étant de plus en plus utilisé pour tout mouvement de contestation aux pouvoirs en place nous le mettons entre guillemets, idem pour le mot "contre terrorisme" souvent utilisé pour des opérations de contre insurrection contre les mouvements indépendantistes ou de libération, sous la forme notamment d'opérations menées par des escadrons de la mort pour assassiner les opposants.

 

Dans ces opérations on retrouve souvent des mercenaires israéliens, anciens soldats des unités d'élites de l'armée israélienne, que ce soit en Colombie, en Georgie, en Irak, et au Cachemire/Inde, et peut être demain au Jamnu et au Pakistan

Le jeudi 27 Novembre, pendant les attaques de Mumbai, Imran Babar, l'un des attaquants du Centre Shabad- Loubavitch, -Centre Nariman- a appelé la TV nationale indienne utilisant le portable du co directeur du centre, le rabin Gavriel Holtzberg, qui a été tué ainsi que sa femme Rivka lors de l'assaut des forces spéciales indiennes.

 

Babar a fait un commentaire pouvant surprendre bon nombre de gens.

" Vous avez demandé aux personnel de l'armée israélienne de visiter le Cachemire. Qui sont-ils pour venir au J&K-(Jamnu et Kashmir- ?

C'est un problème entre nous et les Indiens, le gouvernement indien.

Qu'est ce qu'Israël a à voir là dedans ?"

Les médias se sont bien gardés de rapporter ces paroles qui pourtant expliquent en partie pourquoi le centre Nireman - qui accueillait un grand nombre de routards israéliens, souvent fraîchement démobilisés, venant y "oublier" leurs crimes, en quête de spiritualité - a été pris pour cible.

 

Depuis une quinzaine d'années, les jeunes Israéliens, sitôt leur service militaire terminé, vont se "ressourcer" suivant un parcours balisé, allant des montagnes du Ladakh aux plages de Palolem en passant par Dharamsala et Rishikesh, et New Dehli, plus précisément à Pahar Ganj, où on trouve de nombreux panneaux inscrits en hébreu, mais aussi à Mumbai.

Au milieu des années 2000, Daria Maoz, une anthropologue israélienne, a publié une thèse sur les routards israéliens en Inde.

 

Le tableau sans concession qu'elle dressait de ses compatriotes avait suscité une vive polémique :

 

Attitude "néo-coloniale", vie en circuit fermé, comportements bruyants et surtout mépris vis-à-vis des populations locales traitées comme des domestiques.

Si le grand public, tenu dans l'ignorance, ne comprend pas grand chose aux palabres de Babar, il n'en va pas de même à Hakirya, le "Campus" du haut commandement israélien, et au Bloc Sud, qui héberge les ministères de la défense et des affaires extérieures indiennes

 

En fait, ce a quoi il faisait référence ce sont les liens croissants militaires et sécuritaires entre l'Inde et Israël.

.Le 10 Septembre 2008, le Gl Avi Mizrahi, haut gradé de l'armée israélienne s'est rendu à New Dehli.

 

Il y a rencontré les chefs des forces armées aériennes, navales et terrestres indiens, avant de s'envoler pour une courte visite à Jamnu et au Cachemire.

 

Mizrahi, réputé pour son expérience militaire, a fait une conférence devant des hauts officiers de l'armée indienne sur la base militaire d'Akhnur, près de la frontière Indo Pakistanaise, sur le thème du "contre terrorisme."

 

-Le choix de ce lieu n'est pas du au hasard, voir information en fin d'article-.

 

Plus tard, à Shrinagar - capitale du Cachemire occupé par près d'un million de soldats indiens - Mizrahi et son homologue indien, Deepak Kapoor, se sont mis d'accord pour mener conjointement des activités de "contre terrorisme" incluant l'entraînement par des commandos israéliens de soldats indiens aux combats urbains.

La visite de Mizrahi en 2008 n'a rien d'extraordinaire.

 

Il s'était déjà rendu en Inde en février 2007.

 

En juin 2007, un autre haut responsable militaire sioniste, le général israélien Moshe Kaplinsky accompagné d'une équipe de hauts gradés israéliens, avaient rencontré à Jamnu et au Cachemire des hauts gradés de l'armée indienne, aux quartiers généraux du 16ème Corps à Nagrota dans la région de Jamnu près de la frontière indo pakistanaise.

 

Lors de cette rencontre, l'équipe de Kaplinski a discuté des problèmes d'infiltration de militants du Pakistan en Inde.

 

Malgré les 720 Km de barbelés, les infiltrations continuent. Kaplinsky est venu pour vendre les techniques israéliennes high tech de surveillance frontalière.

 

Sur le chemin du retour en Israël, l'équipe de Kaplinsky a rendu visite au commandement indien de la marine stationnée à l'Ouest de Mumbai.

En Janvier 2008, en prolongement de ces contacts, un autre haut gradé israélien, le brigadier général Pinhas Buchis s'est rendu en Inde et a rencontré des hauts responsables civils et sécuritaires.

 

Ils ont discuté des moyens de partager les informations collectées par les services secrets des deux pays sur les activités dites "terroristes".

 

Une semaine après le retour de Buchis en Israël, c'était au tour de l'amiral en chef indien, Sureesh Mehta, de passer quelques jours à Jerusalem, où il a rencontré le chef d'état major de l'armée israélienne, Gabi Ashekenazi, et Buchis.

 

Entre 2007 et début 2008, les trois chefs d'état major des armées indiennes se sont rendues en Israël.

 

Ils l'ont fait dans le cadre d'un accord passé en 2002 entre Israël et l'Inde pour créer un groupe de travail conjoint Indo Israélien sur le "contre terrorisme", l'objectif étant d'instaurer une entente rapprochée entre l'armée indienne et l'armée israélienne et de consolider le vaste commerce d'armes entre les deux pays -L'Inde est actuellement le premier pays importateur d'armes israéliennes-.

 

On peut d'ailleurs s'interroger sur ces allées et venues entre New Dehli et Tel Aviv et toutes ces rencontres militaro sécuritaires en lien avec les attaques de Mumbei.

 

Ou bien cette coopération rapprochée est totalement inefficace ou bien....

Ce rapprochement New Dehli Tel Aviv remonte aux années 90, quand le Parti du Congres au gouvernement a commencé à démanteler l'état indien centralisé et dirigiste, et a abandonné la position neutre, non alignée qui avait prévalu en matière de politique étrangère.

 

Ce parti a estimé qu'il était temps de réévaluer les relations Inde US, dans le contexte de l'effondrement de l'Union Soviétique proche de New Delhi, et pour se faire à penser que le meilleur moyen c'était d'initier un rapprochement avec Tel Aviv.

 

Washington à l'époque était plus enclin à soutenir le Pakistan, et l'Inde a parié sur le développement de ses relations avec le régime sioniste pour se rapprocher des US.

En Janvier 1992, le gouvernement indien a reconnu l'état d'Israël.

Le mois suivant, le ministre indien de la défense de l'époque, Sharad Pawar, a appelé au développement d'une coopération indo israélienne en matière de "contre terrorisme".

 

Le directeur général de la police israélienne, Yaacov Lapidot, s'est rendu en Inde pour participer à une convention internationale de la police, et est rentré avec de bonnes nouvelles :

 

le gouvernement indien voulait bénéficier de l'expertise israélienne en matière d'opérations de "contre terrorisme".

A l'époque le porte parole du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahou, a dit au journal India Abroad (29/02.08) qu'Israël "avait développé une expertise pour s'occuper du "terrorisme" localement mais aussi internationalement, au niveau politique et légal, et serait heureux de partager celle -ci avec l'Inde".

 

Pendant les années de gouvernance du Parti du Congrés, le principal champ de coopération c'était celui de la vente d'armes, les achats massifs de l'Inde fournissant à Israël une stabilité dans ce domaine plutôt volatile.

Lorsque la droite indoue est arrivée au pouvoir à la fin des années 90, elle a intensifié la politique de libéralisation économique -instaurant même un ministère de la privatisation- et a fixé son attention sur l'Axe New Dehli, Washington Tel Aviv, considérant cete axe comme celui de trois puissances ayant un ennemi commun, ce qu'ils ont appelé le "terrorisme islamique", et qui allait devenir la nouvelle base stratégique de la politique étrangère indienne.

 

Les relations rapprochées entre le premier ministre israélien de l'époque, Benjamin Netanyahou, et L.K Advani -ministre de l'intérieur indien, un homme corrompu dirigeant de l'extrême droite indoue- ont pavé la voie à une collaboration intensive.

 

Advani a beaucoup d'admiration pour Netanyahou, dont le livre "Fighting Terrorism: How Democracies Can Defeat Domestic and International Terrorism" lui sert de guide en matière politique.

Il cite fréquemment des extraits de ce livre tels que : " une société libre doit savoir ce qu'elle combat", qui est " la montée en puissance du terrorisme islamique".

 

Advani a bâti sa politique de "contre terrorisme" sur les pratiques sionistes :

un mur à la frontière, des menaces de "poursuites chaudes" transfrontalières, rejet de négociations politiques, escalade de la rhétorique, limitation des libertés civiles et du respects des droits de l'homme lorsqu'ils s'agit de suspects d'actes d'insurrection.

 

Advani et Netanyahou refusent de faire la différence entre des groupuscules extrémistes souvent manipulés par des services secrets étrangers dont la CIA, et le Mossad, et les militants indépendantistes et mouvements de libération, tels ceux du Cachemire ou de Palestine.

 

Tous deux se réfugient derrière leur slogan du combat de la Démocratie contre le "Terrorisme", ceux défendant la Démocratie étant bien sûr les US, Israël, l'Inde, contre le "Terrorisme" islamique.

 

Une grossière simplification raciste, islamophobe et dangereuse.

Advani s'est rendu en Juin 2000 en Israël et lors d'une conférence à l'ambassade de l'Inde il y a exposé clairement sa position politique :

 

" Ces dernières années, nous avons du faire face à un problème sécuritaire interne croissant... nous nous inquiétons d'actes de terrorisme transfrontaliers lancés par des praxies du Pakistan.

 

Nous partageons avec Israël une perception commune du "terrorisme" comme étant une menace, encore plus lorsqu'elle est associée au fondamentalisme religieux.

 

Notre détermination mutuelle de combattre le "terrorisme" est à la base de nos discussions avec Israël, qui a la réputation de s'occuper de ces problèmes avec succès".

 

En Septembre 2000, Advani a invité une équipe d'experts israéliens en "contre terrorisme" à se rendre sur le terrain à Jamnu et au Cahemire.

 

Cette équipe dirigée par Eli Katzir, un aide du premier ministre israélien de l'époque, Ehud Barak, a réalisé une étude de faisabilité des besoins en matière sécuritaire militaire de l'Inde, et a suggéré qu'Israël fournisse une assistance.

 

Trois ans plus tard, l'Inde et Israël signaient un pacte militaire d'armement incluant une mission spécifique d'entraînement.

 

Des éléments de l'armée israélienne entraîneraient 4 bataillons de forces spéciales de l'armée indienne; d'autres bataillons apprendraient la pratique de la "guerre asymétrique" et travailleraient avec le commandement Nord au Cachemire.

 

Ce sont ces forces spéciales qui sont intervenues lors des attaques de Mumbai.

 

Il leur a fallu plusieurs heures pour arriver à Mumbai, car elles n'avaient pas d'avion spécial à leur disposition, et 3 jours pour venir à bout d'une dizaine d'attaquants.

 

Comme pour la guerre en Géorgie l'été dernier, où les soldats géorgiens, entraînés par des mercenaires israéliens, ont été rapidement mis en déroute, on ne peut que constater qu'à Mumbai là aussi "l'expertise israélienne" n'a pas été des plus performantes.

Ce qui n'empêche pas l'Inde d'avoir demandé à Israël de l'aider dans la planification d'opérations transfrontalières dites de "contre terrorisme" au Pakistan.

 

La décision du gouvernement indien de mener ce genre d'attaques en territoire pakistanais viendraient en représailles aux attaques de Mumbai.

 

L'Inde a demandé l'assistance d'Israël car les forces spéciales clandestines israéliennes ont une expérience hors pair pour comploter et exécuter ce genre d'action, et surtout elles sont réputées pouvoir s'en tirer sans laisser de trace.

 

Hors le gouvernement indien veut que ces opérations commandos au Pakistan soient ciblées précisément et exécutées de façon à permettre à New Dehli de nier toute implication.

 

Les zones visées au Pakistan:

1) Le Cachemire pakistanais et ses camps d'entraînement

2) le Punjab à l'Est bordant la frontière du Nord de l'Inde

3) La côte sud du Pakistan allant de Karachi au Nord jusqu'à Gwadar près de la frontière iranienne.

Il va sans dire que si l'Inde donne son feu vert à de telles opérations par les commandos israéliens, elle sera immédiatement accusée par le Pakistan, et la situation risque rapidement de dégénerer en guerre ouverte entre les deux pays élargissant la zone d'instabilité régionale.

Si actuellement le gouvernement de New Dehli hésite à s'embarquer dans une telle aventure, les prochaines élections en Inde risquent de voir revenir au pouvoir Advani et son parti d'extrême droite nationaliste indou.

 

De même, en Israël, les prochaines élections risquent également d'amener au pouvoir Netanyahou et les fascistes qui pullulent dans son parti le Likoud.

 

Advani et Netanyahou n'hésiteront pas à avoir recours à ces opérations clandestines contre le "terrorisme islamique", avec toutes les conséquences désastreuses que cela implique.

 

Obama à la Maison Blanche donnera son feu vert à de telles opérations puisqu'il s'est déjà prononcé pour étendre la guerre d'Afghanistan au Pakistan dans le cadre d'opérations ciblées transfrontalières US/OTAN.

Pour une étude approfondie des relations Inde US Israël lire le livre : Namaste Sharon: Hindutva and Sharonism Under U. S. Hegemony, New Delhi: LeftWord, 2003.

de Vijay Prashad

 

Jeudi 25 Décembre 2008

Myriam Abraham

http://www.planetenonviolence.org/Une-Cooperation-Militaire-et-Securitaire-Inde-Israel-Couteuse-en-Vies-Humaines-et-Facteur-d-Instabilite-Regionale_a1762.html

 

 

 

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 19:47

...Au cœur du problème c'est que dans leurs efforts pour ouvrir des voies d'approvisionnement au Nord à travers l'Amu Darya, les US se retrouvent mêler au grand jeu en Asie Centrale.
Les portes paroles américaines ont affirmé avec insouciance que la Russie et des états d'Asie Centrale mettaient à disposition des voies d'approvisionnement.
Mais la géopolitique ne le confirme pas...

Pont dans le défilé de Khyber détruit par la Resistance Afghane

 

On peut penser qu'il n'y a rien de commun entre faire sauter un pont dans le Khyber, -Afghanistan ndlt- l'usage d'une base aérienne nichée au pied des collines du Pamirs -Kyrgyzstan ndlt- et le lancement d'un satellite de 37.2 kg en nocturne qui tournera autour de la terre 14 fois par jour.

Mais, assemblés, ces éléments déclenchent l'équivalent politique et diplomatique de ce qui est connu sous le nom de zwischenzug ce qui veut dire en terme de jeu d'échecs, un déplacement intermédiaire qui améliore la position du joueur.

Les Perses, qui ont inventé le jeu d'échecs dominent en ce qui concerne le zwischenzug.

Le porte parole du ministère des affaires étrangères, Hassan Qashqavi, a dit à Téhéran mercredi,

" l'Iran n'a pas de plan pour arrêter son activité nucléaire.

 

Lors de la rencontre à venir le comité des "Six sur l'Iran" devrait adopter une approche logique et accepter le fait que l'Iran est un état nucléaire".

 

Les Talibans ne jouent pas aux échecs

Il est peu probable que les Talibans aient envisagé le zwischenzug imminent de l'Iran quand ils ont fait sauter lundi le pont métallique de 30 m dans le défilé de Khyber à 24 km à l' Ouest de Peshawar dans le Nord Ouest du Pakistan, stoppant l'approvisionnement des troupes de l'OTAN en Afghanistan.

 

Mais la perturbation du trafic montre une nouvelle fois la vulnérabilité de la principale route d'approvisionnement de l'OTAN et concentre l'attention sur l'Iran.

Cela oblige l'OTAN à un important changement de politique.

Le commandant en chef des forces de l'OTAN en Afghanistan, le général John Craddock, a admis que l'Alliance ne s'opposerait pas à ce qu'individuellement des états membres s'arrangent avec l'Iran pour approvisionner leurs troupes en Afghanistan.

Pour citer Craddock, un général américain 4 étoiles qui est aussi le commandant suprême des forces alliées de l'OTAN, "ce seront des décisions nationales Les nations doivent agir en tenant compte de leurs intérêts nationaux et leur capacité à réapprovisionner leurs troupes. Je pense que la décision est entièrement la leur."

Craddock s'est fait l'écho de ce que le secrétaire général de l'Alliance, Jaap de Hoop Scheffer, avait dit il y a seulement une semaine que les pays membres de l'OTAN, inclus les US, devraient engager la discussion avec l'Iran pour qu'ils combattent les Talibans en Afghanistan.

Scheffer n'aurait pas parlé sans l'aval de Washington. Craddock n'a fait que le confirmer.

L'OTAN souhaite utiliser la nouvelle autoroute construite par le gouvernement indien qui relie le centre de l'Afghanistan à la frontière iranienne à Zaranj, ce qui permettrait d'avoir accès au port en eau profonde de Chabahar dans le Golfe Persique.

L'autoroute est peu utilisée.

Les Indiens ont achevé sa construction il y a à peine quinze jours.

L'OTAN est pressée.

Elle doit réduire d'une certaine façon sa dépendance aux voies d'approvisionnement via le Pakistan, utilisées pour acheminer en gros 80% du ravitaillement.

Les observateurs ne peuvent que constater l'ironie de la situation.

L'OTAN cherche une voie via l'Iran alors que Téhéran demande un retrait des troupes US d'Afghanistan.

Jeudi dernier, le ministre des affaires étrangères iranien, Manouchehr Mottaks, a fait remarquer que l'Iran avait prêté attention aux plans de l'administration du Président Barak Obama de retirer des troupes US d'Irak et "nous pensons que cela devrait de même s'étendre à l'Afghanistan".

L'ironie s'est accentuée lorsqu'il il a une quinzaine de jours le secrétaire à la défense US, Robert Gate, lors de son premier témoignage devant le Congrès en tant que membre de la nouvelle Administration, a mentionné une augmentation de "l'interférence" de l'Iran en Afghanistan et un double langage, et sous entendu que l'Iran exacerbait l'insurrection.

 

Le zwischenzug de la Russie

Au cœur du problème c'est que dans leurs efforts pour ouvrir des voies d'approvisionnement au Nord à travers l'Amu Darya, les US se retrouvent mêler au grand jeu en Asie Centrale.

Les portes paroles américaines ont affirmé avec insouciance que la Russie et des états d'Asie Centrale mettaient à disposition des voies d'approvisionnement.

Mais la géopolitique ne le confirme pas.

Le Président du Kyrgyzstan, Kurmanbek Bakiyev, a lancé une bombe mardi en demandant la fermeture de la base militaire US à Manas, utilisée pour convoyer du ravitaillement en Afghanistan.

Il a dit cela après des discussions avec le Président russe, Dmitry Medvedev, au cours desquelles Moscou s'est engagé à annuler la dette de 180 millions de $ de Bishkek, et à prêter également 2 milliards de $, avançant dans l'immédiat 150 millions de $.

L'envoyé de l'OTAN en Asie Centrale, Robert Simmons, s'est précipité à Bishek dans un dernier effort pour essayer d'empêcher la décision Kyrgyz, mais en vain, et a admis que cela aurait un impact négatif sur les opérations de l'OTAN en Afghanistan. Washington espère encore sauver la situation, mais cela implique faire appel à l'aide de Moscou.


Moscou est partant comme toujours - à condition que les US -et l'OTAN- soient prêts à ranger au placard leur agenda géopolitique mal venu d'étendre et d'approfondir leur présence stratégique en Asie Centrale sous prétexte de développer de nouvelles voies d'approvisionnement pour l'Afghanistan.

 

Simplement dit, Moscou est irrité par la diplomatie abrasive de Washington ces dernières semaines en Asie Centrale.

Les US ont signé un accord avec le Kazakhstan, un allié clé de la Russie, offrant de fournir "une part significative " de leurs approvisionnements pour l'Afghanistan à ce pays qui en retour devrait fournir des troupes pour l'Afghanistan.

C'est compréhensible que Moscou -et Beijing- voient avec inquiétude le rapprochement des US avec leur allié clé du SCO -Shangai Security Coopération Organisation- et du CSTO -Collective Security Traity Organisation- devenir un satellite stratégique de l'Occident.

 

De même, Le zwischenzug de Moscou pour évincer l'armée US du Kyrgyzstan bénéficierait, c'est sûr, de l'encouragement des Chinois. 

Nyet à un engagment selectif

Washington préfère un "engagement sélectif" sans considérer les facteurs sous-jacents qui ont causé un froid dans les relations.

Le Kremlin reste prudemment optimiste quant à la possibilité qu'Obama aborde les relations US Russie dans une nouvelle perspective.

Cela se reflète dans un commentaire piquant fait par Gorbatchev que " jusqu'à présent il y a des raisons d'être optimiste".

Mais un sentiment sous-jacent d'exaspération est visible. Comme l'a dit un commentateur de Moscou, l'époque de G.W. Bush est peut être terminée, mais les "conséquences sont encore présentes".

Obama a peut être de nouvelles idées, mais les "vieux qui tirent les ficelles" sont toujours là au sein de l'Administration dans des postes clés, et par conséquent, Obama aura peut être besoin d'années plutôt que de mois pour façonner une nouvelle politique étrangère.

Donc Moscou a eu recours au zwischenzug.

Samedi dernier, le journal influent de Moscou, Nezavisimaya Gazeta, a rapporté que la Russie a proposé de rouvrir la base aérienne clé de l'aire soviétique à Bombora sur la côte d'Abkhasie dans la Mer Noire.

Mardi, la Russie a signé un accord avec la Biélorussie pour la mise en place d'un système de défense aérien intégré.

Mercredi, Medvedev a utilisé le forum de CSTO pour rappeler qu'il était ouvert à une coopération avec les US dans la lutte contre le terrorisme en Afghanistan.

De même, lors de commentaires en lien avec cela, faits mercredi par le vice ministre des affaires étrangères russes, Frigory Karasin, celui-ci a dit :

" nous espérons que nous aurons avec les US des discussions spéciales et professionnelles sur ce sujet -des voies de transit pour l'Afghanista) dans le futur proche.

Nous verrons comment nous pouvons coopérer efficacement...

Les US, l'Asie Centrale, La Chine - nous avons tous intérêt à ce que l'opération anti -terroriste en Afghanistan réussisse." Karasin a assuré que l'éviction de Manas des US ne " s'avérerait pas être une obstruction".

En somme, la balle est dans le camp d'Obama.

La grande question c'est de savoir s'il peut écraser les partisans de la ligne dure et se défaire du lourd bagage géopolitique que sa guerre afghane en perte de vitesse porte inutilement.

Pendant ce temps, l'ombre des relations US-Russie tombe sur l'Hindou - Kush.

Les médias russes ont rapporté qu'une délégation militaire de haut niveau est attendue à Moscou dans le "futur proche".

 

Alors qu'il y a une forte possibilité qu'Obama retire son soutien au Président afghan, Hamid Karzai, Moscou va peser ses options.

Les US sont perchés au dessus d'une pente glissante en Afghanistan.

La résurgence des Talibans continue et la situation sécuritaire se détériore, mais l'OTAN est incapable d'augmenter le niveau de ses troupes ou d'évoluer vers une stratégie efficace.

Les voies d'approvisionnement de l'OTAN ont été menacées, mais des routes alternatives doivent encore être négociées.

Le fossé entre les US et Karzai s'élargit, mais catapulter un remplaçant à Kaboul n'est jamais chose facile.

De nouveau, Washington devrait faire pression sur Islamabad, mais la situation au Pakistan est bien trop fragile pour supporter plus de pression.

C'est avec cet arrière plan complexe que lundi le satellite de l'Iran a été lancé dans le ciel d'une nuit constellée d'étoiles.

Appelé, Espoir, son lancement a un effet démultiplicateur géopolitique. Des sonnettes d'alarme retentissent dans les capitales occidentales, compte tenu de la faible chance que l'Iran baisse la garde.

Le lancement peut être vu comme une prouesse technologique, ce qu'il est effectivement. Mais l' Espoir a envoyé un signal sérieux sur les capacités militaires de l'Iran.

Les experts estiment que la fusée à deux étages utilisée pour le lancement pourrait facilement transporter une petite tête nucléaire jusqu'à une cible située à 2500 Km.

 

Ce n'est peut être pas un missile balistique intercontinental, mais le Sud de l'Europe est à sa portée, de même que tout le territoire d'Israël.

Simplement dit, l'Iran a en main une dissuasion crédible contre une attaque militaire US-Israël.

L'attaché de presse de la Maison Blanche, Robert Gibbs, a décrit le lancement comme une "sérieuse préoccupation pour cette Administration".

Le ministre des affaires étrangères allemand, Frank-Walter Steinmeir, a dit après sa première rencontre avec la secrétaire d'état US, Hillary Clinton, " nous voulons aider en faisant en sorte que la main tendue par le Président Obama soit une main forte". Ce sont là des mots forts, pas de doute.

Mais un mot allemand est bien plus approprié - zugzwang. Littéralement, cela veut dire " obligé de bouger".

C'est à dire quand une situation se développe sur l'échiquier, que le joueur n'a d'autre possibilité que de bouger bien que cela affaiblisse sa position, mais qu'il doit néanmoins le faire.

C'est peut être trop s'avancer que de dire que Moscou et Téhéran ont coordonné leur zwischenzug respectifs, mais c'est sûr que les deux attendent ardemment le zugzwang de Washington.


LIEN SOURCE :


M.K. BHADRAKUMAR 06/02/09- Copyright

www.atimes.com

L'ambassadeur M.K. BHADRAKUMAR a été diplomate de carrière au sein du ministère des affaires étrangères indien. 
 

www.atimes.com

Il a été en poste notamment en Union Soviétique, en Corée du sud, au Shri Lanka, en Allemagne, Afghanistan, Pakistan, Uzbekistan, Koweït et Turquie.

Traduction Mireille Delamarre

 

 

http://www.planetenonviolence.org/Afghanistan-Moscou-Et-Teheran-Forcent-La-Main-a-Washington_a1814.html

 

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 16:47


Union Juive Française pour la Paix (UJFP) Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les dirigeants du CRIF


Les masques sont tombés et maintenant, ça suffit !

Vous n’avez absolument aucun droit de parler, ni en notre nom ni au nom de tous les nôtres qui ont été parqués dans les ghettos, assassinés dans les pogroms, anéantis dans les camps de la mort, mais qui aussi ont été de toutes les luttes, de celles de

l’ Internationale pour un monde meilleur à celles de la Résistance à l’envahisseur nazi, contre le colonialisme et pour la liberté, la justice, la dignité et l’égalité des droits.


Vous avez applaudi, encouragé les crimes de l’armée israélienne écrasant sous les bombes la population dans ce que vous appelez « entité hostile », réduisant en tas de gravats ses maisons, dévastant ses cultures, prenant pour cible les écoles, les mosquées, les hôpitaux les ambulances et même un cimetière….

Dès lors vous vous êtes placés dans le camp des tenants de l’apartheid, des oppresseurs et des nouveaux barbares , et le sang de leurs victimes rejaillit sur vous.

Ce faisant, vous avez perdu tout sentiment humain, toute compassion devant cette détresse, vous nous avez outragés et salis en assimilant tous les Juifs à des supporters d’une bande de criminels de guerre comme vous avez déshonoré la mémoire de Rachi, d’Edmond Fleg, d’Emmanuel Lévinas et de tant d’autres, enfin de tout ce que le judaïsme français comportait de richesse humaine, d’intelligence et de lumières.

Vous avez voulu faire d’un conflit colonial et géopolitique un conflit communautaire et en prétendant que « 95 % des Juifs français approuvent l’intervention israélienne », vous attisez l’antisémitisme dont vous prétendez vous inquiéter de la résurgence, en pompiers pyromanes.

Non Mesdames et Messieurs les dirigeants du Conseil soi-disant « Représentatif » des Institutions juives de France, vous ne représentez rien pour nous, sinon les zélateurs d’une abjecte boucherie.


  Le Bureau National de l' UJFP le 07-02-2009 Union Juive Française pour la Paix (UJFP) - 21 ter rue Voltaire, 75011 PARIS
Téléphone : 06 61 33 48 22 · 
courriel : contact@ujfp.org
 

Site :
www.ujfp.org

 

 

 

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 16:39


Le Président Barack Obama et son équipe économique font bien attention à la manière dont ils formulent tout ce qu’ils disent à propos des programmes de stimulation de l’économie et des subventions bancaires, en prévenant que le déclin de l’économie est grave et qu’il faudra beaucoup de temps pour qu’elle rebondisse.


Je me suis souvenu d’une expérience que j’ai eue avec la médecine chinoise lorsque je vivais à Shanghai en 1992.

J’étais cloué par une vilaine grippe, alors que j’enseignais le journalisme à l’Université Fudan dans un programme scolaire « Fulbright » [programme qui offrait des bourses pour mener des recherches ou enseigner dans les pays post-socialistes].

Un collègue chinois m’a suggéré de me rendre à la clinique de l’université.

 

Lorsque je lui ai dit que je n’y voyais pas beaucoup de raisons, puisque la médecine ne pouvait pas grand chose contre la grippe, en dehors de recommander de boire beaucoup et de rester au lit, il m’a répondu :

« Ça, ce sont les médecins occidentaux.

 

Tu pourrais consulter les docteurs qui pratiquent la médecine chinoise à la clinique. Ils peuvent t’aider. »

 

Je me suis dit que je n’avais rien à perdre et nous y sommes allés.

Le médecin m’a demandé des détails épouvantables sur ma maladie – à quoi ressemblaient les mouvements de mes intestins, la couleur du mucus sortant de mon nez, etc.

Il ne m’a pas vraiment examiné physiquement.

 

Ensuite, il m’a prescrit un nombre incroyable de pilules et d’infusions et m’a renvoyé chez moi avec un énorme sac de produits et des instructions pour les prendre à différents moments de la journée.


J’ai suivi les instructions à la lettre et mon collègue est venu chaque jour me voir pour vérifier mon état.

 

Au cinquième jour, alors que j’avais toujours de la fièvre et que je me sentais très mal, je lui ai dit que je ne pensais pas que la médecine chinoise marchait.

 

Il m’a répondu avec assurance, « La médecine chinoise prend du temps pour agir. »

Cela m’a fait sourire. « Bien sûr », lui ai-je dit, « mais la grippe ne dure qu’une semaine environ et lorsque j’irai mieux, tu diras que c’est grâce à la médecine chinoise, non ? »

Il a souri et l’a reconnu : « Oui, tu as raison. »

Il est évident que l’administration d’Obama reconnaît qu’elle a besoin de maintenir son doigt accusateur pour l’effondrement économique actuel pointé en direction de l’administration Bush, ce qui est en grande partie justifié -

bien que les dérégulations bancaires de l’administration Clinton aient joué une part majeure dans la crise financière et que son encouragement enthousiaste à la mondialisation ait commencé à déplacer massivement les emplois à l’étranger, creusant la capacité productive de la nation).


Mais elle semble également reconnaître qu’elle ne peut pas dire l’effroyable vérité, c’est-à-dire que notre économie nationale ne « rebondira » jamais au niveau où elle se trouvait en 2007.

L’Amérique – et les Américains individuellement – ont vécu avec prodigalité pendant des années dans une économie irréelle, poussée par le crédit facile qui a gonflé la valeur des biens immobiliers à des niveaux incroyables et qui a conduit les gens à dépenser bien au-delà de leurs moyens.

 

Les travailleurs de la classe-moyenne ont été encouragés à acheter des maisons surdimensionnées de façon obscène, avec une mise de départ de 5% - voire rien du tout.

Ils ont été leurrés à acheter des voitures de la taille de camions, une pour chaque membre de la famille en âge de conduire (dans notre ville, tant de lycéens conduisent pour aller à l’école que les établissements scolaires sont à court de places de parking et que les bus jaunes, en grande partie vides sur leurs trajets, sont considérés par les étudiants comme le « train de la honte », embarrassant lorsque l’on est vu dedans).

 

Ils ont installé des piscines individuelles dans leur jardin, refusant de partager l’eau avec leurs voisins dans les piscines communales.


Des restaurants franchisés de toutes sortes – et ennuyeux – ont souillé le paysage et étaient remplis de familles trop stressées pour cuisiner, acceptant d’endurer soir après soir la cuisine trop salée, trop chère et sans goût, dans un décor criard en plastique.

A présent, tout cela s’effondre. La valeur des propriétés est en chute-libre.

 

Les ventes de voitures se sont complètement ramassées.

 

Le chômage augmente à vitesse grand V -il approche à présent du taux officiel de 8%, mais si la méthodologie utilisée en 1980, avant que l’administration Reagan ne change les règles de calcul afin de masquer la profondeur de la récession d’alors, était appliquée, le taux serait de 17% aujourd’hui – soit un travailleur sur sept-.

Le dégringolade économique finira par toucher le fond et l’économie entamera une lente remontée, comme dans toutes les récessions, mais il n’y aura pas de retour aux jours des lotissements McMansion à 500.000 dollars, des garages pour trois voitures et une nouvelle voiture tous les deux ou trois ans pour chacun des parents, plus une voiture pour chaque lycéen.

 

Non seulement les banques ne seront plus capables d’offrir autant de prêts à leurs clients, mais les gens qui s’y seront frottés, ne seront pas enclins à emprunter autant.

 

Les assurances médicales, les programmes de retraite ou autres programmes 401(k) proposés par les entreprises, qui ont été réduit en miettes durant ce retournement, ne seront pas restaurés lorsque l’économie repartira.

Au cours des vingt dernières années, l’Amérique a dégénéré en une nation de consommateurs, avec 72% de son PIB consacré à la consommation des ménages – essentiellement pour acheter des biens produits à l’étranger et importés aux Etats-Unis.

Ce n’est pas un modèle économique supportable et c’est un modèle qui vient juste d’encaisser ce qui est certainement un coup mortel.

Ce à quoi nous assistons est le début d’un ajustement inévitable vers le bas du niveau de vie des Américains pour se conformer à leur place réelle dans le monde.

 

En tant que nation de consommateurs – et non pas de producteurs -, avec peu à offrir au reste du monde à part des matières premières, des récoltes agricoles, des équipements militaires et des mauvais films (aucune de ces industries n’emploient beaucoup de personnes), nous nous dirigeons vers un rétablissement qui ne ressemblera pas du tout à un rétablissement.

 

La capacité de production finira par être restaurée, puisque des salaires plus bas aux Etats-Unis rendront à nouveau profitable de fabriquer un certain nombre de choses ici, mais, à l’instar des gens des années 30 qui regardaient avec nostalgie les années folles d’antan [les années 1920], nous allons regarder les deux dernières décennies comme une sorte de rêve.

Ce serait mieux si la nouvelle administration était honnête sur ce point, parce qu’avec de l’honnêteté, nous pourrions avoir un programme de redressement qui s’occuperait vraiment des questions réellement critiques auxquelles le pays est confronté – le déclin de notre système éducatif,

l’irrationalité de l’encouragement officiel à devenir propriétaire coûte que coûte de son logement, qui a conduit à la prolifération, non seulement des banlieues, mais des banlieues résidentielles,

à la sur-dépendance de l’automobile comme moyen de transport, au gaspillage sans précédent des ressources naturelles,

au pillage de l’environnement, sans parler de la décimation du système de retraite et de la création d’un vaste complexe médico-industriel qui suce le sang des familles aussi bien que celui des entreprises.

A dire vrai, nous pourrions également voir en face les autres gros obstacles au redressement national – l’obsession de l’Amérique pour le militarisme et les guerres à l’étranger.

 

La vraie vérité est que les Etats-Unis sont techniquement en faillite et dans un état de déclin chronique et, pourtant, la nation américaine persiste à dépenser des trillons de dollars chaque année en guerre et en préparation à la guerre, comme si l’Amérique était en danger mortel face à des ennemis étrangers.

La vérité est que nous ne sommes menacés sérieusement ni par le communisme, ni par les seigneurs de la drogue, ni par les Djihadistes musulmans.

Nous sommes plutôt devenus nous-mêmes notre pire ennemi.

Cette administration pourrait commencer par nous dire tout cela directement, mais le problème est que la plupart d’entre nous ne veulent probablement pas l’entendre, ce qui explique pourquoi nous ne l’entendons pas.

 

Cela explique également pourquoi nous sommes sur le point de flamber un autre trillion de dollars pour soutenir des banques en faillite, financer des autoroutes et des ponts sans intérêt et massacrer des paysans illettrés dans des endroits éloignés comme l’Afghanistan et le Pakistan.

Par Dave Lindorff

CounterPunch, le 5 février 2009

 

LIEN SOURCE :


article original :
"The Ugly Truth : The American Economy is Not Coming Back"
Traduction :
JFG-QuestionsCritiques

 

Dimanche 08 Février 2009

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 15:51

Le système politique américain a ceci de fascinant qu'il est l'usine de "mithridatisation" :

 

sur presque tous les dossiers de poids et nonobstant la couleur politique de l'équipe au pouvoir, il s'agit d'ingérer le poison à petites doses pour acquérir l'immunité via une accoutumance progressive.

 

La recette a bel et bien fonctionné en Irak et Obama semble prêt à faire tout pour qu'elle fonctionne aussi en Afghanistan.

 

Pour lutter contre le terrorisme dans ce pays assailli de toutes parts par une curieuse et incontrôlable résurgence des Quadistes et des Talibans, quoi de mieux donc que de faire du terrorisme à l'envers?

 

Quoi de mieux donc que de passer les régions entières sous les bombes sans égard pour ce que cela coûte en vie humaines et en infrastructure?

 

Voici plus de deux ans que M. Obama rappelle par l'entremise de ses discours ante ou post électoraux la nécessité de faire de l'Afghanistan la pointe de la guerre anti-terroriste.

 

L'auditeur l'aura bien compris, il ne s'agit nullement pour lui d'aider à la reconstruction de l'armée nationale afghane, à la remise en état de son système politique et social dépéris, de son économie quasi inexistante.

 

Ce que le Président cherche avec une énergie et un entêtement digne des pires années de Bush, c'est de militariser à outrance un conflit qui se déroule aux portes de la Russie et de la Chine et qui n'a pour but ultime que d'assurer aux Etats-Unis d'Amérique le contrôle de la richissime région d'Asie centrale, c'est étendre ce même conflit au Pakistan voire même à l'Inde voisin et d'en faire une véritable foire aux malheurs pour qu'aucun pays, amis ou ennemis, n'en sorte indemne.

 

Quand Hillary Clinton, la Secrétaire d'état ou Robert Gates, le Secrétaire à la défense appellent à une plus grande interaction des alliés au sein de l'Otan, quand ils dénoncent, par la voix du chef de l'Alliance, le trop atlantiste Jaap de Hoop Scheffer, la trop grande réticence franco-germanique à s'engager davantage sur le terrain afghan, c'est dans cette même perspective qu'il faut les comprendre.

 

Ils veulent dire tout bonnement que la France et l'Allemagne n'ont pas d'autre choix que de dépenser plus en argent et en vie, s'ils souhaitent conserver en état leurs excellentes relations avec Washington.

 

Et dire que cette même Allemagne et que cette même France avaient mis tant d'espoir dans l'élection d'Obama et qu'ils continuent aujourd'hui encore et en dépit de toutes les évidences, à se rivaliser en suivisme envers Washington.

 

LIEN SOURCE :

 

http://french.irib.ir

 ___________________________


Questions :

 

Les peuples franco-allemands qui, se sont entretués, au cours de deux, trois, guerres meurtrières, sanglantes  se laisseront-ils  ainsi, entrainé dans un quatrième conflit qui, risque, lui d’être atomique et définitif ?

 

Le peuple de France qui, lui a connu  deux guerres coloniales – Viêtnam, Algérie…ira-t-il  « exterminer de l’Afghan » afin de préserver les intérêts de la sangsue Américano-sioniste ?

Les gouvernants, le peuple Russe et Chinois se laisseront-ils ainsi encercler, enfermer, spolier, sans réagir ?

 

Le peuple afghan même avec un gouvernement à « la botte » des Usionistes, se laissera-t-il ainsi EXTERMINER, détruire son pays, Génocide sa culture, sans organiser la riposte…?

Les peuples Indous, Pakistanais se laisseront-t-il manipuler…. ?

Le gouvernement Pakistanais, se tourne vers l’Iran avec quels réels objectifs ?

 

Et, même si nous savons que, le gouvernement intégriste indou, collabore avec l’identité sioniste dans les domaines de l’armement, de haute technologie, de la sécurité, etc.…et, même si, n’avons pas connaissance des VERITABLES objectifs de ce partenariat… tardif….

 

Nous sommes loin d’affirmer que, ce partenariat,  dans l’intérêt des USA et, sous-tendu par d’autres  objectifs géopolitiques soit, ce que souhaite le peuple indou ?


Dans un tel contexte, il important de rappeler l’attentat de Bombay…


Qui, a intérêt  a  organiser un conflit armé et meurtrier entre l’Inde et le Pakistan ?

 

En savoir davantage sur les liens entre l’identité sioniste et l’Inde là :

 _____________________________________


INDE - ISRAËL :

LE NOUVEAU PARTENARIAT STRATÉGIQUE
Stéphanie Lévy*

 


En 1950, l'Inde reconnaît de jure l'État d'Israël ; en 1952, un consulat d'Israël est ouvert à Bombay ; mais ce n'est qu'en février 1992, soit plus de quarante ans plus tard, que l'Inde normalise ses relations diplomatiques avec l'État juif. En fait, les liens puissants unissant aujourd'hui l'Inde et Israël dans les domaines politiques, stratégiques, économiques et culturels sont surprenants au vu de leurs relations bilatérales qui, dans le passé, étaient dominées par l'ignorance et la méfiance.

 

Ainsi, une question se pose :

comment expliquer le passage de l'hostilité non voilée à la coopération sans réserve ?

 

Le 11 septembre 2001, alors que des cellules d'al-Qa'ida organisaient leurs attentats terroristes sur les villes de New York et Washington, un événement marquant se déroulait à l'autre bout du monde :


à New Delhi, des officiels israéliens de la Défense et du Renseignement, conduits par le conseiller pour la Sécurité nationale Uzi Dayan, rencontraient leurs homologues indiens afin de discuter des menaces communes auxquelles les deux pays devaient faire face.


Interrogé sur la question, un porte-parole du ministère indien des Affaires étrangères décrivit l'entretien comme « appartenant à la routine », un pas supplémentaire dans le « dialogue stratégique » avec Israël sur des questions allant
du terrorisme afghan au développement de la prolifération balistique iranienne.


Cependant, cette rencontre fut tout sauf « routinière » :

elle reflète au contraire l'allure surprenante à laquelle le partenariat stratégique entre les deux pays a évolué au cours des dix dernières années, et ce à l'ombre des projecteurs internationaux
.


En effet, sur ce dernier point, la visite historique que l'ancien premier ministre israélien effectua en Inde, du 8 au 11 septembre 2003, n'a pas eu un écho retentissant sur la scène internationale, bien qu'elle ait représenté le symbole du formidable réchauffement politique, diplomatique, stratégique, économique et culturel entre les deux États.


Conduisant une délégation de 150 personnes, Ariel Sharon resta trois jours en Inde, devenant ainsi le premier chef du gouvernement israélien à être officiellement reçu par les autorités indiennes.


Au cours de cette visite, le premier ministre israélien rencontra les plus hautes personnalités de l'État :


Le ministre indien des Affaires étrangères Yashwant Sinha, le président Abdul Kalam, le conseiller pour la Sécurité nationale Brajesh Mishra, le numéro deux du gouvernement Lal Krishna Advani et bien entendu le premier ministre Atal Bihari Vajpayee.

 


Cette visite provoqua de nombreuses questions concernant l'enjeu qui poussa Ariel Sharon à se rendre en Inde alors que des attentats sanglants frappaient Israël.


Le chef du gouvernement donna un premier élément de réponse en soulignant qu'Israël était « très intéressé » par des relations fortes avec « l'un des pays les plus importants au monde ».


Mais l'essentiel n'était pas là ; le but de cette visite dépassait de bien loin la simple perspective de contrats d'armements importants.


LA SUITE
LA :


http://meria.idc.ac.il/journal_fr/2007/issue1/jv2no1a5.html

 

QUELQUES INFORMATIONS POUR MIEUX DECRYPTER LES OBJECTIFS MEUTRIERS DES USIONISTES… DU SIEUR OBAMA ?

       

__________________________________
LE PRESIDENT PAKITANAIS APPELLE AU RENFORCEMENT DES RELATIONS AVEC L’IRAN- Ecrit par L'IRIB  


Mardi - 03 Fervrier 2009 -


Le Président pakistanais a plaidé, dans un message à l'occasion du 30ème anniversaire de la victoire de la République islamique, pour le renforcement des relations entre Téhéran et Islamabad.


" Les relations amicales et fraternelles entre l'Iran et le
Pakistan se sont, toujours, développées et elles devront être renforcées de plus en plus, dans les prochaines années", a souligné, Assif Ali Zardari dans son message à la conférence "


L'Iran dans la troisième décennie" organisée par l'Institut des relations internationales du Pakistan.


" Les liens d'amitié entre les deux pays reposent sur les intérêts, la tradition et la culture communes des deux pays et ils seront renforcés, très certainement, dans les prochaines années" a-t-il assuré.


Dans le même temps, le Premier ministre pakistanais a, dans un message de la même teneur, insisté sur la promotion de la coopération entre l'Iran et le Pakistan. "


Nous croyons que les relations étroites entre l'Iran et le Pakistan profitent, à la fois, à la sécurisation et à la stabilisation régionales ainsi qu'au renforcement de la solidarité de l'Oumma islamique" a précisé le Premier ministre pakistanais.


LIEN SOURCE :


http://french.irib.ir/index.php?option=com_content&task=view&id=18083&Itemid=9


AFGHANISTAN :

KARZAI SE TOURNE VERS LA RUSSIE


La Russie
peut devenir un facteur important dans les ambitions présidentielles des influents hommes politiques afghans au cours de l'élection présidentielle de l'été prochain en Afghanistan.


Dans son discours prononcé devant la première promotion de l'Académie militaire de Kaboul, le président afghan Hamid Karzaï a déclaré que, si les pays occidentaux n'accéléraient pas la mise en œuvre du programme d'équipement des forces armées,

"cela serait fait par d'autres pays".


Par Piotr Gontcharov, RIA Novosti


La semaine dernière, le service de presse du président afghan a rendu public le contenu d'une lettre adressée par le président russe Dmitri Medvedev à Hamid Karzaï exprimant la volonté de la Russie d'apporter une aide aux forces armées de ce pays.


Une délégation de hauts fonctionnaires civils et militaires d'Afghanistan se rendra prochainement dans la capitale russe.
L'extension de la coopération entre l'Afghanistan et la Russie dans le domaine de la défense sera le principal sujet des négociations de Moscou.

Qu'est-ce qui a donc poussé Hamid Karzaï à se tourner vers la Russie, qui n'était pas considérée jusque-là comme une grande priorité?


Pour l'Afghanistan, le "partenariat stratégique" avec les Etats-Unis et d'autres pays du "monde démocratique" est toujours resté au centre de sa conception de la politique étrangère qui réserve à la Russie une place modeste parmi les Etats régionaux, après l'Inde et
la Chine.

On peut en deviner les raisons.


Le nouveau président américain Barack Obama n'a pas seulement désigné l'Afghanistan comme le "front central" des Etats-Unis dans leur lutte contre le terrorisme, mais il a aussi exprimé la ferme intention de doubler le contingent militaire américain en portant ses effectifs de 30.000 à 60.000 hommes.


Barack Obama prévoit également de mettre de l'ordre dans l'élite politique de l'Afghanistan.

Ainsi, au moment où Hamid Karzaï menaçait l'Occident de recourir aux services d'un "autre pays", dans son discours prononcé devant les élèves-officiers de l'Académie militaire, Barack Obama a mené des pourparlers avec des leaders influents afghans, candidats potentiels à l'élection présidentielle de 2009 en Afghanistan.


Ce sont l'ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah Abdullah, l'ex-ministre de l'Intérieur Ali Ahmad Jalali, l'ex-ministre des Finances Ashraf Ghani et le gouverneur actuel de la province de Nangarhar Gul Agha Sherzaï.


Selon les observateurs, la Maison Blanche a l'intention de refuser son soutien à Hamid Karzaï, en lui imputant la drogue qui constitue la base de la nouvelle économie afghane, la corruption, la dilapidation de l'argent des donateurs, etc.

En principe, le projet de Hamid Karzaï est juste :


l'armée afghane créée jadis avec l'aide de l'Union Soviétique était considérée comme l'une des plus puissantes dans la région, car, d'après les notions des autres armées régionales, elle fut dotée d'armements excellents.

Il est vrai, l'état actuel de l'armée afghane n'est pas enviable.


De 2002 à 2005, la Russie a fourni à l'armée afghane une assistance technico-militaire pour 200 millions de dollars.

Ensuite, cette coopération s'est arrêtée.


Les Etats-Unis et l'OTAN n'ont pas beaucoup progressé non plus en sept ans d'"édification" de l'armée afghane.

L'aviation et le matériel lourd y font défaut et, d'ailleurs, l'armée est loin d'atteindre le niveau requis pour devenir un garant de la stabilité à l'intérieur du pays.

En Afghanistan, l'armée nationale a toujours joué un rôle central dans la nomenclature politique du pays.


Par conséquent, celui qui mise sur l'armée ne perd jamais.

Et c'est précisément sur ce fait que Hamid Karzaï a mis l'accent en demandant une assistance de la Russie.


Mais la question est de savoir si cela peut l'aider à l'élection.

LIEN SOURCE :

http://fr.rian.ru

 


PRISE DE BEC ENTRE LA RUSSIE ET L’UE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L’HOMMES


Le président de la commission européenne, José manuel Barroso et ‎le Premier Ministre russe, Vladimir Poutine, se sont, mutuellement, accusés de ‎violation des droits de l'Homme, devant la presse à Moscou à l'issue d'une ‎rencontre a rapporté l'agence Reuters.


José Manuel Barroso, s'est inquiété ‎vendredi des meurtres récents de journalistes et de militants des droits de ‎l'homme en Russie, tandis que Vladimir
Poutine a appelé l'UE à se ‎pencher sur les violations des droits en Europe.


Vladimir Poutine a appelé ‎l'UE à se pencher sur les violations des droits de l'homme en Europe, ‎considérant par ailleurs que les problèmes russes et européens en la ‎matière ne pouvaient être séparés
.


Le président de la commission ‎européenne s'est rendu à Moscou pour discuter de la crise concernant

la ‎livraison du gaz à l'Europe.

LIEN SOURCE :‎

http://fr.rian.ru

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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

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AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

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PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

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YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

800px-Flag of Yemen.svg

   

ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

BCC800px-Flag of Tunisia.svgC

TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

nouveau-drapeau-francais

 

Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

________________________________________________________________________________

 

 

 

Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


Catégories

LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

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